Noeuds Négatifs – Etienne Chambaud

Jusqu’au 26 août 2018
Après les cerveaux de chair, mais aussi spirituels
de Jan Fabre, on peut tenter de pénétrer dans celui
d’Etienne Chambaud et de dénouer ses Noeuds Négatifs.

Le travail d’Étienne Chambaud consiste en une recherche
sur les frontières ou les limites entre formes, objets,
gestes et discours, ce que l’artiste nomme une
« Écologie des Séparations ».
Dans ses œuvres, différents espaces, domaines de savoir,
modes de capture, de conservation et de transmission
se mêlent, se croisent ou se chevauchent.
Pour Mulhouse, de nombreuses œuvres sont produites
spécialement pour le lieu dont l’une conçue à partir de
l’arène des macaques du Parc Zoologique et Botanique
de Mulhouse.

Cinquante ans après sa construction et un an après
sa démolition, la structure en béton armé est transformée
en un nouveau dispositif d’exposition dans un espace
redéfini par l’artiste en un jeu de coupes et de trouées.
l’artiste construit un dispositif qui noue les ruines
d’une cage de zoo et une série de sculptures, collages,
peintures et vidéo.
 La Kunsthalle Mulhouse accueille Noeuds Négatifs,
une exposition monographique d’Étienne Chambaud.

Noeuds Négatifs est une exposition quasi fractale :
elle est composée de plusieurs strates d’expositions qui
se partagent ou se disputent un même espace.
Ni simple somme ni simple soustraction de l’une par d’autres,
ces strates laissent entrevoir une combinatoire plus
complexe qui ne se révèle pas a priori. Comme autant de
dimensions parallèles, elles s’exposent l’une à l’autre, entrent
en contacts, se chevauchent, se frôlent, s’entrecoupent,
s’interpénètrent, coïncident parfois, dessinent un espace
commun ou au contraire s’excluent mutuellement et
coexistent sans bords en partage.

Etienne Chambaud vue exposition Noeuds Negatifs-2018-credit-la-kunsthalle-photo-sebastien-bozon.

 
La Kunsthalle Mulhouse-Centred’artcontemporain
LaFonderie
16ruedelaFonderie-68093MulhouseCedex
Tél:+33(0)369776647
kunsthalle@mulhouse.fr/www.kunsthallemulhouse.com

Sommaire du mois de juin 2018

Art Basel 2018

02 juin 2018 : Zao Wou-Ki L’espace est silence
04 juin 2018 :
Fondation Fernet Branca – Collection David H.Brolliet
09 juin 2018 :
Utopia House | Rhin – Rhône, le retour
16 juin 2018 : Art Basel 2018
17 juin 2018 :
James Turrell. The Substance of Light
18 juin 2018 :
DAVID NASH « NATURE TO NATURE »
19 juin 2018 :
L’IMPERMANENCE , Fondation Fernet Branca
20 juin 2018 : Les artistes robots
23 juin 2018 :
Tsuguharu Foujita, un japonais à Paris
29 juin 2018 :
Ernesto Neto, GaiaMotherTree

UTOPIA HOUSE

C’est ce lundi 7 mai jusqu’au jeudi 10 mai 2018

« La meilleure façon de s’approprier cet espace, c’était
de le faire ensemble »
Jan Kopp
Venez saluer Jan Kopp et son équipage le long du trajet !
Utopia House franchira deux écluses mulhousiennes :

Utopia House
photo Clarisse Schwab

→ 10 h – 10h30 : écluse 41 (au niveau du pont de Bâle)
→ 10h45 – 11h15 : écluse 39 (après la passerelle piétonnière
du Hasenrain)
L’embarcation sera visible par la suite sur les bords du canal
du Sud Alsace entre Mulhouse et Dannemarie,
n’hésitez pas à suivre l’équipage à pieds ou à vélo…
et profiter du soleil printanier pour un pique-nique bucolique !

En 2016, La Kunsthalle a invité l’artiste Jan Kopp à collaborer
avec les élèves du Lycée professionnel Saint-Joseph de Cluny
à repenser avec et pour eux, leur foyer, lieu de vie et d’échange.
Jan Kopp a choisi d’élargir son étude à la question de l’habitat,
de réfléchir à la problématique de l’hébergement d’urgence,
à la crise du logement, aux besoins d’architectures alternatives…
Les recherches et expérimentations que les élèves ont menées
durant des ateliers sont venues nourrir Utopia House, une œuvre
capable de naviguer sur l’eau en présence des lycéens pour être
par la suite renversée et devenir le toit d’un foyer des élèves.
Cette navigation constitue une des étapes du projet
Utopia House qui mobilise de nombreux partenaires locaux,
dont le Lycée des métiers du BTP Gustave Eiffel de Cernay
qui a construit l’embarcation de 14m de long sur 5m de large.
Utopia House naviguera jusqu’à Lyon entre le 7 et le 20 mai
sur le canal du Rhin au Rhône puis sur la Saône pour un trajet
de 417 km et passera 126 écluses pour y être présentée par
la Fondation Bullukian, du 29 au 31 mai, sur les quais du Rhône.
A la fin du mois de juin, Utopia House remontera le canal
du Rhône au Rhin et sera exposé à La Kunsthalle Mulhouse
dans le cadre de l’exposition Mon Nord est ton Sud,
du 13 septembre au 11 novembre 2018.
Feuille de route pressentie :

J1 → lundi 7 mai à 9h30 : d’Illzach à Wolfersdorf/Dannemarie
J2 → mardi 8 mai : de Wolfersdorf/Dannemarie à Montbéliard
J3 → mercredi 9 mai : de Montbéliard à L’Isle sur le Doubs
J4 → jeudi 10 mai : de l’Isle sur le Doubs à Baume les Dames
J5 → vendredi 11 mai : de Baume les Dames à Besançon Tarragnoz
J6 → samedi 12 mai : de Besançon Tarragnoz à Ranchot
J7 → dimanche 13 mai : de Ranchot à Choisey
J8 → lundi 14 mai : de Choisey à Seurre
J9 → mardi 15 mai : de Seurre à Tournus Chardonnay
Pause → du mardi 15 mai au soir jusqu’au samedi 19 mai au matin
J10 → samedi 19 mai : de Tournus Chardonnay à Trevoux
J10 → dimanche 20 mai : de Trevoux à Lyon

« Mon idée est de construire un espace démontable et
capable de naviguer. Je souhaite donner à cette « maison »
une première vie en tant qu’installation itinérante pouvant
accueillir un certain nombre d’élèves […] pour réaliser
un voyage d’une dizaine de jours sur le canal du Rhin
au Rhône. […] Ce qui m’intéresse également, c’est la
question de l’âge des futurs usagers de ce lieu : ce sont
des jeunes à l’aune de l’âge adulte et le voyage pourra,
pourquoi pas, être imaginé comme un voyage initiatique. »

Jan Kopp

Jan Kopp est né en 1970 à Francfort (Allemagne) et vit à Lyon.
Son travail recourt à différents médias : dessin, son, vidéo,
sculpture, performance, sans en privilégier aucun, et résiste à
toute tentation de spécialisation comme toute tentative de
classification. Il se déploie aussi bien à travers de vastes
installations conçues au regard des espaces qu’elles occupent,
que sous des formes plus discrètes telle que du crayon sur papier.

La ville est un thème récurrent, autant comme lieu possible
d’intervention que d’observation pour en déceler et figurer
les plus infimes signes poétiques.
Jan Kopp enseigne depuis 2015 à l’École Supérieure d’Art de
Clermont Métropole. Il est représenté par les galeries Eva Meyer,
Paris et Laurence Bernard, Genève.

Ses oeuvres ont été présentées au travers de nombreuses
expositions personnelles et collectives dans des institutions reconnues :
Centre Pompidou – Paris (2015) ; Centre d’art La Criée (2013) ;
Frac Alsace (2008) ; Biennale de Lyon (2001) ; PS1/MoMa – New-York (2000).

www.jankopp.net

La Presse :

les principaux articles
Depuis le lancement en septembre 2016 à l’écomusée d’Alsace,
la presse suit attentivement Utopia House.

Reportages TV
Extrait du JT de France 3 Haute-Alsace – 19.04.2018

Reportage du journal L’Alsace – 19.04.2018

Extrait du JT de France 3 Haute-Alsace – 27.04.2017

Extrait du JT de France 3 Haute-Alsace – 16.12.2016

Extrait du JT de France 3 Haute-Alsace – 05.12.2016

Presse écrite

En 2018

Journal L’Alsace,
« Utopia House, un rêve qui avance bien », 18 avril 2018

Sommaire du mois de mars 2018

Anselm Kiefer, le Jardin de Klingsors, 2015-2017

01 mars 2018 : Le « trésor Gurlitt » au Kunstmuseum de Berne
02 mars 2018 : Etre moderne : le MoMA à Paris
08 mars 2018 : Journée de la femme
10 mars 2018 : The Live Creature à la Kunsthalle de Mulhouse
11 mars 2018 : La rétrospective de l’oeuvre de César
16 mars 2018 : RE-SET : assimilation et transformation dans la musique et dans les arts visuels depuis 1900
20 mars 2018 : La Picasso Story au Kunstmuseum de Bâle
23 mars 2018 : L’évasion photographique – Adolphe Braun
28 mars 2018 : Anselm Kiefer, Für Andrea Emo

The Live Creature à la Kunsthalle de Mulhouse

Sur une proposition de Soledad Gutiérrez (née en 1976
à Torrelavega en Espagne) commissaire indépendante
et chercheur à la Kunsthalle de Mulhouse
avec les artistes :
Anna Craycroft, Esther Ferrer, Adelita Husni-Bey,
Allan Kaprow, Teresa Lanceta, Nicolas Malevé,
Aimée Zito Lema

Soledad Gutiérrez Kunstalle

Le titre The Live Creature (L’être vivant) est tiré
du premier chapitre de
L’art comme expérience de John Dewey,
paru en 1934. Bien que le livre ait reçu à l’époque un
accueil mitigé, il est devenu avec le temps, et au fil des
relectures successives, une référence majeure sur
l’éducation artistique et les rapports entre art et vie
quotidienne. Selon Dewey, l’autonomie de l’expérience
artistique est ancrée dans la fonction sociale de l’art.
De là naissent des pratiques à caractère relationnel
dont on comprend l’organisation au fur et à mesure
de leurs productions.
La théorie de Dewey peut être vue comme une tentative
de comprendre la pratique artistique, ce qu’elle
a d’important et de singulier, ses manifestations
physiques (“l’objet expressif”) à travers un processus tout
entier. L’élément fondamental n’est alors plus
l’oeuvre d’art” matérielle mais le développement d’une
expérience”.
Se distinguant de cette approche théorique, l’exposition
présente des projets qui explorent les liens entre
l’éducation artistique et la pratique de l’art, l’artisanat
comme moyen de se référer au monde, le corps comme
sujet de transmission et l’influence de l’environnement
urbain qui nous entoure. Ces éléments deviennent le point
de départ de processus de recherches et de productions
individuelles et collectives, faisant de l’art un outil
d’une meilleure compréhension de nos modes de vie.

Les parcours bus de l’art contemporain proposés par
Versant Est – réseau art contemporain en Alsace
reviennent le dimanche 18 mars 2018
Découvrez trois parcours au départ ici
de Colmar, Mulhouse et Strasbourg pour partir
à la découverte de l’Alsace artistique.
Avec Fernando Aguiar, Emma Dusong, Valerian Maly
& Klara Schilliger, Aimée Zito Lema et le Groupe de
recherche Action Building
Pour cette 9ème édition, La Kunsthalle accueille
Locus Métropole, un événement où la performance est
mise à l’honneur. L’événement est dédié au thème
de la langue et du langage, déconstruits, déformés et
reformés par des artistes, performeurs et écrivains poètes.
À l’occasion, la langue est parlée, les textes sont dits,
l’écriture prend corps et défriche les diverses formes
de la poésie contemporaine.

En partenariat avec Montagne Froide.
Entrée libre, petite restauration sur place.
SAMEDI 17 MARS
 10H00 – 13H00 :
Score for Mother and Child, workshop proposé par
Aimée Zito Lema


Cet atelier prolonge le travail développé par l’artiste autour
du langage du corps et de la mémoire gestuelle. Sous la forme de jeux,
le public est invité à expérimenter l’idée de transmission par
le corps à travers des exercices et gestes proposés par une chorégraphe.

À partir de 15 ans. Gratuit, sur inscription obligatoire
kunsthalle@mulhouse.fr / 03 69 77 66 47
14H00 : Atelier famille
Proposé par Stéphane Clor, artiste plasticien et musicien en
résidence-mission à Mulhouse.
En partenariat avec les Ateliers Pédagogiques d’Arts Plastiques
du Pôle Education et enfance de la Ville de Mulhouse.
Atelier complet
15H00 : Visite guidée de l’exposition The Live Creature
Entrée libre
16H00 – 18H00 : Ciné-débat Jeune public
À l’occasion du Printemps des Poètes, le réseau Canopé
propose onze courts-métrages enchanteurs pour bercer
le public d’une douce rêverie !
En partenariat avec Canopé.
Entrée libre, à partir de 7 ans.
DIMANCHE 18 MARS

9H00 : 6 lieux, 6 expositions à découvrir, parcours en
bus au départ de la gare de Mulhouse

Le Lézard, le FRAC alsace, le Syndicat potentiel,
le CEAAC et La Chambre – retour vers 19h00
Tarif plein 10€, tarif réduit 5€ – Renseignements et réservations : adeline.garnier@versantest.org / 09 51 40 21 57
12H00 – 17H00 : présentation-dédicace de Melsass
de Martin Chramosta
Tête d’un jeune grimaceur © Martin Chramosta
Édition La Kunsthalle Mulhouse & Mark Pezinger Verlag

Cet ouvrage vient clore la résidence universitaire de l’artiste suisse,
Martin Chramosta organisée conjointement avec le Service
Universitaire de l’action Culturelle de l’Université de Haute-Alsace
qui s’est déroulée en 2016 à la faculté de Marketing et d’Agrosciences
de Colmar.
Entrée libre
15H00 : Visite guidée de l’exposition The Live Creature
Entrée libre
16H00 : Écrire l’art
Lecture-performance de Sandra Moussempès, poète.

© Andres Donadio
Sous la forme d’une mini-résidence de quatre jours,
Sandra Moussempès, auteure contemporaine, s’immerge
dans l’univers de l’exposition et compose autour des œuvres.
Dialogues, créations, collaborations, poésies visuelles et sonores,
textes et expressions permettent de visiter, voir, concevoir
et revoir les œuvres à travers le langage spécifique de l’écrivain.
En partenariat avec le festival POEMA, écritures poétiques
d’aujourd’hui
Entrée libre
Heures d’ouverture
Du mercredi au vendredi de 12h à 18h
Les samedis et dimanches de 14h à 18h,
dimanche 18 mars de 12h à 18h
Nocturne le jeudi jusqu’à 20h
Fermé les lundis et mardis
les 30 mars et 1er avril 2018
Entrée libre
Visites guidées
Visites guidées, les dimanches à 15 heures
et samedi 17 mars et 24 mars à 15h00
entrée libre
Pour les groupes, renseignements
et réservations au 03 69 77 66 47
Visites enfants renseignements
au 03 69 77 66 47

Sommaire du mois de janvier 2018

Pastel de Nicolas Party
Fondation de l’Hermitage Lausanne

01 janvier 2018 :  Voeux 2018
03 janvier 2018 : Nuit des musées bâlois 2018
05 janvier 2018 : Le jardin secret des Hansen,
la collection Ordrupgaard
08 janvier 2018 : L’art du pastel de Degas à Redon
10 janvier 2018 : Claude Monet, Collectionneur
11 janvier 2018 :  Cours Publics 2018
13 janvier 2018 :  Cristina De Middel « Muchismo »
16 janvier 2018 :  FOLLOWERS – la HEAR
21 janvier 2018 : Joseph BEY – Le murmure des ombres
24 janvier 2018 : Women House à la Monnaie de Paris
26 janvier 2018 : Sofia Hultén – Here’s the Answer,
What’s the Question?
29 janvier 2018 : Hélène de Beauvoir, Artiste et femme engagée

FOLLOWERS – la HEAR

Il  vous reste 2 jours pour visiter
FOLLOWERS est une exposition des étudiants du Plateau,
option Art de la HEAR – Haute école des arts du Rhin :
« Il s’agissait de se positionner sur le flot d’images auquel on est
confronté sur internet et les réseaux sociaux en tant que
“followers”, questionner ces images en leur redonnant une
matérialité.  »
Anne Immelé

Shireen Ali, Lena Beckerich, Fred Bello, Neckar Doll,
Silviane de Goër, Alice Guérin, Emma Haëck, Jacques Herrmann,
Hyosook Kim, Ange-Frédéric Koffi, Léa Kreitmann, Nahrae Lee,
Juliette Liou, Vincent Lo Brutto, Emmanuel Michaud,
Océane Pastier, PHiLiPPe PAULiN, Maëlyn Pesquer, Laura Porzio,
Nastassja Ramassamy, Julie Robiolle, Yvan Rochette, Robinson Roumier,
Agathe Sieffert, Pablo Stahl, Marion Stoll, Lydja-Uta Szatkowski,
Hippolyte Tessier.
Etudiants en en 3e , 4e et 5e année option art à la Haute école des arts du Rhin
(Hear), ils ont investis les lieux de La Kunsthalle de Mulhouse.

Le projet initié par leurs professeurs  : Edouard Boyer, Ivan Fayard,
Anne Immelé
explore les nouvelles formes et les nouveaux statuts
de l’image à l’ère des réseaux sociaux. Tout un questionnement
qui est d’actualité qui les orientait à travailler en 2 dimensions,
tout en leur laissant la liberté de leur propre interprétation.
Chaque étudiant a produit sa pièce durant l’année, pour ensuite
collaborer à la mise en espace pour cette exposition, force discussions
et conseils des coordinateurs.
Tous les médiums ont été utilisés, tant qu’il s’agit d’image :
peinture, photo, vidéo, dessin, édition, sculpture …
Une performance a eu lieu pendant le vernissage (que j’ai manquée
pour cause de vernissage à Colmar) qui consistait à reproduire un
épisode de The joy of painting , célèbre show télévisé diffusé aux
États-Unis dans les années quatre-vingt.
Lena Beckerich : A walk in the wood, hommage à Bob Ross
la performance consistait à reproduire en direct,
en suivant un tutoriel qui apprenait à peindre des paysages,
l’image à partir d’une toile blanche. Aussi se pose la question
de savoir qui est l’auteur de l’image ?
L’inspiration vient aussi de Dafen, un village chinois où
8 000 artistes produisent à la chaîne trois à cinq millions
de tableaux par an.

Frèd Bello, les légos
Une autre performance que j’ai ratée, si vous avez des photos je suis
preneuse 😳 , Yvan Rochette a crée un masque en plâtre,
genre scaphandre. C’est un performer en tenue d’Adam qui s’en est
paré et  s’est promené lentement dans l’exposition, s’arrêtant devant
les oeuvres, à la surprise des visiteurs, déclenchant l’hilarité,
la gêne, la curiosité
Questionnement sur le regard et l’identité , quelle image
l’on renvoie de soi, quand on est tout nu, juste à l’abri d’un
masque.
La mythologie est assez évoquée, notamment par le dessin
de Lydja-Uta Szatkowski, qui s’interroge sur la légende
grecque qui circule sur les réseaux sociaux, sur la déesse
de la Lune Sénélé. A chaque éclipse de lune, on dit que Séléné
allait être mangée par un dragon. Lydja est séduite et amusée
par l’idée que la légende de Sénélé, relayée par les réseaux
sociaux, lui accorde le statut, de vampire, qu’elle lui préfère
à la légende originelle.
O Serapis, film d’Emmanuel Michaud où le collectif des élèves
semble rendre hommage à la divinité syncrétique, en le parant
de leurs bijoux, puis en le dépouillant, en une sorte de rite.
Idole déchue ?
Une autre vidéo sur la société de consommation, de Philippe Paulin
The Stupid Beast
D’autres évoquent les images smartphones, les dessins d’enfants –
Léa Kreitmann .
D’autres encore reprennent des photos de l’enfance, en extraient les
détails, pour les repeindre.
Une autre vidéo De Abdomen à Zygote » d’Emma Haëck
Pablo Stahl dès l’entrée nous propose un slogan en poster
“Devenez votre carrière”

Autoportrait, lorsque l’on sait que ses parents sont artistes
bon sang ne saurait mentir !
Hippolyte Tessier
propose de nous servir en
images multiples sérigraphiées

L’exposition se tient du 13 au 18 janvier,
de 12 h à 18 h
Suivez-les
Si j’ai commis des inversions ou des erreurs je suis ouverte
à toutes suggestions.

Cours Publics 2018

C’est comme les marronniers, ils reviennent tous
les ans.
A vos Agendas
Cours Publics est un cycle de cours proposé conjointement
par La Kunsthalle, le Service Universitaire de l’Action Culturelle
de l’Université de Haute-Alsace et la Haute école des arts du Rhin.
Les cours, assurés par des personnalités universitaires
ou du monde de l’art sont ouverts à tous sur inscription.
Autour d’une thématique, trois intervenants présentent un
courant artistique, un pan de l’histoire de l’art qui permettent
de recontextualiser la création contemporaine.

La Table et le Territoire, mené avec l’association COAL

Thème 2018 : ART ET ENVIRONNEMENT

En 2015, lors de la Conférence des Nations Unies,
196 délégations venues du monde entier signaient à
Paris le premier accord universel sur le changement
climatique. Depuis, le consensus s’est avéré fragile et
il ne fait pas de doute que la bataille climatique sera
encore longue. À l’image de cet exemple, la mobilisation
pour une écologie contemporaine se déploie entre prises
de conscience et intérêts contradictoires.
En art, de nombreux artistes sont activement engagés
sur le thème de l’écologie. À leur manière, ils participent
à un effort collectif pour l’environnement, en faveur
d’un monde responsable et conscient de ses valeurs
naturelles. Par leurs oeuvres, leurs démarches souvent
leurs choix de vie, ils signent des plaidoyers pour la planète
avec la conviction que c’est par leurs engagements aussi que
le monde, et l’être au monde, évoluera. Ils s’impliquent
par la matière, l’objet, le voyage, ils sont à l’écoute du monde
sociologique et scientifique.
Le cycle « Art et environnement » donne la parole aux
artistes pour qui la question de l’écologie est vitale
et constitutive d’un progrès social.
Cycle thématique de 3 séances de 1h30 de 18:30 à 20:00
à l’Université de Haute-Alsace / Campus Fonderie Mulhouse
– Amphi 1
Jeudi 18 janvier – Qui va au nord va au sud de Vincent + Feria
Jeudi 15 février – Design for nature d’Alexis Tricoire
Jeudi 15 mars – Formes, art et environnement de Nathalie Blanc

Jeudi 18 janvier – Qui va au nord va au sud de Vincent + Feria
Avec cette conférence performée, l’idée est d’introduire la
question de la mobilisation des artistes dans les multiples
propositions d’interventions artistiques et créatives, en
période de mondialisation. Il va de soi qu’il s’agit d’un
engagement par rapport à l’Environnement et ceci suite
à des expériences dans « l’aller voir », « l’être là » et pour
éveiller la conscience de chacun sur les ravages du changement
climatique. Un art écosophique, éthique et esthétique apparaît
et participe alors aux mobilisations diverses.
Françoise Vincent et Eloy Feria, artistes, enseignants
chercheurs travaillent ensemble depuis 1996.
Ils développent un art d’intention et de participation à
travers des installations, performances, situations, conférences
et ouvertures de sites web. Ils sont membres de l’équipe
de recherche « Arts pratiques et poétiques » (Rennes 2)
et « Arts des images et art contemporain » (Paris 8).
De 2007 à 2009, ils créent et pilotent un programme de
résidence pour artistes au pôle Nord à Ny-Alesund (Arctique)
et Dumont d’Urville en Antarctique « Arts aux pôles »
en partenariat avec l’Institut polaire français (IPEV).
Ils ont entre autre participé à la 52e Biennale internationale
de Venise (2007) ; à la 7e Biennale de Gwangju (Corée du sud,
2007) ; et exposé dans diverses institutions et lieux artistiques
en France, au Venezuela, Portugal, Pologne, etc.
En 2018, ils seront artistes-curateurs de la Biennale de la fin
du monde (Argentine Chili, mars 2018) et partiront pour une
résidence en Île de Pâques (Rapa Nui, janvier 2018).
Jeudi 15 février – Design for nature d’Alexis Tricoire
Alexis Tricoire est un artiste et designer engagé pour
les causes qui lui sont chères.
Fonte du permafrost, disparition de la calotte glaciaire, gestion
des déchets industriels, global warming, déforestation, font partie
des thématiques qu’il aime aborder dans sa création.
Il s’est donné pour objectif de sensibiliser le grand public aux
problématiques écologiques. Son pari : activer la dimension émotionnelle
du spectateur par le beau et l’onirique pour favoriser
l’assimilation d’un message et les changements de comportement.
Il partagera son expérience par la présentation de ses projets
les plus emblématiques avec la volonté d’ouvrir un débat sur
le rôle et la responsabilité de l’artiste en cette période de transition
écologique.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs
et d’un master de The School of Art Institute of Chicago,
Alexis Tricoire repense depuis plus de dix ans les interactions
entre la nature et la société industrielle.
Son champ d’activité va du produit industriel aux sculptures
monumentales en passant par les installations artistiques
éphémères, avec la particularité d’intégrer systématiquement
des plantes vivantes. Il a notamment exposé dans des espaces
institutionnels tels que le Grand Palais, le Muséum National d’Histoire
Naturelle, le Château de Versailles, le ministère de l’Écologie,
la Cité de la Mode et du Design, Le Musée EDF Electra,
et réalisé des sculptures monumentales pérennes dans
des centres commerciaux, bureaux, boutiques, gares, espaces
de restauration…
Jeudi 15 mars – Formes, art et environnement de Nathalie Blanc
Cette conférence s’intéressera à la relation entre «art» et
«environnement» déjà émergeante dans les années 1960
sur la scène Pop Art. Comment les artistes contemporains ne
font-ils pas seulement appel à leurs compétences pour créer
des représentations d’environnements, leurs histoires et
leurs destructions de manière mimétique, mais aussi s’engagent-ils
plus profondément pour aider les sociétés à se réinventer ?
Comment ces mouvements transforment-ils et réfèrent-ils
à ce que l’on appelle un artiste et son positionnement dans
une société donnée ? Comment les dimensions esthétiques
des sociétés en transformation, confrontant le sens et
les sens, s’articulent-elles avec ce qu’on appelle l’art ?
Nathalie Blanc est directrice de recherche au CNRS
et directrice générale du laboratoire LADYSS.
Elle est basée à l’Université Paris Diderot 7 au
département de Géographie, Histoire & Sciences Sociales.
Elle est aussi artiste et commissaire d’exposition et
travaille actuellement sur le thème de la fragilité écologique.

Modalités d’inscription
Inscription uniquement par courrier auprès du
Service Universitaire de l’Action Culturelle de l’Université
de Haute-Alsace – Maison de l’Etudiant – Campus Illberg
– 1, rue Werner 68100 Mulhouse
Tarif plein : 20 euros / tarif réduit 10 euros pour l’ensemble
des conférences.
Entrée libre pour les étudiants de la HEAR et de l’UHA.
Bulletin téléchargeable sur : www.kunsthallemulhouse.com
Pour tout renseignement concernant l’inscription
s’adresser au Service Universitaire de l’Action Culturelle
de l’Université de Haute-Alsace :
03 89 33 64 76 / isabelle.lefevre@uha.fr

Sols, murs, fêlures, La Régionale à la Kunsthalle de Mulhouse

C’est jusqu’au 7 janvier 2018
Sandrine Wymann
directrice de la Kunsthalle de Mulhouse
a confié le commissariat
à Isabelle Henrion  pour la
Régionale 18
En 2017, 19 lieux d’arts à travers l’Alsace, la Suisse
et l’Allemagne
accueillent des artistes confirmés et des
jeunes talents de l’art contemporain. Trois chiffres pour vous
embrouiller l’esprit ! 😛

Les lieux participants à l’exposition :
Accélérateur de particules, Strasbourg (F)
Ausstellungsraum Klingental, Basel (CH)
Cargo Bar, Basel (CH) CEAAC, Strasbourg (F)
E-WERK Freiburg – Galerie für Gegenwartskunst (D)
FABRIKculture, Hégenheim (F)
HeK Haus der elektronischen Künste (CH)
Kunsthalle Basel, Basel (CH)
Kunsthalle Palazzo, Liestal (CH)
Kunsthaus Baselland, Muttenz/Basel (CH)
Kunsthaus L6, Freiburg (D) Kunst Raum Riehen (CH)
Kunstverein Freiburg (D)
La Filature – Scène nationale, Mulhouse (F)
La Kunsthalle, Mulhouse (F) Projektraum M54, Basel (CH)
Städtische Galerie Stapflehus, Weil am Rhein (D)
Stimultania – Pôle de photographie, Strasbourg (F)
T66 kulturwerk, Freiburg
Le titre est un hommage et est inspiré de l’oeuvre de
Georges Didi-Hubermann, Geste, fêlure, terre,
in Barbara Formis
(
sous la direction de) Gestes à l’Oeuvre

L’interview par Radio mne
Le sol est notre surface de contact avec la terre.
Si nous y projetons
nos racines, nous semblons
aussi vouloir nous en
détacher, par notre position
debout, nos constructions
vertigineuses, nos désirs d’envol
et d’élévation. Tels des
danseurs, nous entretenons
un jeu d’attraction-répulsion

avec le sol, où chaque élancement finit en chute
fracassante. Nous creusons la terre, en quête de nos
origines, pour y trouver amas de vestiges et de corps en
décomposition. Nous lui extrayons richesses, nutriments
et matériaux de construction, nous y dressons des murs qui
se fissureront, à leur tour, et redeviendront débris,
poussière, terre.
L’exposition Sols, murs, fêlures reprend ce mouvement
perpétuel entre excavation, érection, érosion. La fêlure
y est un geste de mémoire autant que d’émancipation,
une arme contre les remparts identitaires.
La surface du sol contient alors toutes les hauteurs et
profondeurs auxquelles nous aspirons.
Isabelle Henrion 

L’exposition bénéficie du soutien de la Société des Auteurs
dans les Arts Graphiques et Plastiques et la culture avec la copie privée.
les artistes présentés à la Kunsthalle :
Grégory Buchert (FR), Claire Chassot et Joséphine Tilloy (FR),
Vincent Chevillon (FR), Clémence Choquet et Mickaël Gamio (FR),
Nicolas Daubanes (FR), Clara Denidet (FR), Jörg Gelbke (DE),
Philémon Otth (CH), Pétrole Éditions / Transrevue Talweg (FR)
Taches (du sol aux murs, une chute s’étend), une
performance de Claire Chassot et Joséphine Tilloy

Une vue générale sur l’exposition, avec la photographie
de Vincent Chevillon, artiste-chercheur, ‘Lord of the Pit’
(Lisières 3.1),qui donnera une conférence autour du projet
« raising cair .. » le vendredi 8 décembre dans le cadre des
RDV de la Kunsthalle
et de Clara Denidet, ‘Sabbat’, 2017 qui présente 2 oeuvres
Les marteaux de Sabbat sont de potentielles extensions
de notre corps. Servant à assembler ou à détruire,
ils ont eux-mêmes été réparés, bricolés. Si l’outil renvoie au monde
du travail, sa position ici, tête au sol, produit une image du repos,
de la trêve – moment propice à la réunion des forces et aux
échanges nocturnes. En ronde, anthropomorphes, les marteaux
semblent en effet préparer une révolte à venir.

Le duo Claire Chassot et Joséphine Tilloy  performance
donnée lors du vernissage, Jorge Gelbke dont le moulage
en fer et terre illustre bien le titre.

Une Vidéo-performance, projection HD installée, son, 10’00’’, dimensions variables.
Courtesy de la Galerie Jérôme Poggi, Paris Geranos, 2013 de Grégory Buchert.

Le mythe du labyrinthe symbolise l’homme perdu face
à sa propre complexité et face à la complexité
du monde et de l’univers.
L’étrange chorégraphie du protagoniste de Geranos,
faite de chutes et de rebonds, ne l’empêche pas
de progresser dans son mystérieux dessein.
Elle est inspirée de la danse dite « de la grue »
(« Geranos » en grec) que Thésée est censé avoir
exécutée à la sortie du labyrinthe du Minotaure.
Reproduisant à l’identique les tours et détours du dédale parcouru,
elle double ainsi l’expérience de l’architecture tout en étant la clé
pour en sortir.
La réactivation qu’en fait Grégory Buchert s’inscrit au sein
de ses recherches sur la résurgence des motifs au travers
des disciplines, des époques et des cultures, mais renvoie
également à l’éternel recommencement de nos quêtes et de nos luttes.

Un autre vidéo Clémence Choquet et Mickaël Gamio (FR)
créée in situ. Un plan fixe, filmé sous un pont de métro,
alterne avec des photographies de maisons marquées
par les séismes, très fréquents dans la région. Fissurées et réparées
à maintes reprises, elles se tiennent, tels des îlots de résistance,
au milieu de constructions plus récentes.
En associant le métro et les dégâts de séismes, les artistes reprennent
une métaphore récurrente pour évoquer le ressenti d’un tremblement
de terre – le passage d’un train souterrain. Ils mesurent ainsi la
proximité des différents facteurs entropiques.

Nicolas Daubanes produit ainsi des formes à la fois
brutales et fragiles, contenant les ingrédients de leur propre
désintégration. La série des Sabotages s’inspire des gestes
de résistance de prisonniers de guerre. Sacrifiant leur
faible ration de sucre journalière pour la mélanger au béton,
ils espéraient saboter les ouvrages ennemis auxquels
ils étaient contraints de contribuer.

Philémon Otth :
Objets et matériaux sont injectés dans l’espace d’exposition
après n’avoir subi que de très légères interventions
de l’artiste. Inspiré par la philosophie zen, il joue avec la limite
ténue entre le peu et le rien, entre le visible et l’invisible.
Son vocabulaire minimaliste de formes et de gestes interroge
finalement le sens même de l’entreprise artistique.
Les Real Studio Paintings (véritables peintures d’atelier)
sont des empreintes du sol de l’atelier de l’artiste.

Pétrole Éditions, Transrevue Talweg
Talweg est une transrevue annuelle et collective, éditée et diffusée
par Pétrole Éditions. Porté par trois artistes-chercheuses
(Audrey Ohlmann, Marianne Mispelaëre et Nina Ferrer-Gleize),
Talweg se comprend comme un laboratoire de recherche où se
côtoient propositions plastiques et théoriques, points de vue
artistiques, littéraires et scientifiques. Talweg 4 porte sur la notion
de sol. Éminemment politique, le terme est analysé et creusé
par différents auteurs et outils. L’édition en elle-même a été pensée
de manière sculpturale. Ses bords offrent une vue en coupe à travers
ses couches sédimentaires. Cette image de prélèvement minéral
est renforcée par la présentation dans des meubles au sol qui
ressemblent à des boites de carottage.

Les pages doublées s’ouvrent
ensuite sur des failles et interstices, laissant entrevoir les revers de
la carte géographique qu’elle semble pouvoir devenir, une fois dépliée.
La présence de la transrevue Talweg dans l’exposition, au même titre
que les autres oeuvres, reflète une volonté de considérer la recherche
comme forme artistique à part entière, mais aussi de laisser
s’infiltrer d’autres propositions artistiques et curatoriales dans le projet

LES RENDEZ-VOUS AUTOUR DE L’EXPOSITION
Visite guidée par Isabelle Henrion, commissaire
de l’exposition : samedi 2 décembre à 14h00

Kunstdéjeuner : vendredi 8 décembre à 12h15
Visite accompagnée de l’exposition suivie d’un
déjeuner tiré du sac. Gratuit, sur inscription.
Conférence performée de Vincent Chevillon
et Kunstapéro : jeudi 8 décembre à 18h00
suivie d’une dégustation de vins.
Participation de 5 € / personne, sur inscription.
RDV famille : dimanches
10 décembre et 7 janvier à 15h00

Visite/atelier proposée par Laurence Mellinger,
artiste plasticienne. Pour les enfants à partir de 6 ans
et leurs parents, gratuit, sur inscription.
Lecture Talweg n°4 et Kunstapéro :
jeudi 4 janvier à 18h00
suivie d’une dégustation de vins.
Participation de 5 € / personne, sur inscription.
Visites guidées gratuites à La Kunsthalle :
tous les dimanches à 15h00

Renseignements et inscriptions
au 03 69 77 66 47 ou kunsthalle@mulhouse.fr

 
Heures d’ouverture
Du mercredi au vendredi de 12h à 18h
Les samedis et dimanches de 14h à 18h
Nocturne le jeudi jusqu’à 20h
Horaires exceptionnels du mercredi
27 au samedi 30 décembre de 14h à 18h
.
Fermé les lundis, mardis + 24 et 31 décembre 2017
Entrée libre
Coordonnées
La Kunsthalle Mulhouse – Centre d’art contemporain
La Fonderie
16 rue de la Fonderie – 68093 Mulhouse Cedex
Tél : + 33 (0)3 69 77 66 47
kunsthalle@mulhouse.fr / www.kunsthallemulhouse.com
 

Sommaire du mois de septembre 2017

Véronique Arnold, à la galerie Stampa de Bâle

« Notre héritage n’est précédé d’aucun testament »
à la galerie Stampa à Bâle, en écho à l’œuvre d’Hannah Arendt.
Une tentative sensible de faire mémoire, de réveiller
« l’intelligence du cœur ».
Le titre est une phrase de René Char prononcée en 1946
et citée dans la préface de « La Crise de la culture ».
jusqu’au 21 octobre
06 septembre 2017 : Manish Nai
07 septembre 2017 : La Terre la plus contraire
25 septembre 2017 : Chagall Les années charnières 1911-191
27 septembre 2017 : Stephen Gill – Un photographe anglais
29 septembre 2017 : Steve Roden à la Kunsthalle