L’Olympisme, une invention moderne, un héritage antique

Catalogue officiel de l’exposition « L’Olympisme. Une invention moderne, un héritage antique » du 24 avril au 16 septembre 2024 au Musée du Louvre.

Grâce à la découverte d’archives inédites – issues du fonds de l’artiste Émile Gilliéron – et au réexamen d’oeuvres emblématiques, cet ouvrage revient sur le contexte politique et sur les enjeux de la création de l’olympisme moderne.
Il permet ainsi d’analyser la fabrique de la première iconographie olympique. Le lecteur comprendra alors comment cette réinvention repose sur une combinaison orientée des sources antiques (textes, images et vestiges), faisant de l’olympisme moderne une illusion collective mais efficace.
L’ouvrage rappelle également que Paris, trois fois capitale olympique (1900, 1924, 2024), a été le berceau où est née en 1894 l’idée de l’olympisme moderne.
Cette réinvention, qui s’appuie elle aussi sur une manipulation des sources, a entraîné des dérives nationales ou internationales, des exclusions ou des stéréotypes dont les études classiques ont été d’une certaine manière les victimes.
L’ensemble des textes qui composent ce volume fournissent ainsi les clés pour comprendre l’histoire méconnue de l’olympisme moderne. Par sa matière inédite et son angle d’approche original, ce catalogue s’adresse à tous et permet d’explorer les jeux Olympiques modernes, leur genèse et leur signification.
Cet ouvrage est une coédition Musée du Louvre/Éditions Hazan

INFOS CLÉS

Volume : relié Format : 23 x 28 cm ISBN : 9782754113830
336 pages illustrées
Prix : 45€ TTC Mise en vente : 24 avril 2024

• Catalogue officiel de l’exposition « L’Olympisme. Une invention moderne, un héritage antique » du
24 avril au 16 septembre 2024 au Musée du Louvre.
• Cet ouvrage revient sur le contexte politique et sur les enjeux de la création de l’olympisme
moderne.
• Ce catalogue s’adresse à tous et permet d’explorer les jeux Olympiques modernes, leur
genèse et leur signification.

DÉVOILER – Jean-Christophe Ballot

Exposition de photographies de l'artiste Jean-Christophe Ballot
Commissaire : Pierre-Jean Sugier
Galerie : Cahn comtempory, Basel, Jean-David Cahn
jusqu'au 16 novembre 2023

Présentation

C’est un voyage archéologique, un dévoilement, une fusion entre l’art contemporain et l’archéologie à travers la Mésopotamie, l’Égypte et Rome à partir de ses photographies, orchestrés par l’archéologue et galerie Jean-David Cahn et le curateur en art contemporain, Pierre-Jean Sugier.

Vidéo

Des prises de vues qui s’étalent de 1991 à 2022, avec de nombreux tirages d’époque (pièces uniques sur des papiers aujourd’hui disparus) comme des épreuves réalisées dans le laboratoire de la Villa Médicis en 1991.
Et des nouveautés avec une série sur Rome produite cet automne à partir de sa dernière campagne photographique réalisée en 2022.

L’accrochage met en perspective quatre siècles de représentations des paysages urbains de la Ville Éternelle, avec la présentation pour la première fois de pièces issues de ses collections comme des tirages albuminés du XIXème ou des gravures de Piranèse.

Les photographies des sites égyptiens prises en 2004, exposées pour la première fois, furent en majorité prises dans le mystère de la nuit…

Le voyage en Mésopotamie est tiré directement du travail qu’il a réalisé pour l’ouvrage « L’épopée de Gilgamesh » publié l’an passé aux éditions Diane de Selliers.

 Biographie

Jean-Christophe Ballot est un photographe contemporain, né en 1960. Il poursuit depuis 1987 (premier portrait de ville) un chemin singulier dans le monde artistique, revendiquant et pratiquant une photographie contemplative.

Architecte DPLG (1986), diplômé de l’École nationale supérieure des arts décoratifs (1990), diplômé de La Femis et ancien pensionnaire de la Villa Médicis (1991), ses œuvres figurent dans les collections de nombreux musées : Metropolitan Museum of Art de New York, Musée du Louvre, Fonds national d’art contemporain, Centre Pompidou, Maison européenne de la photographie, Musée Carnavalet, Petit Palais, Musée Rodin, Festival de Chaumont-sur-Loire, Bibliothèque nationale de France, Musée de la photographie de Thessalonique, Musée national d’art contemporain de Thessalonique.
Son regard contemplatif se porte aussi sur la statuaire qu’il traite comme
des portrait

Le paysage urbain

« Diplômé d’architecture, cinéaste et photographe, Ballot travaille à la chambre, ce qui l’oblige à s’installer davantage dans le décor. Il opte pour une frontalité qui privilégie la forme brute de l’architecture, et souligne ainsi le chaos des villes où les signes urbains se confrontent. Acteurs de la composition, les bâtiments sont les révélateurs de la théâtralité des lieux et de leur mémoire. »
Pascal Hoël, Une Collection, Maison européenne de la photographie, Arles, éditions Actes Sud,  

En 1987, étudiant à l’École nationale supérieure des arts décoratifs dans le département photo, Jean-Christophe Ballot reçoit une bourse de l’Office franco-allemand pour la jeunesse afin de passer deux mois à Berlin. Il part avec une chambre Sinar de studio faire ses premiers paysages urbains. Ces photographies sont ensuite présentées au jury de la Villa Médicis et lui permettent de partir travailler sur Rome en 1991.

                Rome, pyramide de Caïus Cestius, 2022

Son projet était de réaliser un portrait urbain de Rome. Pour lui, c’était une manière de parler d’une certaine modernité, un peu de la Renaissance
et beaucoup de l’Antiquité. C’est il y a une dizaine d’année qu’est né le projet de mettre son travail en perspective avec l’oeuvre de Piranèse.
Il a commencé à collectionner des gravures de Piranèse, puis des gravures du XVIIIe siècle, puis des albums photos du XIXe s, dont beaucoup de tirages albuminés. Puis des cartes postales du début du XXe s. Tout ceci est mis en perspective et en résonance  sur 3 siècles. En 2022 il décide de retourner à Rome, pour écrire une quatrième page de ce projet, sur un quatrième siècle.
Il a ainsi les gravures du 18e s, les photos albuminées du 19e s, son travail à la chambre 4’x5′ sur film argentique du 20e s et le travail en numérique du 21e s.
Les quatre siècles correspondent non seulement à une évolution technique, mais aussi à une évolution sensible du regard.

« Rome est un sujet d’exposition à lui seul, qui porte une vocation muséale. Ton invitation, qui est de mettre en perspective, la Mésopotamie, l’Egypte, et la Rome antique avec des oeuvres archéologiques est un enjeu passionnant pour moi. De fait, j’ai du réduire Rome à un sujet : la colonne. C’est le A de l’alphabet de l’architecture. C’est un élément constructif qu’on retrouve dans toutes des architectures.
JC Ballot

Rome, temple de Venus et amphithéatre Flavien, (Colisée) 1991

L’épopée de Gilgamesh

De septembre 2021 à avril 2022, Diane de Selliers et Jean-Christophe Ballot sont partis en Irak, au coeur de la Mésopotamie sur les traces  des oeuvres représentant le célèbre héros. JC Ballot a réalisé autour de L’Épopée de Gilgamesh

Figurine-plaquette : deux guerriers, Irak. Époque amorrite, vers 2000-1600 av. J.-C. Terre cuite, 10,1 x 8,8 cm, musée du Louvre, Paris. © Jean-Christophe Ballot

une œuvre photographique redonnant vie à une centaine de pièces millénaires, conservées principalement dans les départements d’antiquités orientales du musée national d’Irak à Bagdad, mais aussi dans les grandes collections européennes constituées au cours du XIXe siècle : au musée du Louvre à Paris, au British Museum à Londres et au Pergamon Museum à Berlin. À travers cette série de quatre articles, nous vous dévoilons les coulisses de cette aventure artistique et éditoriale en quatre étapes : les recherches préliminaires au Pergamon Museum (épisode 1), les mardis au musée du Louvre (épisode 2)

Statuette : orante tenant un vase, dite la « femme à l’aryballe ». Irak, Époque néo-sumérienne, vers 2100 av. J.-C. Albâtre, 20 × 8,2 cm. Musée du Louvre, Paris © Jean-Christophe Ballot,

une nuit au British Museum (épisode 3) et enfin l’épopée irakienne de Jean-Christophe Ballot et Diane de Selliers (dernier épisode).

L’Egypte

Les photographies des sites égyptiens prises en 2004, exposées pour la première fois, furent en majorité prises dans le mystère de la nuit. En Egypte Il y a une omniprésence de la sculpture avec les bas-reliefs et les hiéoglyphes, sur pratiquement toutes les architectures. Architectures et sculptures sont donc Intimement mêlées. Mais la sculpture est un peu en retrait par rapport aux grandes masses, aux grands volumes, aux pyramides, aux colonnes et aux salles hypostyles. C’est donc ce principal élément d’architecture , que j’ai retenu dans mon travail sur l’Egypte ancienne. Ce qui aussi intéressé, ce sont les prises de vues de nuit pour ajouter une dimension encore plus mystérieuse, plus spirituelle. Ainsi les dieux de l’Egypte ancienne vont nous parler.
JC Ballot

Information pratiques

Galerie Cahn comtempory
19 Steinentorstrasse
Basel

Ouvert du jeudi au dimanche
13 h à 19 h

Visite avec les artistes le dimanche 5 novembre à 16h, suivi d’un verre de l’amitié.

Je confirme ma présence à la visite dimanche 5 nov. 16h

À l’occasion de son 170e anniversaire, le Musée Unterlinden de Colmar propose une exposition-anniversaire

L'exposition propose une participation au public à travers 11 personnages clés mis à l'honneur, onze voix sous les tilleuls - une création littéraire inédite-, qui ont marqué l'histoire du musée, des outils numériques d'aide à la visite et ceci jusqu'au 4 mars 2024.
Chloé Heninger, commissaire de l'exposition a imaginé avec son équipe un parcours ludique. Assistante d’exposition : Léa Rosenfeld

Des oeuvres emblématiques retracent ses 170 ans d’existence et témoignent du rôle essentiel du musée et de la Société Schongauer, association qui gère et administre le musée depuis son ouverture et qui insuffle la stratégie, valide et finance les différentes actions proposées pour la conservation et la diffusion
du patrimoine artistique, historique et archéologique.
Des temps festifs et de convivialité permettent aux publics d’être partie prenante de la construction du musée de demain. Le musée du 21e siècle n’est
plus un sanctuaire silencieux et hors du temps ; c’est un lieu de vie, d’échanges et de partage à célébrer.

Mot de la commissaire

Parce qu’un anniversaire se fête à plusieurs, le musée a convié un grand nombre de partenaires à participer à l’élaboration de cette exposition. Ce travail en commun permet de repenser tout ce qui constitue une exposition – les prêts, les cartels, les textes de salle, les outils de médiation, la programmation culturelle, les supports de communication – et de réinterroger nos pratiques pour « faire » autrement, en les enrichissant par des contributions extérieures.
Dans le cadre de projets pédagogiques, des étudiants se sont emparés de questions relatives à la muséographie, à la perception des oeuvres et aux outils d’aide à la visite. Les musées prêteurs, liés historiquement au Musée Unterlinden, ont contribué aux choix et à la valorisation d’oeuvres témoignant d’un patrimoine culturel commun à l’échelle du territoire. De nombreux partenaires culturels ont été sollicités pour construire une programmation culturelle axée sur l’interdisciplinarité, la mise en lien des oeuvres avec le théâtre, la danse contemporaine, la musique, les arts plastiques, le spectacle vivant et la littérature.
Les textes institutionnels se sont ouverts, par le biais d’une résidence littéraire et d’ateliers d’écriture, à la plume d’une romancière et d’écrivains amateurs. Les membres de la Société Schongauer ont ainsi contribué à l’exposition par la rédaction de cartels « L’ oeuvre vue par… », donnant leur point de vue personnel sur les oeuvres.
Chloé Héninger,
Attachée de conservation
Responsable des collections archéologiques – extrait

Onze personnalités incontournables mises à l’honneur

Tout au long du parcours d’exposition, des outils numériques d’aide à la visite, des oeuvres emblématiques, des albums photographiques ainsi que des textes biographiques littéraires rédigés par la romancière Carole Martinez,
retracent l’histoire de onze personnalités incontournables qui ont fait l’histoire du musée.
À travers le cloître, la chapelle, l’ancienne cave du couvent abritant les collections archéologiques, la galerie souterraine ainsi que les salles consacrées
à l’art moderne dans l’Ackerhof, les visiteurs découvrent ces personnalités, leurs époques et leurs liens avec le musée et ses collections.

                  Martin Schongeur & Auguste Bartholdi

Six premières personnalités sont à découvrir dans les salles d’exposition permanentes du musée :
Auguste Bartholdi, Théophile Klem, Madeleine Jehl, Edmond Fleischhauer, Jean-Paul Person et Jean-François Jaeger.

Le parcours se poursuit au niveau 2 de l’Ackerhof dans l’espace dédié aux expositions temporaires, avec la présentation de cinq autres personnalités
majeures :
Louis Hugot, Ignace Chauffour, Florine Langweil, Jean-Jacques Waltz et Charles Bonnet.

Onze voix sous les tilleuls – Une création littéraire inédite

Une résidence d’écriture, une édition
Le Musée Unterlinden innove en invitant la romancière Carole Martinez dans le cadre de la mise en place de sa première résidence artistique. Poursuivant
son ambition de faire dialoguer les artistes contemporains avec ses collections, son architecture ou encore son histoire, le musée a proposé à l’écrivaine d’être la voix des onze personnalités mises à l’honneur dans le parcours d’exposition.
Carole Martinez livre onze textes littéraires et biographiques à travers lesquels elle plonge le lecteur dans l’histoire intime et sensible de la vie de ces hommes et ces femmes qui ont oeuvré à la création et au rayonnement du musée.

Livre Onze voix sous les tilleuls
Éditions I Médiapop – Prix I 9 € – Date de distribution I 14 octobre 2023
En savoir plus

Programme

Retrouvez ici le programme de l’exposition qui vous invite à fêter les 170 ans du musée !

Découvrez en ligne une sélection d’œuvres en lien avec les onze personnalités incontournables qui ont fait l’histoire du musée depuis 170 ans.

Informations pratiques

Horaires d’ouverture
Musée Unterlinden

Mercredi au lundi : 9h – 18h

Dernier accès au musée à 17h30 – Clôture des caisses 30 minutes avant la fermeture du Musée.
Mardi : fermé

Le dimanche 24 décembre et le dimanche 31 décembre 2023 le musée est ouvert de 9h à 16h

Jours fériés de fermeture : 1.1., 1.5., 1.11., 25.12

Accueil téléphonique du lundi au vendredi de 8h à 12h :

+33 (0)3 89 20 15 50

À partir du 14.10.23, date d’ouverture de son exposition-anniversaire
« 170 ans – Ça se fête avec vous ! », le Musée Unterlinden de Colmar propose une carte «
Jeunes membres » de la Société Schongauer aux moins de 30 ans.

Bibliothèque

Mercredi et vendredi sur rendez-vous : 14h – 17h.
Rendez-vous auprès de Corinne Sigrist, bibliothécaire,  au +33 (0)3 89 20 22 76 ou csigrist@musee-unterlinden.com   

Boutique

Mercredi au lundi : 10h – 18h

Dimanche : 11h – 18h
Mardi : fermé

Café-Restaurant Schongauer

Mercredi au dimanche :  10h00 à 17h00

Fermé les lundis et les mardis toute l’année.

Pour toute demande de réservation, vous pouvez contacter le restaurant par mail cafe@musee-unterlinden.com

La BPM – Biennale de la Photographie de Mulhouse

Christophe Bourguedieu, St Nazaire 2017

« La BPM a pour objectif de montrer une pratique photographique
contemporaine en perpétuel mouvement et interrogation.
Le rapport de la production photographique à sa contemporanéité
est l’un des axes de la programmation : son rapport à l’évolution
du médium mais aussi au contexte écologique, social, économique. »
Anne Immelé, directrice artistique
DIRECTION ARTISTIQUE

                                    Photo Dominique Bannwarth
La direction artistique de la BPM est confiée à Anne Immelé, photographe et Docteure en art. Son travail de curatrice est souvent fondé sur une compréhension spatiale des lieux et sur l’association des photographies entre elles, en témoigne l’exposition Those eyes, these eyes, they fade
(Galerie Valetta Contemporary, Malte, 2022). Ses recherches curatoriales découlent d’une thèse intitulée Constellations photographiques, soutenue en
2007 à l’Université de Strasbourg et publiée par Médiapop Éditions en 2015. Son intérêt concernant les enjeux de l’exposition dans le champ de la photographie contemporaine se reflète également dans des articles publiés dans le magazine Art Press. Photographe, elle est l’auteure de plusieurs livres, dont WIR avec le philosophe Jean-Luc Nancy aux éditions Filigrane, Oublie Oublie, et Jardins du Riesthal, parus chez Médiapop en 2020 et 2022. Son travail photographique est régulièrement exposé, comme en 2019 à la Fondation Fernet-Branca (Saint-Louis) (comme un souvenir). Elle travaille actuellement dans le bassin méditerranéen sur le projet Melita. Soutenu par la CNAP, ce projet interroge la notion de refuge depuis l’antiquité à partir de la traversée de la Méditerranée, une première exposition aura lieu durant la MaltaBiennale
en 2024.
Enseignante à la HEAR, Haute école des arts du Rhin, elle vit et travaille à Mulhouse et Malte.

NOVO

À chaque édition de la BPM son Hors-Série de Novo. Les différents portraits de photographes, entretiens et textes critiques participent ensemble à la réalisation d’une revue-catalogue diffusée gratuitement lors de la Biennale.
https://mediapop-editions.fr/novo/

L’EXPOSITION
10 ANS /
10 PHOTOGRAPHES

C’était


QUAI DES CIGOGNES, MULHOUSE
OUVERTURE LE 7 OCTOBRE 2023
14h : Inauguration de l’exposition au quai des Cigognes
16h : Table ronde, Bibliothèque Grand’Rue
Questions d’exposition : Enjeux et perspectives des festivals photographiques
Avec la participation de Sarah Girard (directrice des Journées Photographiques de Bienne),
Sébastien Arrighi (président et fondateur
du festival Mascarone Lab)
et Anne Immelé (directrice de la BPM). Discussion menée par Dominique Bannwarth, président de Mulhouse Art Contemporain.

16h : Table ronde, Bibliothèque Grand’Rue
Questions d’exposition : Enjeux et perspectives des festivals photographiques
Avec la participation de Sarah Girard (directrice des Journées Photographiques de Bienne), Sébastien Arrighi (président et fondateur
du festival Mascarone Lab) et Anne Immelé (directrice de la BPM). Discussion menée par Dominique Bannwarth, président de Mulhouse Art Contemporain.

Les photographes

Janine Bächle
Geert Goiris
Matthew Genitempo
Pascal Amoyel
Rebecca Topakian
Paul Gaffney
Michel François
Nathalie Wolff & Matthias Bumiller
Céline Clanet
Christophe Bourguedieu

À l’occasion des 10 ans de la BPM, cette exposition dans l’espace public réunit
10 photographes ayant participé aux différentes éditions du festival depuis 2013. La sélection montre une diversité d’approches photographiques, mais tous les photographes témoignent d’une approche sensible, à la fois poétique et politique du monde contemporain.
Le fil conducteur des photographies exposées est le questionnement sur la possibilité ou l’impossibilité d’habiter le monde transformé par l’activité humaine. Janine Bächle, Céline Clanet et Paul Gaffney se questionnent sur les moyens de vivre en harmonie avec la nature, Rebecca Topakian, Michel François, Christophe Bourguedieu, Nathalie Wolff & Matthias Bumiller interrogent la société post-capitaliste, ses frontières et ses contradictions.
Plus intimistes, Matthew Genitempo et Pascal Amoyel photographient leurs proches dans une relation au territoire de vie. Enfin, Geert Goiris illustre une tension fondamentale entre l’humain et la nature.

Continuer la lecture de « La BPM – Biennale de la Photographie de Mulhouse »

TRANS(E)GALACTIQUE – Festival Vagamondes

SMITH Trans(e)galactique, Dami (disque), 2023, smith.pictures

commissariat :  Superpartners (SMITH & Nadège Piton)
à la Galerie de La Filature, Scène nationale de Mulhouse
du 17 mars au 14 mai 2023
exposition en entrée libre
Avec les oeuvres
de Cassils, Pierre Molinier, Amos Mac, Del LaGrace Volcano, Laurence
Philomène, Darko de la Jaquette, Sébastien Lifshitz, Romy Alizée, Christer Strömholm, Marcel Bascoulard, Pepe Atocha, Pierre Andreotti, Yannis Angel, Marc-Antoine Bartoli, Fredster,  Leonard Fink, Gal & Hiroshima, ISAvince, Brandon Gercara, Cha Gonzalez, Balthazar Heisch, Lazare Lazarus, Kama La Mackerel, Roberto Huarcaya, Annie Sprinkle & Beth StephenS
(SEXECOLOGY), Tom de Pékin, Prune Phi + Tal Yaron & Kianuë Tran Kiêu, Genesis Breyer POrridge, SMITH + Corine Sombrun & Jeanne Added

En ouverture de la 11e édition du Festival Vagamondes, le duo-complice Superpartners décloisonne La Filature pour y explorer les identités mutantes, transitions célestes, voyages dans la jungle des métamorphoses humaines et non-humaines.
En 2020, la revue The Eyes, qui explore les faits culturels et sociétaux contemporains à travers le médium photographique, offre au binôme Superpartners une carte blanche, qui deviendra l’ouvrage Transgalactique : un voyage photographique autour des travaux d’astres-artistes LGBTQIA+, trans et/ou queer, qui ont secoué la notion de genre et renversé les stéréotypes qui lui sont associés. Grâce à des portfolios historiques et contemporains, et des conversations avec la militante Lalla Kowska-Régnier, le philosophe Paul B. Preciado ou l’historienne de l’art Elisabeth Lebovici, la revue fait place à des artistes directement concerné·e·s par la question de la transition, de la fluidité, de la confusion, de la mutation des genres.

Cette recherche s’inscrivait dans le travail de recherche et de création de SMITH, artiste trans et chercheur transdisciplinaire (détenteur d’un doctorat de l’UQAM, Montréal) – travail déjà  présenté à l’occasion de deux expositions à La Filature en 2022 –, qui se déploie dans toutes  les directions de l’imaginaire : photographie, cinéma, performance, mais aussi à travers la curation d’exposition et des collaborations avec d’autres artistes et chercheurs
Cette recherche s’inscrivait dans le travail de recherche et de création de SMITH, artiste trans et chercheur transdisciplinaire (détenteur d’un doctorat de l’UQAM, Montréal) – travail déjà présenté à l’occasion de deux expositions à La Filature en 2022 –, qui se déploie dans toutes les directions de l’imaginaire : photographie, cinéma, performance, mais aussi à travers la curation d’exposition et des collaborations avec d’autres artistes et chercheurs.

Nouveau Chapitre

Ainsi, l’exposition Trans(e)galactique se présente comme un chapitre nouveau de la réflexion mené par SMITH avec Nadège Piton depuis plusieurs années, autour du constat que notre civilisation contemporaine a perdu quelque chose de son rapport à l’invisible, au distant, au non-humain, au cosmos. Nous construisons ce que nous sommes à l’intérieur d’un système fait de frontières, de séparations, de distinctions, d’exclusions, de scléroses, de dominations.
Dans ce monde capitaliste, sous surveillance généralisée, où l’opacité, le mystère, le secret ont disparu – quels chemins de traverse se frayer pour devenir ce que nous sommes : pirates, tricksters, divergent·e·s en tous genres ?

Double casquette

En tant qu’artiste, chercheur, commissaire, à travers des projets tels que Spectrographies ou Désidération, SMITH met en place des stratégies pour ses nouvelles recherches, inspirées par sa rencontre avec Corine Sombrun, le poussent vers l’expérience des états non-ordinaires de conscience (transe cognitive auto-induite, médecine amazonienne, pratique de l’impesanteur au sein d’un vol Air Zéro-G) pour y trouver des stratégies nous permettant de nous lier avec tout le vivant.

Un lien mystérieux

L’exposition Trans(e)galactique se fait ainsi l’écho de ce lien mystérieux entre les transitions de genre et d’état, les manières de défaire et relier les binarités caduques qui opposent, plutôt qu’elles ne relient : le masculin et le féminin, le visible et l’invisible, le rêve et l’éveil, l’humain et le non-humain… Elle se présente comme une enquête sur ce qui trans(e), et tisse des liens entre différents mondes pour rêver un mouvement d’abolition des frontières, des
binarités et des assignations.

« Nous avons fait le choix de montrer nos visages, nos corps – des corps dissidents, trans, queer, binaires et non-binaires, valides et non-valides, blancs ou non-blancs, autant de corpsvéhicules
de l’idée d’un passage, d’une transition, d’un voyage sur le spectre du genre. »
SMITH, émission « Par les temps qui courent »,
Marie Richeux, France Culture

L’exposition

Au sein de l’exposition, près d’une centaine d’oeuvres (photographies, vidéos, peintures, dessins) proposées par 35 artistes internationaux accompagnent ce parcours de pensée à travers l’instauration de nouvelles subjectivités passant par le travestissement, la chirurgie, le maquillage, le montage, le tatouage (Pierre Molinier, Marcel Bascoulard, Genesis Breyer POrridge, Gal & Hiroshima, Yannis Angel, Balthazar Heisch) ; la redéfinition des contours du
portrait de famille et du journal intime (Laurence Philomène, Darko de la Jaquette) ; des pratiques documentaires autour des communautés LGBTQIA+ contemporaines et historiques (Amos Mac, Christer Strömholm, la collection de Sébastien Lifshitz, Del LaGrace Volcano, Cha Gonzales, Leonard Fink, Romy Alizée, Marc-Antoine Bartoli, Annie Sprinkle, Cassils) ; la création de nouvelles images pour raconter des corps invisibilisés, invisibles, impensés
(Brandon Gercara, Kama La Mackerel, Pepe Atocha, Prune Phi + Tal Yaron & Kianuë Tran Kiêu, le projet Sexecology, SMITH avec Act UP – Paris, Corine Sombrun & Jeanne Added) ; des propositions picturales intégrant un imaginaire de l’intime (Tom de Pékin, Fredster, Lazare Lazarus, ISAVince) ; jusqu’à une présence hybride de végétal et de photographie avec l’Amazogramme de Roberto Huarcaya.

Galerie d’images
Informations pratiques

DES RENDEZ-VOUS EN ENTRÉE LIBRE
EXPOSITION du ve. 17 mars au di. 14 mai 2023
du ma. au sa. 13h-18h + di. 14h-18h + soirs de spectacles

CLUB SANDWICH je. 30 mars 12h30
visite guidée de l’expo + pique-nique tiré du sac (sur inscription 03 89 36 28 28)
VISITES GUIDÉES sur rendez-vous
edwige.springer@lafilature.org ou 03 89 36 28 34

LA FILATURE, SCÈNE NATIONALE DE MULHOUSE
20 allée Nathan Katz 68100 Mulhouse
· 03 89 36 28 28 · www.lafilature.org
La Filature est membre de Plan d’Est – Pôle arts visuels Grand Est
et de La Régionale (Art contemporain de la région tri-rhénane)

Sommaire du mois de février 2023

Wayne Thiebaud Flood Waters LAC Fondation Beyeler actuellement

17 février 2023 : ALCHIMIA NOVA – Anne Marie Maes
14 février 2023 : Espèce d’animal ! Un bestiaire contemporain
14 février 2023 : Un bestiaire contemporain au Séchoir suite
10 février 2023 : La roue = c’est tout, Nouvelle présentation de la collection Tinguely
08 février 2023 : Vagamondes
02 février 2023 : Jean Tinguely : l’Éloge de la folie
01 février 2023 : Trésor national : le musée d’Orsay s’enrichit d’un exceptionnel tableau de Caillebotte

Sommaire du mois d’avril 2021

Fondation Beyeler, terrasse de la Villa Berower

Calendrier du déconfinement du 29 avril 2021

Et la Covid est toujours là !!!

24 avril 2021 : Life – OLAFUR ELIASSON à la Fondation Beyeler
23 avril 2021 : « Faces » d’Anne-Sophie Tschiegg
20 avril 2021 : LENZ AU MUSÉE
17 avril 2021 : Anne-Catherine Goetz
11 avril 2021 : Donner son sang au musée !
9 avril 2021 : Peintres femmes, 1780-1830. Naissance d’un combat
7 avril 2021 : La Fondation Beyeler et Nordstern Basel présentent Dixon x Transmoderna
4 avril 2021 : Joyeuses Pâques
1 avril 2021 : Philippe GELUCK, Le Chat à Matignon

« Faces » d’Anne-Sophie Tschiegg

Photo Camille Stoos

Ca y est, celui qu’on attendait est sorti : « Faces », le troisième opus aux éditions Chicmedias, d’Anne-Sophie Tschiegg. Pour la conception de cette merveille, elle s’est associée au photographe Marc Guénard.


Ensemble, ils ont réalisé une trentaine de portraits parmi lesquels on retrouve d’autres artistes du château (Motoco). Leurs modèles ont la particularité d’avoir le visage peinturluré, offrant un écho au combat mené par le collectif russe réuni autour de l’artiste Ekaterina Nenasheva pour déjouer les caméras de vidéosurveillance.
Si comme nous, vous voulez vous prendre une châtaigne de beauté en pleine face, ça se passe par là, chez notre éditeur préféré (avec Médiapop bien sûr ! ) : la boutique Chicmedias
Merci AnneSo, Marco, Bruno, Clément, Juliette, Clem, Alex, Alex, Nico, Ouissem, Simon, Camille, Julie, Tiago, Irakli, Kiki, Michele, Jacques, Anne, Lisa, Grégory, Anne-Laure. Quelle collab 😘😘
texte Martine Zusatz-Zussy

Le Char de la mort, Emmanuel Honegger.

Le « Char de la mort » est un livre d’Emmanuel Honegger au Verger éditeur.
Il devait paraître officiellement le 20 mars 2020. Dans les circonstances que nous vivons, (Covid-19) la parution de l’ouvrage, véritable hymne de Théophile Schuler à la République, est reporté au 5 juin en librairie
C’est une rencontre virtuelle, Covid-19 oblige
Merci à Emmanuel Honegger de m’avoir envoyé son livre.


C
‘est la première grande toile que l’on aperçoit lorsque l’on arrive dans
la partie art moderne, à l’Akerhof, au musée Unterlinden.
Intrigante par sa construction pyramidale, un triomphe guerrier, une mort de Sardanapale inversée ? Cela mérite un décryptage et attention.
C’est ce que propose dans son livre Emmanuel Honegger.

Tout le monde connait Gustave Doré ! Théophile Schuler, son contemporain,
né et mort à Strasbourg (1821-1878), n’est pas aussi célèbre…
c’est une véritable injustice. Dessinateur, peintre romantique et graveur, Schuler illustra notamment Jules Verne, Victor Hugo et Erckmann-Chatrian.
Emmanuel Honegger

Le Char de la mort est une immense peinture de 3.5 mètres de long présentée au musée Unterlinden de Colmar.
Ce tableau, peint au milieu du XIXe siècle, coupe véritablement le souffle, un peu comme le fait Le Radeau de la Méduse de Géricault ou La Liberté guidant le peuple de Delacroix.

Mais outre son aspect grandiose, l’œuvre se révèle une véritable profession de foi… politique ! En raison de la censure, sévère à l’époque, le peintre fut obligé de ruser : Il camoufla donc sa dénonciation de l’ancien régime, comme son immense désir de République. Pour cela, ce fils de pasteur mêla de multiples allusions religieuses aux symboles politiques qu’il choisit…

Aller à l’oeuvre pour observer tous les détails ici
en promenant votre souris sur le tableau
cela vous donnera encore plus l’envie de vous plonger dans le livre
et son analyse

Le livre d’Emmanuel Honegger se propose de décrypter les nombreux messages cachés « entre les lignes » de la fresque. Par exemple, on peut avancer que l’ange de la mort se tient en réalité debout sur le cercueil de Napoléon, ou découvrir pourquoi Jonas, personnage biblique resté trois jours dans le ventre d’une baleine, figure parmi les personnages représentés…

Vous découvrirez pourquoi ce tableau, peint après la révolution de juin 1848 qui fit 5500 morts à Paris, est un cri en faveur de la République et une charge impitoyable contre l’ancien régime.

Le peintre fut obligé de livrer son message sous forme d’énigmes pour parer à la virulente censure de Napoléon III.

L’enquête se révèle aussi passionnante qu’un bon roman policier…

La crise du milieu du 19e siècle et notamment la Révolution de 1848 marquèrent profondément l’esprit romantique de certains artistes. Tel fut le cas de Théophile Schuler, peintre originaire de Strasbourg, élève de Gabriel-Christophe Guérin à Strasbourg, à Paris de Michel-Martin Drolling de 1839 à 1843 puis du peintre d’histoire Paul Delaroche de 1843 à 1848.
Le char de la Mort daté de 1848 exorcise le tumulte des évènements qui secouent l’Europe cette année-là. Inspiré autant par les Danses macabres d’Holbein que par le goût romantique pour l’ésotérisme et l’au-delà, Schuler conçoit une composition audacieuse d’une grande richesse iconographique.

Sur un char mené par quinze chevaux réduits à l’état de squelettes chevauchant dans un paysage désolé de cimetière aux tombes béantes, la Mort emporte sur son passage tous les hommes, qu’importe leur condition telle la figure du roi tentant vainement de retenir sa couronne. Les arts ne sont pas épargnés, évoqués à la fois par leurs personnifications féminines ainsi que par la pierre tombale portant, au centre de la composition, le nom du peintre.

Cette oeuvre, s’aborde aussi comme un livre d’histoire. Surchargée de symboles politiques et religieux, il a fallu deux années de travail à l’auteur pour en décrypter les messages cachés. La censure sous le second Empire avait amené Théophile Schuler à « écrire entre les lignes ».
Faire revivre sa pensée républicaine est le résultat d’une enquête minutieuse avec des rebondissements et doubles pistes dignes d’un roman policier.
Préface de Rémy Valléjo, frère dominicain, et postface de l’historien
Georges Bischoff.

NB : Le Meiselocker (charmeur de mésange), statue de la fontaine de la place Saint Etienne à Strasbourg, présente sur son socle le portrait de Théophile Schuler (et, de l’autre côté, celui de Daniel Arnold, l’auteur de la première pièce de théâtre écrite en Alsacien : Le Pfingstmontag traduite en 2014 par Roger Siffer et Suzanne Mayer, que Schuler avait illustrée.)


Emmanuel Honegger

Emmanuel Honegger présente Le Char de la mort et le travail du peintre Théophile Schuler à la salle blanche de la librairie Kléber, à Strasbourg, interviewé par Walter KIWIOR, grand spécialiste en peinture alsatique.
vidéo ici

Auteur et dessinateur, Emmanuel Honegger est né en 1956 à Paris.

Il vit et travaille à Haguenau, dans le Bas-Rhin.
J’ai publié sur mon blog, l‘article d’Emmanuel Honegger, sur David Hockney
après une discussion sur Facebook.

– Diplômé de l’École des Arts décoratifs de Strasbourg, promotion 1979.
– Président des Amis de l’œuvre et de la pensée de Georges Migot, peintre et compositeur.
– Vice-président des Amis du compositeur Jean-Jacques Werner.
– Vice-président de l’Académie rhénane.
Ancien vice-président de la SAAMS (Société des Amis des Arts et des Musées de Strasbourg)
– Ancien président de la commission Théophile Schuler de la SAAMS, récompensant des artistes de moins de 35 ans vivant et travaillant en Alsace.
Site d’Emmanuel Honneger

Cadeaux de Noël

Vous avez choisi les cadeaux de Noël pour votre famille, amis, amants,
mari, enfants.
Mais avez-vous pensé à vous faire un cadeau perso à vous-même ?
J’ai quelques suggestions à vous soumettre, en vous proposant le meilleur, les ayant moi-même dégustées.
Vous vous doutez bien qu’il ne s’agit pas du dernier modèle de robot de cuisine.
Ce sont des livres d’artistes.
Ces artistes ne jouent pas tous dans la même cour, c’est ce qui fait leur charme, leurs talents respectifs sont incontestables, mais divers.

.Si l’on parle de Pascal Poirot, peintre, sculpteur, professeur, maître du paysage, comme de l’architecture, son livre, bilingue, français, anglais, enrichi par les textes de Tiphaine Laroque, entre autres, des photos de Florian Tiedje, dont les photos sont exposées actuellement à la
Galerie de la Filature,
ses peintures étaient exposées à ST’ART au Comptoir des Papiers de Valérie Cardi, au KunstKosmos Durbach Museum
[EN]QUETE DE PEINTURE
est tout à fait imparable.

Karine vidéo de Robert Cahen, n’est une inconnue que pour peu de monde, petit bijou, admiré dans le monde entier a donné naissance à un livre, préfacé et enrichi par les textes Jean Luc Nancy, philosophe.
Le code barre, inséré dans le livre permet d’écouter et de visionner la vidéo, et de pénétrer dans la poésie de ce grand artiste.
Robert Cahen, artiste vidéaste international, globe trotter, aux semelles de vent, juif errant, (c’est lui-même qui se qualifie ainsi) auteur, compositeur de musique concrète.
Editions Yellow Now

You are the Univers, de Véronique Arnold est le livre de l’exposition éponyme de 2019, à la galerie Stampa de Bâle. Véronique Arnold est présente depuis 2 ans à Art Basel, excusez du peu, parmi les artistes présentés à Art Basel, qui est tout de même la plus grande foire d’art du monde. Passionnée par tout ce qui a trait à l’espace et aux mystère
de la vie, elle présente dans ce livre un ensemble d’oeuvres, fruit d’un travail minutieux, qui donne forme aux réflexions et interrogations
de l’artiste.
Editions Mediapop, Philippe Schweyer

 The last, but not the least, Andy chat blanc, même si vous n’avez aucun goût pour les chats, livre conçu par sa maîtresse, Anne-Sophie Tschiegg,
la « folle dingue de Motoco« , femme-sandwich, néanmoins artiste peintre de grand talent, photographe à ses heures, affichiste, auteur, parce que oui, c’est une littéraire, exposée partout sur la planète.
Magnifique objet, comportant de superbes photographies accompagnées
de textes choisis.
Chicmedias éditions


Le choix est certes difficile, mais vous serez agréablement surpris
en optant pour les quatre.