Que cette nouvelle année vous apporte la réussite, la santé et la prospérité que vous méritez. Que l’amitié, l’amour soient au rendez-vous. Que les difficultés de cette année nouvelle vous soient toutes épargnées, que le bonheur soit au rendez-vous dans vos cœurs et dans ceux de vos proches. En un mot, je vous souhaite une merveilleuse année 2020 ! Que l’humour ne soit pas absent dans votre vie. C’est pourquoi j’illustre mon propos avec un dessin de Hans Baldung Grien intitulé par lui-même « Voeux de Nouvel An avec trois sorcières«
Dessin issu de l’exposition
Un patronage franco-allemand
La grande Exposition du Land de Bade-Wurtemberg « Hans Baldung Grien. sacré | profane » est placée sous le haut patronage du Ministre-Président du Bade-Wurtemberg Winfried Kretschmann ainsi que du Président de la Région Grand-Est, Jean Rottner. Les commissaires de l’exposition sont Dr. Holger Jacob-Friesen et Dr. Julia Carrasco avec le soutien de Dr. Johanna Scherer, stagiaire de recherches.
Une visite à prolonger à Fribourg et en Alsace
Cette exposition est enrichie par l’interaction avec d’autres lieux qui ont jalonné la vie de Baldung. A Fribourg, le somptueux triptyque est à découvrir dans la cathédrale et une sélection d’œuvres est présentée au Musée des Augustins. A Strasbourg, la ville principale de sa carrière, vingt gravures sont exposées au Musée de l’Œuvre Notre-Dame.
Par ailleurs, une collection éminente d’œuvres signées par des contemporains de Baldung, notamment Lucas Cranach et Matthias Grünewald, se trouve au Musée Unterlinden de Colmar.
Une peinture de Hans Baldung Grien (1484/85–1545) dont les grands musées, allemands (Karlsruhe, Fribourg) et français (Strasbourg et Colmar) présentent de grandes rétrospectives. Joyeux Noël à mes anciens et nouveaux lecteurs
Le Musée des Beaux-Arts et le Cabinet des Estampes et des Dessins, présente cette donation exceptionnelle au palais Rohan (Galerie Heitz) du Jusqu’au 24 février 2020. Une donation exceptionnelle de tableaux, dessins et gravures ( XVIe-XIXe siècles) pour les Musées de la Ville de Strasbourg
Au printemps 2019, Madame Marie-Claire Ballabio a formulé le souhait de donner à la ville de Strasbourg 57 œuvres de la collection constituée avec Madame Jeannine Poitrey (†). Ce don est composé de 17 tableaux anciens et de 40 œuvres sur papier du XVIe au XIXe siècle avec une majorité d’œuvres du XVIIe siècle. La donation concerne trois institutions : le Musée des Beaux-Arts pour les peintures, le Cabinet des Estampes et des Dessins et le Musée d’art moderne et contemporain pour les œuvres graphiques. La collection a été constituée depuis 30 ans auprès de marchands et maisons de ventes de renommée internationale.
Le choix de la ville de Strasbourg est justifié par la politique ambitieuse d’exposition des musées. Par ailleurs, la notoriété et la qualité des collections ont conforté les donatrices dans leur choix. Plus qu’une accumulation de noms, cette collection est faite d’œuvres de haute qualité. Concernant les peintures, les fleurons sont sans nul doute une vue urbaine du hollandais Berckheyde, une Vierge priant de Sassoferratoet un rare Prophète de Signorelli. Citons encore les œuvres du caravagesque Borgianni (une rare esquisse en grisaille), de Francken, de Pittoni ou de Trevisani. Les écoles représentées sont pour l’essentiel l’Italie (avec 10 tableaux) et d’autre part la Hollande et les Flandres. Tous ces tableaux viendront combler des lacunes ou renforcer les collections du musée. Dans les 40 dessins et gravures proposés à la donation, on compte deux artistes strasbourgeois, Johann Wilhelm Baur, dont le Cabinet des Estampes et des Dessins conserve déjà un ensemble exceptionnel, et Gustave Doré. Le reste de la collection de dessins permettra de faire entrer dans les fonds strasbourgeois des artistes rares qui en étaient jusqu’à présent absents, comme Giuseppe Vermiglio ou Pieter van Lint. Parmi les dessins les plus spectaculaires, on peut citer le superbe Saint Luc d’Abraham Bloemaert daté de 1629, la Flagellation du Christ de Giandomenico Tiepolo ou la Vision de saint Jérôme de Jean-Honoré Fragonard.
Accès depuis la gare de Strasbourg Bus 10, 14, 24, 4, 71 Tram A, B, D arrêt Grand’rue
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Vous avez choisi les cadeaux de Noël pour votre famille, amis, amants,
mari, enfants. Mais avez-vous pensé à vous faire un cadeau perso à vous-même ?
J’ai quelques suggestions à vous soumettre, en vous proposant le meilleur, les ayant moi-même dégustées.
Vous vous doutez bien qu’il ne s’agit pas du dernier modèle de robot de cuisine. Ce sont des livres d’artistes.
Ces artistes ne jouent pas tous dans la même cour, c’est ce qui fait leur charme, leurs talents respectifs sont incontestables, mais divers.
.Si l’on parle de Pascal Poirot, peintre, sculpteur, professeur, maître du paysage, comme de l’architecture, son livre, bilingue, français, anglais, enrichi par les textes de Tiphaine Laroque, entre autres, des photos de Florian Tiedje, dont les photos sont exposées actuellement à la Galerie de la Filature,
ses peintures étaient exposées à ST’ART au Comptoir des Papiers de Valérie Cardi, au KunstKosmos Durbach Museum
[EN]QUETE DE PEINTURE est tout à fait imparable.
Karine vidéo deRobert Cahen, n’est une inconnue que pour peu de monde, petit bijou, admiré dans le monde entier a donné naissance à un livre, préfacé et enrichi par les textes Jean Luc Nancy, philosophe.
Le code barre, inséré dans le livre permet d’écouter et de visionner la vidéo, et de pénétrer dans la poésie de ce grand artiste. Robert Cahen, artiste vidéaste international, globe trotter, aux semelles de vent, juif errant, (c’est lui-même qui se qualifie ainsi) auteur, compositeur de musique concrète. Editions Yellow Now
You are the Univers, de Véronique Arnold est le livre de l’exposition éponyme de 2019, à la galerie Stampa de Bâle. Véronique Arnold est présente depuis 2 ans à Art Basel, excusez du peu, parmi les artistes présentés à Art Basel, qui est tout de même la plus grande foire d’art du monde. Passionnée par tout ce qui a trait à l’espace et aux mystère
de la vie, elle présente dans ce livre un ensemble d’oeuvres, fruit d’un travail minutieux, qui donne forme aux réflexions et interrogations
de l’artiste. Editions Mediapop, Philippe Schweyer
The last, but not the least, Andy chat blanc, même si vous n’avez aucun goût pour les chats, livre conçu par sa maîtresse, Anne-Sophie Tschiegg,
la « folle dingue deMotoco« , femme-sandwich, néanmoins artiste peintre de grand talent, photographe à ses heures, affichiste, auteur, parce que oui, c’est une littéraire, exposée partout sur la planète.
Magnifique objet, comportant de superbes photographies accompagnées
de textes choisis. Chicmedias éditions
Le choix est certes difficile, mais vous serez agréablement surpris en optant pour les quatre.
Juliette Jouannais, Gouache et pastel sec sur papier découpé
JULIETTE JOUANNAIS – JEAN LUC TARTARIN EXPOSITION Jusqu’ au 1 mars 2020à la FONDATION FERNET-BRANCA
La Fondation Fernet-Branca présente les œuvres de Juliette Jouannais,peintre et sculpteur et Jean Luc Tartarin, photographe. Un tout de nature met en avant les relations que peuvent entretenir le dessin et le paysage dans la photographie qui vient interroger la peinture. Mais aussi lorsque nous retrouvons dans la peinture des éléments qui relèvent de la sculpture et du dessin. C’est une interactivité des techniques pour donner corps à l’œuvre. L’autre point commun est l’espace. Celui de la nature, objet d’immensité, mais dont l’artiste ne montre qu’une parcelle et qui suffit à imaginer les plis du monde et sa totalité. Pierre-Jean Sugier, directeur de la Fondation Fernet-Branca
Jean Luc Tartarin C’un ensemble inédit de grandes pièces couleur des séries Entre(s) 2004-2016 et Re-prendre, 2017-2019. En contrepoint, un choix de pièces anciennes, épreuves argentiques noir et blanc, extraites d’Arbres 1983-1988, permettent d’appréhender un processus créatif singulier et constant.
Inventer de nouvelles formes et bousculer les protocoles liés à la pratique photographique sont les axes qui animent et motivent les images des séries Entre(s) 2004-2016 et Re-prendre, 2017-2018.
Tout en restant dans l’épaisseur des choses et du temps dont parle justement Régis Durand dans son texte introductif aux images constituant les séries Arbres, et après un temps long passé à l’étude du paysage, dans une écriture très photographique, traversée par la peinture (Grands Paysages 1997-2005), il va s’agir pour le photographe, avec Entre(s), de modifier la mécanique des images et la description objective. En provoquant ce qu’il nomme des accidents et en perturbant le temps de capture nécessaire à absorber le réel, afin de le transformer en une matière malléable. Si la forêt reste indéniablement l’atelier du photographe et son motif premier, faire l’image rentre désormais dans un nouveau processus : il s’agit d’éprouver la plasticité de la photographie et d’explorer les territoires de la picturalité avec les nouveaux outils numériques.
Le bruit numérique et les artefacts des pixels, dont les couleurs, générées sur un mode aléatoire, sont en mutation, créent une matière picturale. Cette picturalité offre à l’artiste de nouvelles potentialités, pour le moins surprenantes, dans le plaisir et la jubilation de faire œuvre.
L’accumulation des couches, qui s’agglomèrent, offrent une épaisseur, une matière propre, jusqu’à la forme voulue, qui affirme ainsi, parfois jusqu’à l’excès, sa puissance esthétique.
Faire l’image, c’est aussi prendre appui et se laisser guider, face à un bloc de sensations, un condensé d’expériences et de mémoire. Savoir l’œuvre là, déjà présente dans son format, sa matière propre, et donner au regardeur à éprouver cette nouvelle perception.
Saisi sur le motif, dans la forêt, à l’atelier ou emprunté au vaste lexique des images des pionniers de la photographie, comme dans Re-prendre, (notamment Fontainebleau #3, 2017) le photographique s’inscrit dans ce Tout de Nature, les plis du monde et sa totalité.
À PROPOS DE JEAN LUC TARTARIN
Jean Luc Tartarin est né à Metz en 1951. Il vit et travaille dans la proche région de Metz. Autodidacte, il est lauréat du Prix Niepce à 20 ans en 1971, en présentant un ensemble d’images en noir et blanc qui surprennent par leur maturité. En 1972 à l’école des Beaux-Arts de Metz, il devient le premier professeur de photographie dans une école d’art en France. Fonction qu’il a occupé jusqu’en 2013.
Juliette Jouannais
Juliette Jouannais, née en 1958 est une artiste qui vit et travaille à Paris. Elle est diplômée de l’ENSBA Paris en dessin et sculpture ; matières qu’elle enseigna par la suite à l’école d’art de Rueil Malmaison. Elle y créa un atelier de céramique en 1986 à l’ouverture de l’école jusqu’à sa fermeture en 2011.
Elève de l’artiste César, celle-ci développe un travail empreint de légèreté et de féminité construit de formes poétiques. L’utilisation de médiums éclectiques, passant de découpage en papier, PVC, métal, ou céramique anime l’espace de pleins et de vides. Ses œuvres sont présentées sur des surfaces planes ou sous la forme de structures architecturales.
Sorte d’héritage de sa mère peintre et son père architecte, ses compositions découlent d’un va et vient entre la couleur et le dessin créé par la découpe.
Cette réflexion architecturale omniprésente est étudiée par l’artiste dès son passage aux Beaux-Arts de Paris où elle interrogeait l’architecture de la forme dans le cadre de ses cours de modèle vivant.
Des dentelles de papier aux motifs organiques et végétaux sont créés à partir de ces délicates découpes, en faisant échos aux compositions d’Henri Matisse dans leurs formes et teintes fauves.
Le processus de création des œuvres découpées de Juliette Jouannais débute par un travail intuitif de la couleur. En revanche, son travail n’est pas le fruit du hasard, mais bien celui d’une construction pensée, harmonieuse. Son étude de la couleur est de l’ordre de l’abstraction, éloignée de la pure recherche d’illustration. Pour les suspensions monumentales en PVC couvertes d’un aplat de couleur unie, l’artiste créé un dessin qu’elle vient ensuite découper en un seul et unique morceau.
Des fils de nylon permettent ensuite de les suspendre dans l’espace. Cette mise en espace engendre une forme de tension à l’intérieur des pièces.
A contrario, la première étape de création de ses sculptures est consacrée à la forme de l’œuvre qui est constituée en amont, renvoyant la couleur à un plan secondaire par un soucis de logistique.
« …D’évidence, les rapprochements entre le décoratif selon Matisse, le baroque trans-historique de Deleuze, et le minimalisme, sont audacieux. C’est justement cette audace qu’il me semble important de souligner, afin de restituer l’ampleur du geste de J. Jouannais, en le replaçant dans le champ des interrogations contemporaines. En effet, sous des dehors de légèreté et de modestie, il importe de prendre acte de cette greffe courageuse et inédite qu’elle opère. En reprenant à son compte la critique minimaliste de l’objet-chef d’œuvre, qui affirme l’identité de l’art dans ces procédures, J. Jouannais rejoue le retournement de l’œuvre sur son pur dehors qui se dégage de tout idéalisme.
A l’instar des grandes figures de l’art minimal, elle se prémunit de tout effet de fascination, vidant l’œuvre de sa part de mystère, lui préférant l’ombre d’un éblouissement dans le tout visible. Pourtant, elle reste attentive à ne jamais faire tout à fait sienne l’affirmation de la seule façade, qui a pu parfois enfermer le minimalisme dans une raideur hiératique, parfois presque tyrannique. Au contraire, suturant sur le travail de façade la ligne décorative jouissante, qui ramène l’œuvre à l’échelle du corps, elle s’inscrit sur le territoire de la désobéissance et de la fluidité du désir. L’enjeu décoratif se révèle alors dans toute sa charge transgressive et subversive, ouverte sur la réinvention illimitée de la danse des corps. Ce qui, par un joli retournement typiquement baroque, est la meilleure façon de rendre l’œuvre insaisissable, voire, inconsommable. » Stéphanie Katz, extrait du catalogue monographique Juliette Jouannais
INFORMATIONS PRATIQUES
Fondation Fernet-Branca 2, rue du Ballon 68300 Saint-Louis
Horaires d’ouverture : du mercredi au dimanche de 13h à 18h
Accès : Aéroport Bâle/Mulhouse (à 5 minutes) SNCF Autoroute A35 La Ville de Bâle est à 5 minutes de Saint-Louis. Arrêt de bus « Carrefour Central / Croisée des Lys » (à 3 minutes du musée) – direction Bâle station « Schifflände »
À l’occasion du Bicentenaire de Gustave Courbet (1819-1877), le Petit Palais présente Yan Pei-Ming / Courbet, Corps-à-corps, Jusqu’au 19 janvier 2020, prolongeant ainsi l’exposition organisée cet été au musée Courbet à Ornans.
Une dizaine d’œuvres de Courbet, toutes issues des collections du Petit Palais, sont montrées en regard d’une quinzaine de toiles monumentales de Yan Pei-Ming réalisées pour certaines dans l’atelier de Courbet à Ornans. Elles sont présentées cette fois dans un accrochage volontairement inspiré des Salons du XIXe siècle, expérience inédite pour l’artiste.
Le Petit Palais possède en effet l’une des plus grandes collections de tableaux de Courbet grâce à des achats de la Ville de Paris effectués dès la fin du XIXe siècle, enrichis au début du XXe siècle par les dons de sa sœur, Juliette Courbet et du critique Théodore Duret. Cet ensemble comprend des œuvres majeures du chef de file des réalistes telles que Le Sommeil, Les Demoiselles de Bord de Seine, Proudhon et ses enfants, L’Autoportrait au chien, Les Amants dans la campagne, ou encore La Sieste pendant la saison des foins…
Yan Pei-Ming découvre le travail du peintre français dans un livre de propagande en noir et blanc lors de ses premières années d’études en Chine. Installé en France depuis 1980, il redécouvre alors la diversité de l’œuvre de l’artiste pour laquelle il nourrit une fascination accrue. De fait, dans ce corps-à-corps présenté dans la galerie des grands formats du Petit Palais, la matérialité des peintures de Yan Pei-Ming et de Courbet se parlent et se répondent. L’épaisseur de la touche de Gustave Courbet trouve son écho dans le caractère gestuel de la technique de Yan Pei-Ming, qui favorise le ressenti plutôt que la visualisation. vidéo
Ensuite, par le choix des sujets « classiques » comme des portraits, des nus, des paysages et des animaux, autant de thèmes que l’on retrouve aussi chez Courbet, l’artiste franco-chinois cherche à créer des liens contextuels et allégoriques avec le grand maître. Courbet cherchait à dévoiler l’homme au prise avec ses maux, ses souvenirs et sa nostalgie avec une précision qui permet un jaillissement sentimental authentique.
On retrouve chez Yan Pei-Ming une démarche similaire, où le souvenir et l’intime tiennent une place cruciale, tel L’Oncle aveugle, (2019). Les œuvres exposées possèdent une charge émotionnelle forte dans la mise en lumière de l’histoire personnelle de chacun.
L’artiste à 58 ans, Yan Pei-Ming, (2019) est une véritable mise en abîme de la place de l’artiste face à Courbet qu’il considère comme un peintre révolutionnaire dans sa manière d’appréhender le sujet. En parallèle à cet autoportrait, il lui rend hommage en reproduisant un portrait tiré du dernier cliché connu de celui-ci, avant sa mort à 58 ans. «Chaque matin, j’ai pris mon café en peignoir dans l’atelier de Courbet. J’ai vécu, comme lui, dans la maison mitoyenne. Courbet est mort à 58 ans, j’ai 58 ans ». En réinterprétant les œuvres du grand maître, Yan Pei-Ming amorce un questionnement profond vis-à-vis de la peinture classique tout en lui rendant hommage. Yan Pei-Ming, né à Shangaï en 1960, est le premier artiste à avoir été invité en résidence dans l’atelier de Courbet à Ornans où la présence du maître est, d’après lui, encore très forte. Représenté dans de grandes collections publiques telles que le musée national d’art moderne au Centre Pompidou ou le Louvre Abu Dhabi, son travail est montré pour la première fois cet automne au Petit Palais. Parallèlement, le musée d’Orsay présente de son côté une œuvre monumentale inspirées deL’Enterrement à Ornans de Gustave Courbet Un Enterrement à Shanghaï Un trytique : Montagne Céleste, Ma Mère, L’Adieu
Artiste contemporain reconnu pour sa palette monochromatique et sa touche vigoureuse, Yan Pei-Ming vit et travaille aujourd’hui à Dijon. (Ici l’exposition : L’Homme qui pleure) Ancien pensionnaire de la Villa Médicis en 1993, il connaît une véritable consécration sur la scène internationale après sa participation remarquée à la Biennale de Venise en 2003.
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Highland Titles a été fondée en 2006 par le Dr Peter Bevis, membre de la Société zoologique de Londres, et par sa fille Laura. Ils ont commencé en vendant des parcelles de leurs terres familiales afin de financer la plantation de nouveaux arbres. La mission visait simplement à restaurer la terre dévastée par des siècles d’agriculture et de sylviculture commerciale.
L’idée a beaucoup plu et la société est vite devenue en mesure d’acheter un terrain plus vaste permettant d’augmenter l’étendue du projet. Aujourd’hui, Highland Titles possède et gère deux réserves naturelles dans les magnifiques highlands écossaises et ils remercient les milliers de sympathisants d’avoir rendu cela possible.
Ouverte en 2007, la première réserve naturelle Highland Titles est constituée de plusieurs milliers de parcelles soutenues par une communauté internationale de Lairds. Cette terre peut se visiter librement, avec ou sans achat d’une parcelle. Située proche du Glencoe historique, la réserve est l’une des deux réserves de Highland Titles, une attraction touristique vedette 4 étoiles bien établie.
Toute personne qui achète une parcelle Highland Titles devient Laird, Lord ou Lady of Glencoe, même pour l’achat d’une parcelle d’1 pied carré. Devenir un Laird, Lord ou Lady est plus intéressant qu’il n’y parait car avec le titre stylisé vient le style de vie. Le titre de courtoisie ne doit pas être confondu avec un titre de noblesse, lequel est conféré par la Reine sur l’avis de ses ministres. « Laird » n’a jamais été et ne sera jamais un titre de noblesse.
La réserve naturelle de Mountain View Seconde réserve de Highland Titles, rendue possible grâce au soutien permanent des lairds. La réserve de Mountain View, ouverte par Highland Titlesen 2014, qui abrite aussi Bumblebee Haven, surplombe le majestueux Loch Loyne. Connu par les pêcheurs comme l’un des meilleurs lacs à brochets des Highlands, les lairds bénéficient du privilège d’explorer la région et de pêcher dans le loch dès lors qu’ils viennent en visite.
Les Lairds, Lords et Ladies ayant acquis le droit de propriété des parcelles dans ce domaine (les parcelles de plus d’1 pied carré se situent à MountainView) peuvent choisir de se faire appeler Laird, Lord ou Lady de Lochaber, nom de la région où se trouve Mountain View. vidéo ici