Si vous me cherchez je suis quelque part par là :
Maison natale de Giacomo Puccini
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Bienvenue, au gré de mon humeur, de mes découvertes
Si vous me cherchez je suis quelque part par là :
Maison natale de Giacomo Puccini
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La plus belle oeuvre est le musée lui-même, construit par Frank Lloyd Wright, pendant 10 ans. Le propriétaire, Salomon Guggenheim, qui avait commandé cette construction, pour abriter sa collection, ne la vit jamais terminée.
Cette grosse machine à laver déroule dans son intérieur une gigantesque spirale qui part du 6 ième étage, dominée par une coupole qui amène la lumière dans la rotonde. Vous descendez le long des rampes, en déambulant devant les œuvres exposées. L’inconvénient, c’est que cet immense espace est occupé par les expositions temporaires, qui ne sont pas forcément plus attrayantes qu’ailleurs.
Nous avons manqué de chance, il n’y qu’une infime partie de la collection qui était exposée dans la Thannhauser gallery. J’en ai vu une meilleure part à l’expo Kandinsky à Beaubourg en 2009. Il vaut mieux être renseigné à l’avance sur l’exposition temporaire.
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Toute petite, Anne Sophie Tschiegg est tombée dans la marmite de l’art, avec un père créateur de bijoux fabuleux et une mère peintre, accessoirement prof d’arts plastiques, sa voie ne pouvait être que celle de l’art.
Après une période de mue périlleuse, à peindre toutes les nuits, et à recouvrir la toile en blanc chaque matin, et un « second métier » les affiches pour les théâtres, et avant une expo aux US, c’est à
Paris à l’Espace Beaurepaire dans le Xe,
que l’on peut voir son exposition actuelle. Elle dit :
n’avoir ni Dieu ni Maître, je passe ma vie à adouber des Maîtres et des Dieux, chaque jour un nouveau, ça va de Kirkeby à Sebald et Louis René des Forets rien que pour le mois de juillet… Et j’ai le culte très, très exalté.. et pourtant ….
Dieu est un fumeur de havane, Anne Sophie une fumeuse de gitanes, aussi s’est-elle lancé un défi « 365 jours pour arrêter de fumer » Pour atteindre ce paradis, elle a peint, 365 ciels au gré des jours qui passaient, tantôt gais, tristes, ombrageux, ensoleillés, gris, neigeux, flamboyants, incandescents, ciel du matin, ciel de fin de journée, ciel à la tombée de la nuit, ciels sur paquet de cigarette, un format aux contours accidentés, comme le chemin de croix de celui qui veut s’arrêter de fumer. Puis avant de prendre la décision finale, elle a rassemblé, en un ordre dispersé, les 365 ciels, sur une immense plaque en bois, peinte en gris qui donne le titre à
« https://www.facebook.com/100001609816158/videos/1977466122410480365 ciels sur paquets de gitanes »
L’effet est prodigieux, les passants de la rue Beaurepaire à Paris, pénètrent spontanément dans la belle galerie du même nom, aux vitrines lumineuses. J’ai entendu : mais ce n’est pas de la photo, c’est de la « vraie peinture » c’est formidable, quelle merveilleuse idée, c’est magnifique, magique, est-ce de l’acrylique ? Pourquoi, comment ? je reviendrai avec mon mari, mes enfants, les cousins, la voisine, etc ….. Puis ils passent plus en avant dans la grande galerie, admirent et s’amusent des collages dadaïstes joliment encadrés, prodigieux disent-ils
.Mais aussi les peintures sur petites toiles, des cœurs chargés d’émotion, des têtes aux idées fourmillantes ? C’est selon que l’on est romantique ou intello. Il faut laisser lentement les toiles monter vers vous, les couleurs vous embrasent, vous emmènent dans leur musique, on sent comme un changement dans sa vie personnelle, une sérénité, un épanouissement, Puis, c’est l’exubérance des fleurs, des fruits, le lyrisme dans ses coups de pinceaux, si élégants, emprunts de volupté, au fur et à mesure, on accède à l’espace du fond de la galerie, plus intime, où s’exhalent les couleurs, l’endroit que j’appelle : la chambre d’amour, (comme chez Chagall, l’hommage à Vava, musée biblique de Nice), autre point d’orgue de l’exposition. Ici tout n’est que beauté, chaleur des rouges, des camaïeux, un accrochage intelligent.
.
Je m’interroge sur la toile la plus récente, dyptique, aux grandes courbes phalliques, qui a servi pour l’affiche de l’exposition, sur un chevalet, surmonté d’une croix, croix que l’on retrouve sur son pull. Courbes rouges, vertes, jaunes, blanches, entrelacées de liens, tout cela est très voluptueux, tendrement érotique et m’interpelle est-ce un autoportrait ?
Ce qui a été formidable pour moi, c’est d’assister dans les coulisses au montage d’une exposition, de voir l’artiste, artisan, chauffeur, livreur, assistée par sa commissaire, l’autre Sophie (sophie.gaury@wanadoo.fr), monter ses œuvres sur les cimaises et vivre l’arrivée des premiers visiteurs.
A ne manquer sous aucun prétexte.
Vernissage les 21/10 et 23/10 à 18 h 30,
ouverture de 13 h à 21 h,
le samedi de 11 h à 21,
le dimanche de 11 h à 16 h.
photos et vidéos de l’auteur
n’oubliez pas les clics
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Le Museum of Modern Art, plus familièrement appelé le MOMA, gros cube d’acier et de fer, joue la carte de la sobriété et de la discrétion. Le gros lego a choisi de s’effacer au profit de la fantastique collection d’art moderne qu’il contient.
Il a été entièrement renouvelé, pour mettre tous ses joyaux en valeur, par l’architecte japonais, Yoshio Taniguchi, de 2002 à 2004. Cubisme, fauvisme, surréalisme, Pop Art, la collection donne le tournis.
150 000 œuvres, la collection est ouverte aussi à la photographie, au cinéma, à l’architecture et au design.
Pour les grands chefs d’oeuvre : la nuit étoilée de van Gogh était partie vers Amsterdam, mais les oliviers de Vincent van Gogh, exposés plus tard au Kunsmuseum de Bâle, étaient encore présents.
L’œuvre phare, les Demoiselles d’Avignon, de Picasso, très photographiée, au détriment du jeune garçon à cheval du même auteur, voisine avec d’autres toiles cubistes, de Braque, Gris, Malévitch Popova, mais aussi Diego Rivera (une surprise) Léger.
Une découverte, les sculptures de Boccioni, puis le Grand Intérieur Rouge de Matisse, une salle entière lui est consacrée. Puis il y a les 3 musiciens avec Picasso en Arlequin, jouant de la guitare, Max Jacob et Guillaume Appolinaire. Puis une préfiguration des Nymphéas de Monet, telles que présentées à l’Orangerie à Paris. Grâce aux très nombreuses baies vitrées dans les salles d’exposition, la lumière naturelle joue sur les oeuvres.
Une encyclopédie complète de l’histoire de l’art de 1880 à nos jours, Picasso, Cézanne, Magritte, Matisse, Rousseau, Giacometti (le palace), Brancusi, Arp, Miro, Klee, Kandinsky, Tanguy, Mondrian, De Chirico, Duchamp, Bonnard, Vuillard,, Kupka, Chagall, Lautrec, Lewit, Rothko, etc …. aucun ne manque à l’appel, pour faire connaissance avec tous les mouvements artistiques, présentés chronologiquement et groupés par styles.
Des expositions temporaires y trouvent leur place, comme Martin Kippenberger, lors de notre visite, dans cette prestigieuse institution culturelle américaine.
Pour Dominique et les autres, j’essaie de rattraper mon retard 😉
photos de l’auteur
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sabato 17 ottobre
«Robert Cahen. Passaggi», installations vidéo 1979-2008,
du 23 octobre 2009 au 10 janvier 2010, à Lucca en Toscane.
L’exposition a lieu dans l’espace de la
Fondazione Ragghianti, au sein du beau
complexe monumental de San Micheletto.Le vernissage aura lieu vendredi 23 octobre à 17h30, en présence de l’artiste, et l’exposition restera ouverte jusqu’au 10 janvier 2010. Horaire : 10h00-13h00 ; 15h00-19h00. Fermeture hebdomadaire: lundi.
L’entrée sera gratuite et offerte par la Fondazione Cassa di Risparmio di Lucca. comme pour toute manifestation consacrée à l’art et à la culture visuelle contemporaine mise en place par la Fondation Ragghianti.
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Après la Notte, c’est encore Lorenzo Benedetti, qui est aux commandes pour la seconde fois à la « Kunsthalle » Fonderie.
Le jardin aux sentiers qui bifurquent, la nouvelle de Jorge Luis Borges, le mène à interroger les possibles d’une oeuvre
et le rapport au temps dans un processus de création puis d’exposition.
Il choisit de présenter des artistes qui puisent des formes et des matières dans l’objet existant, le paysage contemporain et qui, par leurs regards et leurs interventions, les mènent à l’état d’oeuvres.
Par ailleurs, Lorenzo Benedetti questionne le principe de l’exposition en se penchant sur la combinaison oeuvre-espace,
sur la tension qui émane de certains rapprochements et qui induit une métamorphose sans cesse renouvelée des lieux investis.
Sept artistes sont invités à participer à cette exposition. Issus de la jeune scène internationale, ils représentent une nouvelle génération de plasticiens qui à travers leurs oeuvres soulèvent des questions formelles dans un contexte à la fois physique, social ou historique.
La relation entre l’espace et la forme est fondée sur une dialectique systématique dans laquelle les éléments ont pour
fondement la transformation. L’exposition tente de définir les éléments du changement qui naissent par tension entre les
espaces et les formes qui y sont contenues. Dans l’exposition « Le jardin aux sentiers qui bifurquent » le sujet est lié à l’espace en tant que forme et à sa dynamique de métamorphose.
La multiplicité des combinaisons et transformations questionne perpétuellement l’espace d’exposition, tentant de le définir, tout en visant à dépasser ses limites, de définir son abstraction ou de redécouvrir les formes toutes faites qui s’accordent avec les conditions sociales ou historiques.
C’est ainsi que l’on peut voyager et annuler les distances avec les cartes des années 40, aplaties, mais trouées, « Atlas » du mulhousien Etienne Chambaud, pour remplir éventuellement la marqueterie de son roman les « pages blanches » absence et potentiel devant une œuvre litteraire dans la lumière d’une fenêtre où intervient par moment la rature, Il nous fait rêver devant le collage de la « danse » (Irma Duncan à Grünewald, Anonyme, vers 1910)
Raphaël Zarka avec ses sculptures, les 2 cônes en aluminium, et 3 sculptures en bois. Nous explique qu’on peut les travailler aujourd’hui, comme on travaille la photographie documentaire. C’est la relation qu’il tient à avoir avec la sculpture abstraite.
Il s’est ingénié à la reconstruction d’objets qui ont existés, décrits par un scientifique anglais Abraham Sharp au 18 e siècle, qui avait découvert une méthode pour découper des polyèdres. Ce dernier a écrit un livre, La géométrie Improv’d, publié en 1718, riche en polyèdres, en particulier ceux avec des visages tétragonaux. Le livre montre comment couper ces nouveaux solides à partir de cubes de bois .
Il s’est inspiré de 2 planches de gravure que Sharp n’a jamais réalisées, et il a ainsi réalisé ses polyèdres, semi-réguliers,
Généalogie formelle, qui viennent d’un autre rayon du musée d’histoire de la science et qui le fascinent.
Pour Benoît Maire, c’est une tête de méduse en bronze qui regarde une autre tête de méduse, une peinture, qui pose la question de la dialectique entre 2 méduses, elles sont là pour pétrifier ceux qui la regardent. (Méduse dont la tête, pourtant, changeait en pierre ceux qui la regardaient).
Benoît Maire pose la question de savoir ce qui se passerait si les 2 se regardaient, mais aussi est évoqué, la position de la sculpture par rapport à la peinture. (la solution de Volterra ?)
Protélèmene – images pliées, sont des Sérigraphie sur 3 plaques de zinc qui se regardent et se replient sur elles-mêmes, une origine de la représentation idéale.
C’est une exposition austère, conceptuelle qui demande de la réflexion. A cet usage sont organisées tous les 1er jeudi du mois, des visites guidées.
Jusqu’au 15.11 2009
photos courtoisie Kunsthalle sauf la photo 1 de l’auteur
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Rencontre de deux prix Nobel de Littérature, au musée Würth, non pas par la plume, mais par les pinceaux. Ils dialoguent avec bonheur avec les peintures à l’encre de Chine de Gao Xingjian et les aquarelles de Günter Grass.
Ils peuvent cependant être qualifiés, l’un comme l’autre, d’artiste total, mêlant dans leur pratique, l’écriture, la peinture, la réalisation cinématographique (Gao Xingjian) et la scultpture (Günter Grass).
Le Musée Würth France Erstein reprend un choix de tableaux de Gao Xingjin, déjà exposé au Musée Würth La Rioja en
2008, mais élargit le concept de l’exposition en opposant l’oeuvre délicate et minimaliste de Gao à une sélection des grands cycles d’aquarelles et de dessins à l’encre de Günter Grass appartenant à la Collection Würth – déjà vues au musée Würth d’Arlesheim , en 2008, sont magnifiées sur les cimaises d’Erstein – fait qui a bien entendu largement contribué à l’idée de cette mise en parallèle.
L’exposition « L’ombre des mots » propose donc un dialogue entre deux artistes d’abord connus pour leurs travaux littéraires mais qui revendiquent chacun une pratique picturale. Cette peinture a toujours été intimement liée à leur plume ; pour Gao Xingjian, elle prend le relais sur les mots lorsque ceux-ci s’essoufflent. Son travail est une quête intérieure, un langage pictural, un rêve éveillé, qui fait défiler lorsque l’on ferme les yeux, des personnages qui traversent leur vie, malgré les difficultés, avec espoir, reflets d’ombre et de lumière, lumière partout et toujours présente, exprimant la pensée positive qui anime l’artiste.
Tandis que pour Günter Grass, elle naît du même geste graphique. En s’affranchissant de l’écriture pour accéder à la forme peinte, le premier sépare rigoureusement les deux moyens d’expression, tandis que le second noue les deux disciplines l’une à l’autre, aussi bien dans le processus de création que sur la feuille de papier.
Cette rencontre au Musée Würth France Erstein se propose de faire découvrir sous un angle inhabituel le travail plastique de deux auteurs, à la fois poètes, romanciers, peintres et hommes de théâtre.
En août 2006, Günter Grass a révélé son enrôlement en octobre 1944 dans les Waffen-SS après avoir prétendu auparavant avoir servi dans la Flak. Cette divulgation tardive, faite quelques jours avant le lancement de son dernier livre autobiographique: Pelures d’oignon (Beim Häuten der Zwiebel), a suscité malaise et incompréhension en Europe. Elle a été à l’origine d’une controverse entre intellectuels européens, certains d’entre eux considérant que cet aveu lui ôtait son statut de caution morale, d’autres au contraire pensant que cette sincérité, même tardive, ne faisait que renforcer sa légitimité.
Pendant la Révolution culturelle (1966 à 1976),Gao Xingjian est envoyé en rééducation dans les campagnes des provinces de Jangxi et Anhui, et il est obligé de brûler les manuscrits qu’il a déjà écrits (environ trente kilos de papier). C’est à la campagne qu’il s’imprègne de la tradition de transmission orale. Cet environnement lui paraît plus permissif et plus créatif que le Nord, trop marqué par le confucianisme. En 1975, il repart à Beijing pour reprendre ses activités professionnelles. Le Parti a toujours besoin de gens qui maîtrisent une langue étrangère, mais Gao se sent surveillé et décide de brûler les pages qu’il vient de réécrire, c’est-à-dire à peu près un million de signes.
Lors de la rencontre avec l’artiste, ni moi, ni personne n’a osé soulevé cette antinomie. Gao a simplement évoqué une courte rencontre informelle avec Günter Grass.
photos et vidéos de l’auteur
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Mon coup de cœur va à la Punta della Dogana.
La Pointe de la Dogana est une pensée de pierre, qui fait éprouver à qui la contemple, d’où qu’elle soit regardée, la certitude qu’il existe pour chacun une juste place en ce monde, qu’il est possible de découvrir sa place, et que ce jour-là la vie deviendra aussi simple, évidente et sereine que l’est son triangle. (extrait du catalogue)
Benoni (1677) a construit un bâtiment destiné au travail, au commerce, à la circulation des marchandises et de l’argent. Au contraire ces symboles vénitiens du pouvoir, de la fête et de la foi, ses murs demeurent presque exempts d’ornementation superflues, de statues, d’allégories. La fortune sculptée par Bernardo Falconi a aussi le sens de la « tempête »
Grâce à François Pinault et son architecte Tadao Ando, (2008) elle est un trait d’union plein de charme entre passé et futur. Tout en respectant la structure du bâtiment il a créé, au sein du bâtiment un endroit remarquable pour les expositions d’art contemporain.
La lumière naturelle, secondée par un système ingénieux permet un éclairage judicieux des œuvres.
Par les fenêtres, on peut avoir des points de vue remarquables sur la place San Marco, ou sur les îles.
La sobriété du lieu, permet une mise en valeur formidable des œuvres exposées. Même si pour beaucoup d’entre elles, je les ai croisées comme les frères Chapman, Ty Twombly, Maurizio Cattelan, Sigman Polke, Cindy Sherman, Fischli et Weiss, Paul McCarthy et Jeff Koons et j’en oublie à Art Basel, ou ailleurs, j’ai pris un plaisir infini à visiter autant la Dogana que le Palazzo Grassi.
Les photos y sont interdites, mais en cliquant sur les liens, vous aurez un large aperçu des oeuvres exposées.
Je vous renvoie au texte et aux vidéos (un mélange de biennale et de Dogana) qui parlent d’elles-mêmes.
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Nous connaissions les Médicis de la Renaissance, au 21e siècle, d’autres mécènes, que l’on nomme sponsors font
leur apparition. Efficace la méthode, mais choquante.
Certes la sérénissime a un grand besoin de soins pour la sauvegarde de ses trésors, pour que ses palais ne soient pas tous transformés en hôtels, et qu’à l’image du Palazzo Grassi et de la Punta della Dogano et de la Fondation Guggenheim, l’art moderne et contemporain fassent partie intégrante de la richesse artistique, et ajoutent un nouveau pôle d’attraction avec la Biennale.
le pont des soupirs
Quelques sélections de l’auteur
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Fredo invité d'honneur de Michou, dans "vivement dimanche" ! :-p aux mécontents et autres contestataires .... bien joué !
Frédéric Mitterrand s’explique face à une Laurence Ferrarri, épouse de Renaud Capuçon, maladroite, au regard fuyant. (pourtant côté musique et doigté elle devrait s'y connaître)
Il reconnaît avoir réagi sous le coup de l’émotion, lors du festival du cinéma de Zurich.
Moi aussi Fredo, j’ai agi avec émotion, j’avais lu ton livre, sans en être choquée.
L’amalgame qui est fait avec l’affaire Polanski est odieux, et en tout état de cause, s’il y avait une réaction à avoir c’était au moment de sa nomination au ministère de la culture et non par pur opportunisme.
"Je savais que j'étais dans les petits papiers de Nicolas Sarkozy", explique le neveu de l'ancien président socialiste dans une interview accordée à VSD avant d'ajouter : "Je ne suis pas tombé des nues [en apprenant la nomination]".
"Je tiens à dire que je viens après quelqu'un qui n'a pas démérité. C'est un poste difficile et je mesure la difficulté de certains dossiers, tels que la loi sur le piratage, l'état de la presse, la télévision publique. La villa Médicis est un peu un concentré d'un ministère et j'entends bien ne pas me faire dévorer par les problèmes internes et la technostructure",
"Oui... Sarkozy a bien été ministre au temps de Mitterrand".
Frédéric Mitterrand a confirmé, mardi midi sur France 2, qu'il rentrerait au ministère de la Culture lors du remaniement du gouvernement annoncé pour mercredi. Il s'agit "d'une tâche exaltante et d'un honneur", a déclaré le neveu de l'ancien président socialiste François Mitterrand. Alors qu'on l'interrogeait sur ceux qui demanderaient s'il était toujours de gauche, Frédéric Mitterrand a répondu : "je leur laisse le soin de répondre à la question. François Mitterrand quand il ne voulait pas répondre ne répondait pas. Je suis pareil", a-t-il estimé, ajoutant : "Nicolas Sarkozy a bien été ministre au temps de Mitterrand". L'actuel président de la République était en effet ministre du Budget et porte-parole du gouvernement d'Edouard Balladur de 1993 à 1995 durant la deuxième cohabitation.
En mars dernier, Frédéric Mitterrand signait un contrat avec le groupe TF1. Il devait, à partir de septembre prochain, animer une fois par mois une émission culturelle sur la chaîne Odyssée depuis la somptueuse villa Médicis, qui en prendra la relève ?
Lors de sa nomination à la Villa Médicis, les critiques ont été nombreuses, cette fois la cohorte de jaloux n'en fait pas moins. Certes Frédéric Mitterrand ne laisse pas indifférent, on ne peut nier son charisme, ni sa grande culture. Un seul regret, j'esperai secrètement être invitée à la villa ;-)
Tout est fini entre nous Fredo, ta position en ce concerne l’affaire Polanski est irrecevable. On ne peut s’immiscer dans la justice d’un pays étranger, encore moins lorsque l’on est ministre. Prendre partie pour la classe des saltimbanques est lamentable, le viol est un crime. (le consentement ne peut être donné par une mineure de 15 ans – Gisèle Halimi) Toute cette affaire doit être tirée au clair avant que tout un chacun se prononce.
Voici un lien que l’on m’a fort judicieusement soufflé.
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