Art Basel 2010

Le coup d’envoi est donné ce lundi 14 juin, avec le vernissage d’Art Basel Unlimited, Design Miami et Warteck.
La foule des Vip se pressait sous le soleil de Bâle, le champagne coulait à flots … la suite demain …
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photos de l’auteur
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la Liste Warteck

Qui « baise-en-ville » à Mulhouse en 2010 ?

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Tous les clients des hôtels mulhousiens, auront droit à une œuvre d’art. Cet objet sera déposé sur leur oreiller, s’ils passent 2 nuits dans un hôtel mulhousien, ayant accepté de participer à l’opération. Il faut retenir qu’une seule nuit sera facturée, pendant la période du 11 au 20 juin 2010.
Cette belle initiative, au titre accrocheur, revient  à Sandrine Wymann, la talentueuse directrice de la Kunsthalle,  toute en discrétion, à côté du grand événement qu’est Art Basel. L’idée a germé d’une réflexion entre « filles » pour aboutir au projet, puis à la réalisation  du desing de l’objet par l’artiste mulhousienne Marianne Maric,
L’objet se décline en trois modèles : un ciseau/cigogne, Alsace oblige, un  bretzel, c’est l’évidence, et enfin l’apogée, « renverse-moi » une dame au miroir accompagnée par un bel oiseau, thème cher à l’artiste.
Les sacs de confection française, sont également en vente à l’office du tourisme de Mulhouse et des congrès, à la Kunsthalle, chez divers partenaires de la région,  ainsi qu’au Palais de Tokyo dans le futur.
Cette œuvre d’art est un tirage limité de 3000 pièces, se sont associés divers partenaires, dont la Kunsthalle, l’Office du Tourisme et des Congrès, Mulhouse Alsace, l’UMIH, syndicat des hôteliers restaurateurs et cafetiers, ainsi qu’Interface, Fonds de dotation, structure juridique de droit privé qui a pour vocation de soutenir la création artistique contemporaine dans le domaine des arts visuels.

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Baise-en-ville (n.m.). Petit sac à main d’homme.(familier) Petit sac contenant des affaires de toilette et de couchage.
photos de l’auteur 

De Degas à Picasso – la collection de Jean Planque

Belle entrée en matière que le concerto de Britten, sonné aux quatre coins de la cour de l’ Espace d’art Contemporain Fernet Branca de St Louis. Gérard Cahn  président de l’espace parla avec beaucoup de verve et d’enthousiame de Jean Planque en le citant  :
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 » Il n’y a pas un art du laid et du beau. Cela n’existe pas. Il y a seulement le mystère, la magie et l’horrible peut tout aussi bien  exprimer ces choses. C’est en se livrant totalement à l’instinct, sans intervention intellectuelle, que l’on peut exprimer ce qui est en soi, bien en soi, totalement et fortement.  »
Carnets 1973

Puis encore
« J’ai mieux aimé les tableaux que la vie. Ma vie = tableaux. Cela depuis très jeune. Mieux que la musique qui m’est pourtant si chère, le tableau s’impose à moi avec brutalité dans sa totalité et je pressens, je pressens le mystère, ce qui ne peut être dit ni à l’aide de la musique, ni à celle des mots. Immédiate compréhension. Chose émotionnelle. Possession de tout mon être. Je suis en eux et eux en moi. Tableaux. »
Carnets 1973
C’est en parcourant la collection, que ces phrases prennent tout leur sens, plus de 140 tableaux s’offrent à vous, le choix, les coups de cœur de cet ancien voyageur de commerce, qui fut le collaborateur d’ Ernst Beyeler, lui servant d’intermédiaire pour accéder à Picasso entre autres.
Avec De Degas à Picasso, collection Jean Planque qui regroupe 140 œuvres sur les 150 que compte cette collection, l’Espace d’art contemporain Fernet-Branca offre tout à la fois ses vastes et beaux volumes et un panoramique sur une collection qui comprend des tableaux « lourds » (Picasso, Van Gogh, Cézanne, Dubuffet…) mais permet aussi de mesurer combien le regard de Jean Planque (1910-1998) était affûté.
« J’ai mieux aimé les tableaux que la vie », écrit Jean Planque. Une phrase qui pourrait résumer la passion inextinguible d’un grand amateur d’art qui ne craignait pas de se laisser déborder par ses émotions.
« Cette exposition n’est pas faite, dit encore Florian Rodari, – Conservateur de la collection à la Fondation Jean et Suzanne Planque – , de chef-d’œuvre de musées mais bien d’œuvres qui résonnent… » Et qui atteste aussi de l’admirable ferveur d’un amateur d’art qui vivait pour l’amour des tableaux et point pour leur valeur.
De vrais de coups de cœur pour des aquarelles délicates de Cézanne, un minimum de traits et de pigments, juste ce qu’il faut, mais tout est là, la Montagne St Victoire.
Mais aussi Klee, Tobey, Tapiès, Delaunay, le passionnant Toledo, Sam Francis et ses magnifiques petits formats, De Staël, Bonnard, Rouault, Monet, Bazaine, Bissière jusqu’à ce profil, sculpté par Kosta Alex,  La magnifique colllection est visible  jusqu’au 24 octobre.

Cezanne Montagne St Victoire aquarelle
Cezanne Montagne St Victoire aquarelle

C’est ainsi que débutent les festivités, qui ne vont aller que crescendo avec Art Basel et le programme alléchant de la « Regio »
pour ne citer que Mulhouse 2010, les musées bâlois, dont la Fondation Beyeler avec l’exposition « Jean Michel Basquiat », le Crac Alsace etc …


Sommaire de Mai 2010

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 Adieu Louise je t’aimais bien, tu sais ♫♫♫ •* et ♫♫♫ * • ‘*♥* ‘ •
01 mai 2010 : 1 mai
04 mai 2010 : Foules Fools – Stephen Wilks à la Kunsthalle de Mulhouse
06 mai 2010 : Les Ateliers ouverts en Alsace en 2010
08 mai 2010 : La Dolce Vita
15 mai 2010 : Les gadins célèbres
17 mai 2010 : Les gadins célèbres suite
28 mai 2010 : Ugo Rondinone « la nuit de plomb »
30 mai 2010 : La VitraHaus à Weil-am-Rhein
photo de l’auteur

La VitraHaus à Weil-am-Rhein

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Que ce soit de jour ou de nuit, le nouveau showroom de Vitra à Weil-am-Rhein attire le regard.
Une construction perchée, faite de pignons pointus, s’intègre dans le paysage vallonné de la campagne baloise. Vitra est tout juste au-dela des frontières françaises et allemandes. Tous ceux qui passent par l’endroit de nuit, ont envie d’en connaître plus et veulent savoir ce qui se cache derrière les mystérieuses et lumineuses baies vitrées.
Les architectes Jacques  Hertzog et Pierre de Meuron, natifs du coin, ont réalisé une construction tout en angles extérieurs et en courbes intérieures. Lauréat du prix Pritzker, connus pour la rénovation de la Tate Modern à Londres, mais aussi pour le stade olympique de Pékin, la CaixaForum de Madrid , ont réussi un véritable chef d’œuvre dans ce lieu. Les bâtiments extérieurs, assez austères, composées de 12 éléments pentagonaux, tout en angles vifs, réservent de belles surprises lorsqu’on y accède avec la « la VitraHaus Key », par l’ascenseur qui mène au 4e étage aménagé en un immense loft. Les ouvertures sur le paysage extérieur sont fabuleuses, l’aménagement intérieur, met en valeur, tout le mobilier design, en vente par la maison. On redescend d’étages en étages, en contemplant des matériaux clairs, des pièces lumineuses, transparentes, un escalier en colimaçon.
Car ici tout s’achète, c’est une immense maison-vitrine, luxueuse sans ostentation. vitrahaus-weil-am-rhein-97.1275175711.jpg
Comment résister à la tentation ?
L’ensemble s’intègre parfaitement et complète l’architecture environnante, le musée lui-même, une partie de l’usine, commandée par Rolf Fehlbaum – le patron de Vitra – à l’architecte Frank Gehry, mais aussi la salle d’exposition dans l’ex-caserne des pompiers, œuvre de Zaha Hadid, le centre de conférence zen de Tadao Ando, les ateliers de briques rouges d’Alvaro Siza, l’entrepôt de métal blanc de Sanaa, puis la minuscule station d’essence en tôle de Jean Prouvé, remontée depuis le sud de la France sur la pelouse.
L’ensemble est environné d’arbres fruitiers, la cafétéria accueillante.
Le chic provoque le choc, et pourquoi résister si on a le chèque ?

photos (sauf la 1) et vidéos de l’auteur

Ugo Rondinone "la Nuit de plomb" Aarau Museum

ugo-rondinone-15.1275002852.jpgUgo Rondinone est un artiste suisse  de renommée nationale et internationale contemporaine. Tandis que les institutions du monde entier lui ont consacré de grandes expositions à plusieurs reprises, dans son pays natal, la Suisse pendant onze ans pas une seule exposition à grande échelle ne lui a été consacrée. On se souvient qu’Ugo Rondinone , faisait sourire ses têtes gigantesques, hilarantes, lunaires, grimaçantes dans l’espace qui est appelé « l’Art Public, » lors d’Art Basel 2008. Cette lacune est comblée maintenant par le Kunsthaus d’ Aargau (ou Aarau Suisse) qui  présente une sélection très complète, des travaux de l’artiste suisse, rassemblant des oeuvres des dernières années et de certains travaux plus récents, ceci jusqu’au 1 août 2010, intitulée « La nuit de plomb »
 La présentation de son travail occupe presque toutes les salles d’exposition transformant l’ensemble du musée en un univers scénique séduisant.ugo-rondinone-14.1275002888.jpg
 
Ugo Rondinone vit aujourd’hui à New York, c’est un artiste qui travaille avec les différents : médias – sculpture, peinture, installation sonore et l’espace, la poésie, le collage, le dessin, une cohérence dans l’exposition. Ses œuvres présentées à Aarau, non pas isolément, mais comme une image spatiale d’ ensemble afin de créer une atmosphère et un univers  exprimé dans le titre de l’exposition, « la nuit de plomb » à l’instar du livre de Hans Henny Jahnn  qui a été sa source d’inspiration. Le livre raconte l’histoire d’un homme qui erre dans la ville par une « nuit d’hiver de plomb » Dans le travail littéraire de Hans Henny Jahnn on trouve l’angoisse existentielle à laquelle l’homme ne peut échapper que par l’amour, l’empathie avec les autres et la création. La perte de l’amour est donc toujours une chute tragique dans les agonies fondamentales au-delà du simple deuil. Jahnn occupe une place singulière dans la littérature allemande et ne peut être assigné à aucun mouvement littéraire.
UR parsème son œuvre de paysages aux arbres décharnés blancs, surréalistes, comme s’ils avaient échappés à la lave d’un volcan, de pierres aux visages lunaires qui jonchent le sol, de sculptures érodées par l’usure du temps, le clown rabelaisien, autoportrait de l’artiste, mi-ricanant, mi abusé, rencontré sur les vidéos du Hamburger Bahnhof de Berlin, gît au milieu de ciels étoilés, solitaire, abandonné. Au delà de la tristesse du clown, la solitude de tout être humain dans l’existence. Ses têtes grimaçantes vous interpellent lorsque vous pénétrez au sous-sol.ugo-rondinone-2.1275002930.jpg
Psychologie et métaphysique se chevauchent, la liaison entre  passés et présents, inspirées par le récit  de HHJ oscillent entre les installations impressionnantes  d’ Ugo Rondinone, ses paysages de rêve, ses vidéos et l’espace réel, transformé par  l’artiste en entractes surréalistes  sur  les deux niveaux de l’ Aargauer Museum.
photos de l’auteur (Iphone)

Les gadins célèbres suite

isola-bella-298325.1274124544.jpg Ma chronique a suscité des réactions auprès d’amis non abonnés au journal LE Monde. Quelques uns se sont chargés de me rafraîchir la mémoire et de me rappeler mes turpitudes passées.
Mais aussi je tenais à rassurer mes lecteurs, qui demandaient de mes nouvelles, qui disaient s’inquiéter et croire à pire si je restais silencieuse.
Voici ce que Cécile a retrouvé sur un blog en 2007 (quelle mémoire), mon entrée fracassante dans une salle de projection à la biennale de Lyon, où une estrade s’était traîtreusement mise sur mon passage, et sur laquelle je me suis vautrée peu glorieusement. Miracle il n’y avait personne dans la salle pour glousser et s’esclaffer de ma bévue.
Ailleurs se sont mes amis du CRAC (non, non, pas ce que vous croyez …) c’est le Centre Rhénan d’Art Contemporain, – on ne se refait pas – me voyant sur le point de me diriger vers la sortie « Elisabeth cramponne-toi à la rampe » et bien oui, là aussi, j’ai dévalé les escaliers sur le dos, vous savez ces bons vieux escaliers en pierre avec une douzaine de marches, glissantes à souhait, que vous dégustez une à une, et dont vous vous souvenez longtemps.
Une dernière, relativement comique à la biennale de Venise l’année dernière : mon prof d’art recommande toujours de bien regarder un bâtiment avant de l’aborder et d’y pénétrer, mais aussi lorsqu’on le quitte, avant de s’en éloigner, de jeter un dernier regard, pour bien s’en imprégner. Aussi je jette mon dernier regard à l’Arsenal de Venise, misère, un trou dans le sol accidenté, et hop je me rattrape à la ceinture du pantalon du monsieur qui me précède, le dit monsieur tout surpris d’être agressé aussi directement et brutalement par une dame qui pourtant a l’air comme il faut ….
Patience, je m’envole pour Rome aux routes pavées, si bienfaisantes pour le dos, puis d’autres voies tout aussi remarquables, certaines même navigables. Je ne promets rien, mais vous serez tenus au courant de tout.
Le volcan en a décidé autrement pas de Caravage pour moi aux Scudéries du Quirinal.
Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, je pars pour de nouvelles aventures vers l’Italie et le lac Majeur, pour quelques jours.

Les gadins célèbres

schtroumpf.1273869908.jpgMes parents parcouraient le monde, à la recherche de sites spectaculaires, culturels, ma mère en particulier avait une sainte dévotion pour les pèlerinages. Je détestais cela, la honte au front, je faisais mes prières devant les calvaires et grottes, terrorisée à l’idée que des personnes de ma connaissance pouvaient m’apercevoir et me reconnaître.

Je me suis découvert une spécialité au fil dans ans, en dehors de mon envie frénétique de musées, de paysages, de voyages, et du fait que je suis systématiquement fouillée au passage des douanes aériennes, en effet je dois reconnaître que mon exploit spécifique est à la hauteur de Mylène Farmer ou de Lady Gaga, sans l’être…. J’ai une régularité de gadins dans les diverses capitales qui « tombent »  comme un métronome.
Le dernier était de toute beauté, trébuchant sur une colonne en béton, enthousiasmée par mon achat, la série des timbres du partage de l’Allemagne, assortie du pass pour la zone russe, je me suis pris les pieds dans une colonne en béton, je me suis étalée devant la porte de Brandebourg, les touristes sont venus s’enquérir de mon état de santé. C’est mon 2e gadin à Berlin, le premier était moins glorieux, c’était l’année dernière, le bus ayant démarré trop brutalement, vers la fondation Berggruen je me suis étalée de tout mon long sur le plancher du bus, inquiétant les passagers.
 À Londres j’ai cru mourir, la vue embuée par le fog, à la sortie de la Tate, encore rêvant aux toiles de Turner, je n’ai pas vu la dénivellation, j’ai atterri dans le caniveau, le souffle coupé, incapable de respirer.
Devant le Palais de Tokyo, l’affiche de l’exposition du musée d’art moderne sur Bonnard, a attiré mon attention, traitreusement le trottoir s’est dérobé sous mes pieds et patatras, quelques bleus de plus.
À Madrid, c’est le plancher du métro qui a fait ma connaissance.

On a la spécialité qu’on peut, dans la mesure de ses « faibles » moyens.
Aussi j’ai une vague et lointaine parenté avec les schtroumpfs, mais je dois signaler que dans ma maladresse, j’ai toujours été entourée de personnes, passants attentifs et secourables. Je les remercie ici.

La Dolce Vita

Si vous me cherchez  je ne suis pas par là pour quelques jours, pour cause de nuage de cendres, le vol pour Rome est annulé, faute d’avion !!!

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clic sur la flèche verte

mais surtout là

Ateliers ouverts en Alsace 2010

Les 08, 09, 15, 16 mai, participez aux Ateliers ouverts par nos artistes en Alsace
affiche-ateliers-ouverts-2010.1273182067.jpgDaniel Payot adjoint au maire de Strasbourg, chargé de l’action culturelle
Michel Samuel Weis adjoint au maire de Mulhouse délégué à la culture
Sun Chiven, consul général de Chine, résident à Strasbourg
MenG Haidong directeur du développement du centre culturel de Beijing
« Quelle course chaque année, mais quelle joie aussi de pouvoir vous proposer cet itinéraire improbable, original et printanier que sont les Ateliers Ouverts ! L’édition 2010, la 11e que nous organisons, comprend 150 ateliers, 370 artistes dans 29 communes du Bas-Rhin et 17 communes du Haut-Rhin.
Chaque atelier sera une découverte : objet, performance, peinture, vidéo, collage, gravure, photo, son, illustration, volume, multiple, bricolage, dessin, aquarelle… laissez-vous surprendre ! Notre région est l’une des plus denses en créateurs et d’une année sur l’autre environ 1/3 des artistes se renouvelle à l’occasion de ces journées portes ouvertes.
Comment faire son choix de parcours ? Partir d’une promenade en famille et faire le tour de 5 ateliers à la campagne ? Préférer un tour marathon strasbourgeois à vélo ? En profiter pour découvrir ou redécouvrir Mulhouse ou Colmar… et pourquoi pas Riedisheim, Neudorf ou le Parc Wesserling ? A vous de voir et d’aller à la rencontre des artistes à pied, à vélo, en train ou en voiture au fil d’un véritable jeu de piste sur toute la région. Les ateliers collectifs, comme l’incontournable Bastion 14 (ateliers de la Ville de Strasbourg), les anciens entrepôts au port du Rhin, Zone d’art, la Semencerie ou les ateliers de la ville de Mulhouse, vous tiendront en haleine par leur ébullition. D’autres, plus confidentiels, vous feront plonger au cœur de la création au détour d’une grange ou d’une dépendance aménagée. Pour faciliter votre ballade : le programme imprimé, le site internet avec une documentation détaillée pour chaque artiste, ou plus intuitivement les parcours choisis proposés par 7 personnalités du monde l’art.
visueljepg.1273182584.pngLa nouveauté de cette édition 2010 est le partenariat avec Pékin et Shangaï. Les premiers Ateliers Ouverts chinois sont en effet synchronisés avec les Ateliers Ouverts en Alsace : même organisation, mêmes dates, cohérence éditoriale. Vous retrouverez toutes les informations sur les Ateliers Ouverts en Chine en fin de programme, à l’inverse les artistes français seront annoncés en Chine. Et enfin, Zone d’art, à Strasbourg, accueillera une exposition d’artistes chinois intitulée “Deux dialogues”.
Un grand merci aux artistes qui acceptent de s’exposer et de vous ouvrir leurs portes
Merci aux partenaires et financeurs : la DRAC Alsace, la Ville de Strasbourg, la Région Alsace, le Département du Bas-Rhin, la Ville de Mulhouse et la Caisse d’Epargne. Sans leur soutien rien ne peut se faire.
BONNE VISITE ! »
Sophie Kauffenstein
Accélérateurs de Particules