L’exposition Confluences réunit les collections de la Fondation François Schneider, du FRAC Alsace, du FRAC Champagne-Ardenne et du 49 Nord 6 Est – FRAC Lorraine. Inspirée par le concept de « confluences », elle explore les interactions entre différentes œuvres, à l’image de rivières qui se rencontrent.
Durée de l’exposition : du 26 avril au 28 septembre 2025
Commissaire de l’exposition :
Sarah Guilain, Responsable des projets artistiques et de la collection
Les pièces, issues de divers styles et cultures, mettent en avant des émotions partagées autour de l’eau. Bien que chacune soit distincte, elles se répondent et tissent des liens invisibles. Le parcours présente alors trente artistes avec des médiums variés comme la peinture, la vidéo, la photographie, l’installation, la sculpture et le textile. À travers différentes thématiques, les œuvres dialoguent sur les formes, les compositions, les récits et les couleurs. Les visiteurs sont invités à s’imaginer dans des moments de vie inspirés par l’eau, qu’il s’agisse entre autres d’admirer une mer scintillante, d’explorer des plages urbaines ou d’observer l’harmonie entre le corps et l’eau.

Cette exposition offre une nouvelle perspective sur les œuvres tout en révélant les inspirations communes des artistes et montrer ainsi les échos saisissants entre les pièces présentées.
30 artistes représentent l’eau sous différentes
thématiques communes.
Voir sur Viméo, la vidéo empruntée à Mulhouse Art Contemporain
Jenny YMKER
Artistes
Claude BATHO, Mégane BRAUER, Pat BRUDER, Cécile CARRIERE, Julie CHAFFORT, Gigi CIFALI, Collectif SANDRA & RICARDO, Olivier CROUZEL, Céline DIAIS, Marcel DINAHET, Jennifer DOUZENEL, Linda FREGNI NAGLER, Harald HUND, Michel KRIEGER, Sylvia LACAISSE, Miller LEVY, Rahshia LINENDOLL-SAWYER, Arno Rafael MINKKINEN, Bernard MONINOT, Hélène MUGOT, Eva NIELSEN, Uriel ORLOW, Emma PERROCHON, Philippe RAMETTE, Hans Peter REUTER, Jean-Michel SANEJOUAND, Sandy SKOGLUND, Uri TZAIG, Massimo VITALI, Jenny YMKER.
Visite guidée en duo
Cette visite spéciale en duo permettra d’observer les similitudes et les croisements possibles entre les œuvres de la collection de la Fondation François Schneider, Wattwiller et de la collection du FRAC Alsace, Sélestat.
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- Samedi 2 août à 14h
Visite menée par Anne-Virginie Diez du FRAC Alsace et Sarah Guilain, commissaire d’exposition de la Fondation François Schneider
- Samedi 2 août à 14h
Réservation souhaitée

Venez découvrir l’exposition lors des visites guidées en présence de la médiatrice le premier dimanche du mois.
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FLÛTE / TAMBOUR (comme sur les rives du Mississippi) |
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Dimanche 27 juillet 2025 de 15h à 16h Entre ami•es ou en famille, entrez dans la danse chaleureuse proposée par la flûtiste Aline Bissey et le batteur Axel Gaudron, dans le jardin de sculptures et de fontaines de la Fondation François Schneider à Wattwiller ! Une évocation du style « Fife and drums« , qui accompagnait les pique-niques familiaux sur le bord du fleuve Mississippi et dérivé du blues traditionnel et rythmes africains. Le duo se produit régulièrement dans l’espace public, autour d’une musique généreuse et populaire, qui rassemble toutes les générations ! Un concert à vivre les pieds dans l’herbe ! Possibilité de pique-niquer sur place I Vente de boissons chaudes et fraîches à l’accueil. Réservation souhaitée : info@ Sur achat d’un billet d’entrée : Tarif : 8 € I Tarif réduit : 4 € I Gratuité sous conditions |
billet d’entrée – réservation souhaitée par mail :
info@fondationfrancoisschneider.org ou par téléphone 03.89.82.10.10
Informations pratiques :
Fondation François Schneider
27 rue de la Première Armée 68700 Wattwiller – FRANCE
TEL : +33 (0)3 89 82 10 10 info@fondationfrancoisschneider.org
Horaires
Ouverture : du mercredi au dimanche, jours fériés inclus
11 h à 18 h
Fermeture : les lundis et mardis et 1er mai
Accès
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Série Sharp, Lucie Bretonneau, 2024-2025
Passer l’hiver, Delphine Gatinois, 2022-2025

Crossing the border/Entre le jour et la nuit,
Delphine Gatinois




Maike Cruse
qui présente également une peinture abstraite de 1969 de
un surprenant triptyque enchâssé dans un cadre de bois sculpté. Enfin,
et
et
L’artiste allemande de renom Katharina Grosse, l’un des temps forts de la foire, 



































« Je démarre ma troisième saison en tant que directeur musical de
« La saison dernière, j’ai reçu des témoignages géniaux de spectateurs, avec ou sans enfants, venus écouter de la musique symphonique pour la toute première fois, et qui s’apprêtaient à renouveler l’expérience. D’autres m’ont dit avoir écouté les œuvres différemment lors des concerts commentés. Je sens cependant que nous pouvons aller plus loin dans l’accueil d’un public néophyte

Aussi, comme l’Année dernière j’ai fait l’impasse sur les invitations parisiennes, à mon très grand regret, dans cette période, où j’ai la chance d’être invitée grâce à mon 


Une mention particulière pour les broderies de Tiffany Chung, afin de tracer

À propos de l’artiste – Joep van Lieshout / Atelier Van Lieshout.









Enfin, l’accent est également mis sur Pablo Picasso avec une présentation de plus de 30 de ses tableaux et sculptures.

ainsi qu’une nouvelle projection numérique de Gerhard Richter.
Dans le cadre du « Globus Public Art Project », l’artiste suisse Urs Fischer, également installé à Los Angeles, investit différents sites autour du Marktplatz de Bâle.




L’exposition débute avec les peintures réalisées par Celmins de 1964 à 1968, lorsqu’elle vivait dans un atelier sur Venice Beach à Los Angeles. À la différence de nombreux·ses artistes travaillant dans la ville dans les années 1960, Celmins n’était pas attirée par la lumière et les couleurs éclatantes de Californie.
De 1968 à 1992, Celmins se consacre presque exclusivement au dessin. Elle continue de travailler à partir de photographies, trouvées dans des livres et des magazines ou prises par elle-même. Ses sujets sont les nuages ainsi que la surface de la lune, du désert et de l’océan. Elle commence avec un ensemble de
Les images de Celmins sont basées sur des photographies ou, dans le cas de ses rares sculptures, sur des objets servant de modèles. Celmins use de ces matrices comme d’un outil, qui lui permet de ne pas avoir à se soucier de questions de composition et de cadrage. Cependant, elle ne réalise pas de copie d’un

Pour accompagner l’exposition, la Fondation Beyeler présente « Vija », un court-métrage des cinéastes de renom Bêka & Lemoine. En 30 minutes, le film dessine un portrait tout en spontanéité de l’artiste, qui partage ses réflexions sur la pratique de toute une vie, ouvrant les portes de son atelier et les tiroirs de ses archives. Le portrait entraîne les spectatrices et les spectateurs dans un voyage au fil des formes, des images et des pensées qui nourrissent la sensibilité incomparable de Vija Celmins.