Novo l’incontournable,

novo.1264985352.jpgVous en avez rêvé, NOVO, l’a réalisé pour vous.  C’est un magazine gratuit, qui en est à sa 6e édition mensuelle, devenu absolument incontournable pour la région Grand Est, pour tous ceux qui veulent être tenu au courant de l’agenda culturel de leur région.
Comme tout magazine qui se respecte il comporte un :
Edito,
 un Focus sur les évènements régionaux,
 une page de Rencontres des journalistes avec  un sujet nouveau chaque mois
une série de Magazines sur des sujets divers
des Chroniques avec des interventions de chroniqueurs du monde des Arts
une Selecta vous permettant de vous renseigner sur les diques, BD, livres et DVD parus.

L’éditorialiste, Philippe Schweyer, dont la haute silhouette arpentant cocktails, vernissages, salons, cinémas, à la recherche de l’événement, vous est certainement familière.
Il co-dirige le magazine avec Bruno Chibane,
Le rédacteur en chef Emmanuel Abela,  entouré d’une équipe de rédacteurs, photographes, journalistes, contributeurs fait un tour non exhaustif de l’actualité culturelle régionale. Novo propose dans chaque numéro des sujets ou des rencontres qui sont des vrais choix de la rédaction (pas seulement liés à une actu, un spectacle ou une expo). Chaque rédacteur, chaque contributeur traitent un ou plusieurs sujets qui lui tient vraiment à coeur!
Vous pouvez feuilleter le magazine en ligne, si vous préférez feuilleter la version papier, pour tous ceux qui ont gardé ce rapport tactile,voire sensuel avec le papier,  le retirer dans tous les centres culturels régionaux, (Filature, blibliothèques, centres d’Art, Quai) ou vous abonner pour la modique somme de 20 € par an ce qui vous permettra d’être le premier servi et de tenir compagnie à l’abonné n° 1 du magazine :

l’artiste Christian Glusak
, ici en compagnie de Philippe Schweyer.
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Une page au hasard :

Rehberger trace sa ligne, texte de Sandrine Wymann, directrice de la Kunsthalle, illustration Bearboz, qui vous parle des installations de Tobias Rehberger dans la ville de Mulhouse et vous signale  la vidéo sur la légende de la pomme de Terre d’or

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clic pour agrandir l’image

Cherry of the cake la page 42,

 la page playmate comportant de magnifiques photos d’une artiste dont je vous parlerai dans un autre billet.

Débat sur la nationalité française

Le débat actuel, me reporte à ma propre histoire.
ci.1264726452.JPGCette situation n’est pas nouvelle, lorsque j’ai demandé le renouvellement de ma carte d’identité en 1997, on m’a demandé un certificat de naissance de mes parents ainsi qu’un certificat de mariage.
Mon père est né en 1899, à Kingersheim, village alsacien. L’Alsace à cette période était possession germanique depuis 1871, sous Bismarck, pour redevenir française en 1918,  après la 1e guerre mondiale, puis l’Alsace est à nouveau convoitée par l’Allemagne, ce qui donne lieu à l’occupation allemande en 1939, puis l’Alsace est annexée en 1940, libérée en 1945 où elle redevient française après la 2e guerre mondiale.
Le village alsacien Kingersheim, me délivre un certificat de naissance de mon père rédigé en allemand, en écriture Sutterlingen. J’ai dû faire appel à un traducteur assermenté payant, pour la rédaction de ce certificat en français. Le traducteur ignorait cette écriture, je n’en ai pas trouvé d’autre. Mon certificat de naissance, puisque j’étais née sous l’occupation / annexion (chut ne le répétez à personne) était lui aussi rédigé en allemand traductible celui-ci. Heureusement que la municipalité de naissance de ma mère était moins tatillonne, car née en 1903, période où l’Alsace était allemande était lui rédigé en français. Mais je n’étais pas au bout de mes peines, car il me fallait mes 2 certificats parentaux en bon français. Mes parents se sont mariés à Illzach, la municipalité d’où ma mère était originaire, ce qui était l’usage à l’époque, en principe on se mariait dans la commune de la mariée. Aussi grâce au certificat de mariage de mes parents, rédigé en français clair et précis, comportant toutes les filiations, j’avais les 3 documents qui me permettraient d’obtenir le renouvellement de ma carte d’identité. J’avais renouvelé mon passeport qui me fut délivré dans la semaine sans complication.
Interloquée par cet amoncellement de démarches, obligation d’aller dans ma mairie de naissance, me trouver devant le guichet fermé, parce que l’horaire des agents municipaux est précis, au ¼ près… cad on ferme 1/4 avant la fermeture ….. j’ai écrit au journal local pour conter mon aventure. C’est qu’à cette période, le maire de mon village natal était préoccupé de débouter un député dépité, aux élections régionales, force affiches et campagne, qu’il n’avait pas le temps de se préoccuper de ces détails administratifs et de leur mise à jour en conformité. alsace_elleattend1.1264728133.jpgAussi je redigeai mon courrier dans ce sens, alors que la municipalité de ma mère était chapeautée par un  maire sénateur, je m’attendais à un train de sénateur et non pas à autant de modernité et de rapidité.
Le maire me répondit par voix de presse, que « je l’avais allumé, et que c’est dans un souci de véracité des faits, que la municipalité ne traduisait pas les extraits et certificats de naissance »
Je répondis que c’était un comble d’être accusée d’avoir « allumé » un maire dont la municipalité avait été condamnée à l’époque par le tribunal administratif pour incendie à titre conservatoire.
Mais de surcroît pour la véracité des écrits, je dois révéler que mon 3e prénom, Marguerite, qui avait été rajouté à mon état civil par mes parents après l’occupation, chose qui était impossible à la déclaration de ma naissance, étant donné que la dite Marguerite, trop française,  habitait dans le Territoire, appelé aussi « l’intérieur »  en Alsace, s’est transformé en Margarete, par les bons soins du traducteur assermenté et chèrement payé. Autant vous dire que ma réponse au maire n’a pas été publiée dans la presse…
Après la guerre de Trente Ans (1618-1648) où les Hasbourg furent chassés  et l’Alsace dévastée, Le Roi Louis XIV se serait exprimé ainsi en décrivant l’Alsace :

« Voici ma province germanique … quel beau jardin ! »

scan et portrait de l’Alsacienne par Jean Jacques Henner
une vidéo que l’on m’a communiquée sur une nationalité européenne (merci Benoît)

Louvre pour tous


Voici comment j’ai croisé Bernard HASQUENOPH en le titillant sur les critiques de son blog.
–  Qui êtes-vous – louvrepourtous :  journaliste, syndicaliste, ou ou ou …..un truc en iste ?
– Voici sa réponse :
« Agitateur de musées depuis 2004, Graphiste ! J’ai lancé LOUVREPOURTOUS , fin 2004 quand le Louvre a voulu supprimer la gratuité pour les artistes dont je fais partie par mon statut, ce qui me semblait assez délirant de la part d’un grand musée. Et j’ai continué à m’intéresser aux questions tarifaires et pratiques commerciales des musées publics.
  je me moquais un peu de lui parce qu’il a mis en avant sur facebook le fait d’avoir été distingué par le Parisien.
Ce n’est pas moi qui vais me plaindre de la critique que j’estime nécessaire dans tous les domaines car elle est signe de vitalité démocratique. Dans les critiques, il y a de tout, des hâtives, des fondées, des injustes, des méchantes… comme dans l’art.
Etre distingué par Le Parisien m’intéresse moins pour moi que pour les causes que je défends, c’est pour cela que je mets cet article en avant.

Aussi les sujets d’actualité culturelles  aussi brûlants ne pouvait que trouver droit de cité sur mon blog à moi, aussi vous pourrez le retrouver à droite dans la liste « blogroll » au même titre que les « blogs amis » tous en liens accessibles au moyen d’un simple clic

Présentation (source Louvre pour tous)


jocondex4.1262474241.jpgLouvre pour tous… Qui suis-je ?
Depuis 2004, Louvre pour tous informe et défend les visiteurs des musées
 
© Louvre pour tous
01.01.2008 | LOUVRE POUR TOUS a été créé fin 2004 par Bernard Hasquenoph, graphiste vivant à Paris, pour protester contre la suppression par le musée du Louvre de la gratuité accordée traditionnellement à certaines catégories socio-professionnelles comme il est d’usage dans tous les musées nationaux.
A l’issue de cette mobilisation qui a réuni de nombreuses organisations, seuls les artistes et critiques d’art ont été réintégrés dans leur droit, pas les enseignants ni les étudiants d’art à l’étranger.
Ces revendications catégorielles ont révélé la marchandisation progressive des grands musées. Elle a permis d’ouvrir le débat sur une gratuité pour tous, voulue par la Révolution française et appliquée en France jusqu’en 1922.
Depuis 2004, l’idée a fait son chemin, dépassant les clivages gauche-droite, défendue tant par le PCF que par l’UMP. Promesse électorale de Nicolas Sarkozy en 2007, la mesure a été enterrée par sa plus farouche adversaire, la ministre de la Culture elle-même, Christine Albanel, ex-dirigeante du Château de Versailles pour aboutir à une gratuité ciblée pour les jeunes de 18 à 25 ans, uniquement ressortissants de l’Union Européenne et pour les professeurs uniquement de l’Education nationale. Nous restons favorable à une gratuité pour tous, si tant est qu’elle soit accompagnée de véritables mesures d’accompagnement.
LOUVRE POUR TOUS se veut être un observatoire des pratiques des musées publics, s’attachant à en dénoncer la dérive marchande : part de plus en plus importante du mécénat pour le meilleur et pour le pire, location d’espace privatisant l’espace public, merchandinsing douteux, tarification excessive…
Les musées publics encouragés par l’Etat à rechercher par eux-mêmes des sources de financement adoptent peu à peu les pratiques des entreprises privées, au détriment parfois de leurs missions premières : conserver, faire partager au plus grand nombre et transmettre aux générations futures notre patrimoine.
LOUVRE POUR TOUS se veut donc une base inter-active d’informations, un observatoire des pratiques, un outil de vigilance et de mobilisation pour défendre le service public des musées.
© Louvre pour tous / Interdiction de reproduction sans l’autorisation de son auteur

:: Louvre pour tous | 1er.01.2008

 

avec l’autorisation expresse de Louvre pour tous 2 janvier 2010

Voeux

A tous mes lecteurs du monde entier, j’adresse mes remerciements pour leur passage et je leur souhaite :

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 une EXCELLENTE ANNEE 2010 !! º°¨°º¤ø °¨♥¨°º¤ø ¸„ø¤º°¨♥¨°º¤ø,HAPPY NEW YEAR !!¤ø ¸♥„ø¤º°¨♥¨°º¤ø ø¤º°¨♥¨°º¤ø ¸„ø¤FELICE ANNO NUOVO !!°¨°º¤ø ¸„ø¤º°¨♥¨°º¤øС Новым Годом !!¸„ø¤º°¨♥¨°º¤ø,„FELIX ANO NUEVO !!¤ø ¸„ø¤º°¨♥¨°º¤ø ø¤º°..♥..GODT NYTT ÅR !!♥vº°¨¨°º¤ø °¨♥¨°PROSIT NEUJAHR !!¨°º¤ø °¨♥¨°

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photo voeux 2010 Patrick Bailly Maître Grand

Nativité

Joyeux Noël à mes lecteurs

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Le Caravage l’Adoration des Bergers

I am back

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 Un mouvement social du personnel empêche l’ouverture du Centre Pompidou au public. Le Centre Pompidou présente ses excuses à ses visiteurs pour les désagréments que cette situation occasionne.Si vous avez acheté un billet « Musée et expositions » sur le site Internet du Centre Pompidou, à la FNAC, auprès de Digitick ou de Ticketnet
Vous pouvez avec ce billet revenir au Centre jusqu’au 31 décembre 2009.
Vous pouvez demander un remboursement :
– pour les billets achetés sur le site internet du Centre Pompidou : en déposant vos billets accompagnés d’un RIB à la banque d’accueil général du Centre ou en les envoyant au Service des relations avec le public – Centre Pompidou – 75191 Paris Cedex 04. Les frais d’envois sont inclus dans le remboursement.
– pour les billets achetés à la FNAC : en vous présentant dans un magasin FNAC munis de vos billets ou en téléphonant au 0820 315 325
– pour les billets Digitick : en demandant votre remboursement sur www.digitick.fr
– pour les billets Tickenet : en demandant votre remboursement sur www.ticketnet.fr
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photos JR Itti

En vadrouille

Si vous me cherchez je suis quelque part par là pour un moment

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photo de l’auteur

Toscane

Si vous me cherchez je suis quelque part par là :

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Maison natale de Giacomo Puccini

Venise les nouveaux mécènes

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Nous connaissions les Médicis de la Renaissance, au 21e siècle, d’autres mécènes, que l’on nomme sponsors font
leur apparition. Efficace la méthode, mais choquante.
Certes la sérénissime a un grand besoin de soins pour la sauvegarde de ses trésors, pour que ses palais ne soient pas tous transformés en hôtels, et qu’à l’image du Palazzo Grassi et de la Punta della  Dogano et de la Fondation Guggenheim, l’art moderne et contemporain fassent partie intégrante de la richesse artistique, et ajoutent un nouveau pôle d’attraction avec la Biennale.
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le pont des soupirs
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Quelques sélections de l’auteur

Adieu Christine, Adieu Frédéric

Fredo invité d'honneur de Michou, dans "vivement dimanche" ! :-p aux mécontents et autres contestataires .... bien joué !
Frédéric Mitterrand s’explique face à une  Laurence Ferrarri, épouse de Renaud Capuçon, maladroite, au regard fuyant.  (pourtant côté musique et doigté elle devrait s'y connaître)
Il reconnaît avoir réagi sous le coup de l’émotion, lors du festival du cinéma de Zurich.
Moi aussi Fredo, j’ai agi avec émotion, j’avais lu ton livre, sans en être choquée.
L’amalgame qui est fait avec l’affaire Polanski est odieux, et en tout état de cause, s’il y avait une réaction à avoir c’était au moment de sa nomination au ministère de la culture et non par pur opportunisme.



"Je savais que j'étais dans les petits papiers de Nicolas Sarkozy", explique le neveu de l'ancien président socialiste dans une interview accordée à VSD avant d'ajouter : "Je ne suis pas tombé des nues [en apprenant la nomination]".
"Je tiens à dire que je viens après quelqu'un qui n'a pas démérité. C'est un poste difficile et je mesure la difficulté de certains dossiers, tels que la loi sur le piratage, l'état de la presse, la télévision publique. La villa Médicis est un peu un concentré d'un ministère et j'entends bien ne pas me faire dévorer par les problèmes internes et la technostructure",
"Oui... Sarkozy a bien été ministre au temps de Mitterrand".
Frédéric Mitterrand a confirmé, mardi midi sur France 2, qu'il rentrerait au ministère de la Culture lors du remaniement du gouvernement annoncé pour mercredi. Il s'agit "d'une tâche exaltante et d'un honneur", a déclaré le neveu de l'ancien président socialiste François Mitterrand. Alors qu'on l'interrogeait sur ceux qui demanderaient s'il était toujours de gauche, Frédéric Mitterrand a répondu : "je leur laisse le soin de répondre à la question. François Mitterrand quand il ne voulait pas répondre ne répondait pas. Je suis pareil", a-t-il estimé, ajoutant : "Nicolas Sarkozy a bien été ministre au temps de Mitterrand". L'actuel président de la République était en effet ministre du Budget et porte-parole du gouvernement d'Edouard Balladur de 1993 à 1995 durant la deuxième cohabitation.

En mars dernier, Frédéric Mitterrand signait un contrat avec le groupe TF1. Il devait, à partir de septembre prochain, animer une fois par mois une émission culturelle sur la chaîne Odyssée depuis la somptueuse villa Médicis, qui en prendra la relève ?
Lors de sa nomination à la Villa Médicis, les critiques ont été nombreuses, cette fois la cohorte de jaloux n'en fait pas moins. Certes Frédéric Mitterrand ne laisse pas indifférent, on ne peut nier son charisme, ni sa grande culture. Un seul regret, j'esperai secrètement être invitée à la villa ;-)
     Tout est fini entre nous Fredo, ta position en ce concerne l’affaire Polanski est irrecevable. On ne peut s’immiscer dans la justice d’un pays étranger, encore moins lorsque l’on est ministre. Prendre partie pour la classe des saltimbanques est lamentable, le viol est un crime. (le consentement ne peut être donné par une mineure de 15 ans – Gisèle Halimi) Toute cette affaire doit être tirée au clair avant que tout un chacun se prononce.
Voici un lien que l’on m’a fort judicieusement soufflé.