Sonia mon autre soeur, de Mulhouse à Tuzla,

jean-jacques-rinckenbach.1246990836.JPGContribuer au démarrage d’une usine constitue, pour Jean-Jacques Rinckenbach, une mission au demeurant banale… Sauf si l’action se situe en Bosnie-Herzégovine, à Tuzla, dans les années qui ont suivi la mort de Tito.
Tout en essayant de comprendre l’origine des problèmes liés au fonctionnement de l’usine, Jean-Jacques tissera au fil du temps des liens de plus en plus serrés avec les autochtones. Il croisera la sympathie des uns, la méfiance des autres, la volonté farouche de Nina, le désespoir de Sonia…
En opposant à la détresse ou à la cruauté l’amitié et la persévérance, Jean-Jacques parviendra aussi bien à redonner des ailes à une jeune femme au destin brisé, qu’à mettre à jour un important trafic d’armes ou à contribuer à l’essor du commerce international. Un dénouement heureux pour une histoire tragique…

« A quoi sert-il d’avoir un cœur de bulldozer,
si on n’est pas capable de niveler les malheurs ? »
 

L’auteur se trouve en proie aux violents désordres qui ont secoué ce pays, sur fond de haînes ethniques et religieuses.
Ces désordres permettent des trafics et des corruptions de tout genre, mais n’empêchent pas que des femmes et des hommes courageux se battent opiniâtrement pour tenter de se reconstruire un destin.
jean-jacques-rinckenbach-sonia-ma-soeur.1246991479.jpgEt dans ce monde de violence, des familles éclatées cherchent à se retrouver, à faire front face à l’adversité, à regarder l’avenir avec une lueur  d’espoir retrouvé.
Jean Jacques Rinckenbach a baigné pendant de longs mois dans cet univers, partageant les peines, les joies et les espoirs de la communauté de Tuzla, essayant de forcer le destin quand l’occasion lui a été donnée.
Il n’en est pas ressorti indemne, aussi dans son livre il relate cette expérience hors du commun, avec une précision chirurgicale et une empathie qui lui font honneur.
L’auteur se déplace sur demande pour parler et dédicacer son livre dans la périphérie mulhousienne, voire au-delà.

L’ ouvrage est disponible chez
Jean-Jacques RINCKENBACH
6 avenue d’Italie – 68110 ILLZACH
 
Prix : 20 €  + participation aux frais d’envoi : 5 €
e-mail :
jjrinck@wanadoo.fr
photo de l’auteur
 

Auteur/autrice : elisabeth

Pêle-mêle : l'art sous toutes ses formes, les voyages, mon occupation favorite : la bulle.

4 réflexions sur « Sonia mon autre soeur, de Mulhouse à Tuzla, »

  1. Vous avez envie de lire un livree hors du commun ? Alors achetez « Sonia » ! Je ne vous dirai rien sur l’histoire, à vous de la découvrir et d’autres l’ont fait avant moi. Personnellement c’est la première fois que je trouve une lecture qui présente autant de fraîcheur, de chaleur humaine, identique à celle qui émane de l’auteur, c’est le coeur qui parle. Du début à la fin les émotions vous portent, c’est un livre qu’on ne lâche plus une fois qu’on l’a commencé. Magnifique leçon de vie et d’amour pour le prochain ! Puisse l’auteur nous ravir encore avec d’autres histoires vécues est mon souhait le plus profond. Bravo !

  2. J’ai lu avec grand plaisir « Sonia », qui raconte une vraie histoire dans la ville de Tuzla avant que cette région ne connaisse la guerre civile. On trouve dans ce livre les germes des évènements à venir, mais l’auteur, lui-même ignorant tout de la situation à son arrivée dans cette région, découvre et nous fait découvrir des personnages, femmes et hommes attachants, qui vivent des évènements dramatiques dans un contexte de violence et de haine. On suit avec intérêt le cheminement de l’auteur qui par son action déterminée dictée par un optimisme personnel et une grande empathie envers les personnes qu’il est amené à côtoyer, arrive à faire évoluer les situations de manière positive.
    Le livre est empreint de chaleur humaine et de générosité à l’image de son auteur. On se sent bien après avoir refermé le livre.

  3. C’est l’auteur de la phrase qui sera ravi de lire votre sympathique commentaire.
    Il ne tient qu’à vous de visiter Mulhouse, labelisée ville d’art et d’histoire

  4. « A quoi sert-il d’avoir un cœur de bulldozer,
    si on n’est pas capable de niveler les malheurs ? » : J’aime bien
    cette citation, brute de décoffrage !
    Bonne continuation à la bonne ville de Mulhouse, que je ne connais pas, ainsi qu’à vous-même.
    Joël Bécam
    http://joelbecam.blog.lemonde.fr
    (si vous aimez les citations, notamment)

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