Bon 1 mai à mes lecteurs,
Que ceux qui cherchent du travail
en trouvent très vite.
que ceux qui en ont se reposent
Partager la publication "Fête du travail"
Bienvenue, au gré de mon humeur, de mes découvertes
Bon 1 mai à mes lecteurs,
Que ceux qui cherchent du travail
en trouvent très vite.
que ceux qui en ont se reposent
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Zurich
Erna Schilling
01 avril 2017 : 01 avril 2017
03 avril 2017 : MOOC Une brève histoire de l’art
09 avril 2017 : Hola Prado
14 avril 2017 : Pissarro à Eragny
15 avril 2017 : Joyeuses Pâques
19 avril 2017 : Chefs-d’oeuvre de la collection Bührle
24 avril 2017 : La lectrice, Myriam Weill
26 avril 2017 : Jean-Luc Verna au Musée Würth
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Non je ne vous parlerai pas du film, où Miou-Miou
fait la lecture à Patrick Chesnais, mais d’une
jeune femme, très populaire à Mulhouse :
Myriam Weill.
La plupart d’entre vous la connait déjà,
si vous avez dans le passé fréquenté le
petit Zinc.
Le restaurant incontournable des vedettes
(Gad Elmaleh, Lambert Wilson, Pierre Arditi,
Laurent Korcia, et tant d’autres … ),
où la maîtresse des lieux,
avec sa voix mélodieuse, accueillait son public
avec le sourire.
Comme elle a plus d’une corde à son arc,
elle « sévit » avec le même charme et la même
conviction à la Librairie 47 ° Nord, dont
Frédéric Versolato est le directeur
Sa notoriété n’est plus à faire, les jeunes enfants
l’adorent, et se précipitent pour l’entendre les
charmer par ses lectures.
D’abord au théâtre de Poche, avec Thierry Vidal,
puis avec Barbara Abel, dans Cours et Jardins,
elle aiguise sa voix, pendant quelques temps.
Puis il s’en suit un stage au cours Florent, dont le créateur
et directeur était un mulhousien François Florent.
C’est après avoir suivi une formation de lecture
à voix haute proposée par Daniel Mesguich,
qu’elle se lança dans une nouvelle activité :
lectrice.
Elle est aussi donneuse de voix.
Après s’être documentée auprès d’une amie
orthophoniste, Marie Brignone afin d’appréhender
au mieux la manière d’aborder les enfants, elle
commence ses lectures à la Librairie 47 ° Nord.
A la rentrée 2018, ce sera la 5° saison de son
activité.
Cette récréation s’adresse le mercredi ,
aux enfants de 16 mois exceptionnellement,
mais surtout à ceux qui ont entre 3 et 10 ans
Elle n’a pas de règle de lecture, cela est interactif,
les enfants qu’elle connaît nommément posent
des questions. C’est un évènement participatif,
mixte, où elle aborde, les contes de fée, mais aussi
la vie réelle, le vivre ensemble, le partage,
les situations familiales, telles que le divorce,
la famille recomposée, le décès, la musique,
le théâtre, la peinture, le cinéma.
Quelque fois les sujets sont évoqués par les
parents, avant l’activité, aussi est-elle un relais,
entre eux et les enfants.
Cette action captive tant, que les parents ou grands
parents, souvent assistent à la lecture.
Son animal fétiche toujours présent pour l’
occasion est une peluche appelée « Tchouber »
Les enfants la remercient en apportant des dessins
sortis de leur imagination, qu’elle expose pendant
la lecture.
Son salon littéraire, s’étend à d’autres lieux,
comme le Temps d’une Pause, la Passerelle,
Terre Nouvelle, où ce sont les adultes qui sont
conviés pour un partage.
L’activité du mercredi s’achève par la distribution
de marque pages sponsorisés par le Crédit Mutuel,
ainsi que, cerise sur le gâteau, par un goûter
gracieusement offert par
l’Engelman café = Engels’coffee
pour connaître les horaires il
suffit de regarder les affichages
tant à la Librairie 47° Nord
à venir
3/5/ à 16 h ou
de s’abonner à elle par mail, (librairie@47degresnord.com)
ou de consulter le temps d’une pause
9/5/ à 19 h, participation 9€ apéritif +
à grignoter + lecture
30/5/ à 15 h 7.50 €
café, thé + cookie
en cas de soucis reportez-vous à mon propos
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Fondation Cartier
01 décembre 2016 : Frederic Versolato «47° Nord», la latitude de Mulhouse
03 décembre 2016 : Maurizio Cattelan – Not Afraid of Love
11 décembre 2016 : Oscar Wilde, l’impertinent absolu
20 décembre 2016 : Sites éternels, De Bâmiyân à Palmyre
22 décembre 2016 : Hodler Monet Munch – Peindre l’impossible
24 décembre 2016 : Noël 2016
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Joyeux Noël à tous mes lecteurs
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Si vous l’avez atteinte, c’est que votre boussole est fiable
47° Nord est un lieu de plaisir où l’on passe
des moments de bonheur intense.
Frédéric Versolato et son équipe vous accueillent dans un bel espace,
qui est un peu comme une pâtisserie, où on est tenté par un peu tout ce qui est proposé.
Après avoir fait ses gammes, d’abord comme vendeur à la Fnac de Mulhouse, puis comme directeur de celle de Mulhouse, puis de Bâle, des passages à Belfort, Colmar et Strasbourg, toujours fidèle à sa ville il a réalisé son rêve de toujours :
« Etre libraire », il ajoute : « je ne suis bon qu’à ça, à vendre des livres »
Il s’est formé sur le tas, après une longue pratique de gestion du livre
dans les différents lieux où il a oeuvré.
Sa librairie fait partie des nombreuses librairies indépendantes de France.
Il a conçu lui-même l’agencement du lieu, du mobilier en faisant appel à des artisans, l’éclairage, jusqu’aux tables à roulettes si commodes.
Grâce au CNL, il bénéficie des conseils et de financement.
Sa politique d’achat est simple, il achète ce qu’il veut vendre, ce qu’il aime,
ainsi que son équipe :
Blandine Ferté, (études de lettres) dont la spécialité est le rayon Jeunesse
et BD, BD sur Caravage, Vermeer, Joséphine Baker et peut-être bientôt
Michel Ange d’Hector Obalk
Dominique Klein spécialisée dans les Beaux Arts
Marie Simon (DUT métiers du livre) spécialisée de littérature.
Frédéric Versolato est tout « terrain » son professeur de littérature lui a communiqué sa passion.
C’est un passionné, qui aime communiquer, il est très éclectique, de la littérature il passe à la science fiction, au roman policier.
Toujours à l’écoute de ses visiteurs, il propose les marronniers ( récurrence),
les livres de cuisine, les beaux arts, la BD, la Musique, le graphisme.
Si vous ne trouvez pas votre souhait dans le rayon qu’à cela ne tienne, il est commandé et tenue rapidement à votre disposition.
Si vous avez besoin d’un conseil de lecture, il est là, car il a à sa disposition
grâce aux éditeurs, les livres 6 mois avant leur parution, ce qui lui permet d’avoir un avis sur l’objet.
Il propose aussi un système d’abonnement cadeau.
Si vous manquez d’imagination pour faire plaisir à un membre de votre
famille, à un ami, Frédéric s’occupe de faire le choix dans sa librairie,
et de tenir à la disposition de l’heureux bénéficiaire,
un cadeau joliment emballé.
Ses partenaires sont la Filature pour les expositions de photos,
si un livre d’artiste est proposé, de même qu’une bibliothèque permanente
de tous les spectacles
Il est là aux vernissages, à l’entracte avec un choix divers.
Ses partenaires locaux pour les rencontres avec les auteurs, les conférences et les signatures sont nombreux, l’Inter hôtel Salvator, la Quille (bar à vins)
l’Engels’ coffee, Tilvist (salon de thé).
Très souvent l‘espace Engelmann est trop exigu et les conférences se
tiennent à la SIM
Ses sources d’information sont diverses, les salons professionnels,
INITIAL, Acte Sud.
Les lycéens accompagnés de leurs profs lui rendent visite, pour des stages découvertes, mais aussi pour se renseigner sur la profession
de libraire. Il reçoit des stagiaires.
Les enfants et leurs parents sont invités à venir écouter les histoires
sorties du coffre de Myriam Weill qui se continuent à
l’Engels-coffee
Certaines émissions littéraires comme celle de François Busnel,
ou même généralistes comme ONPC, ont un impact direct sur la
curiosité de ses clients. Les journaux comme le Monde Livres, Télérama,
l’Oeil, le Figaro Littéraire, les quotidiens régionaux attirent
aussi les lecteurs.
Sa préférence de lecture va aux livres de SF américains, au club des 5,
mais aussi Poe, Maupassant, Orwell.
C’est un homme heureux, qui nous recommande :
pour l’instant
Marc Graciano | Au pays de la fille électrique
Éditions Corti, Parution 28 août 2016
« Continuer », de Laurent Mauvignier,
roman galopant de la rentrée littéraire 2016
Repose-toi sur moi de Serge Joncour.
les éditions Flammarion.
Station eleven | Emily ST. JOHN MANDEL
Traduit de l’anglais (canada) par Gerard DE CHERGE
Maison Engelmann
8b rue du Moulin
68 100 Mulhouse
Tél. 03 89 36 80 00
lundi de 11h à 19h
du mardi au vendredi
de 9h30 à 19h30
samedi de 9h à 19h
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Galerie Jean-François Kaiser
prix ST’ART 2016
01 novembre 2016 : « Die Kerze »
04 novembre 2016 : Talents contemporains 2014
06 novembre 2016 : Carl Andre : Sculpture as place, 1958-2010
10 novembre 2016 : Machines musicales / Musique machinale
12 novembre 2016 : « Still-Leben » dans le cadre de La Regionale 17
13 novembre 2016 : ST-ART 2016
15 novembre 2016 : Joëlle Tuerlinckx Nothing for Eternity
18 novembre 2016 : TGV contre X
22 novembre 2016 : « Kunihiko Moriguchi – Vers un ordre caché »
26 novembre 2016 : ST’ART 21 e 2016
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Curieuse Journée que ce lundi 17 octobre, pluie sur les vitres
du TGV alors que la météo annonçait du beau temps.
J’avais hésité, ayant mal au dos, annuler le voyage ?
Mais la perspective des 2 expositions :
Carl Andre au musée d’art moderne de la ville de Paris,
et La Porte de l’Enfer selon Rodin, au musée Rodin, m’a incitée à
le maintenir.
J’avais commandé un IDCAB puisque la SNCF m’offrait
généreusement 8 € sur le prix de la course.
Commandée la veille, afin de ne pas avoir à escalader
les marches du métro, cela me permettrait d’arriver à l’heure
à la rencontre de presse.
15 € – les 8 € offerts, pour 7 € j’épargnais mon dos.
Arrivée en gare de Lyon, mon chauffeur annoncé par
la compagnie IDCAC par SMS, devait m’attendre en tête
de train avec un carton à mon nom.
Point de carton à mon nom à l’horizon. Je reste seule
après le passage de tous les voyageurs.
J’appelle le n° indiqué par SMS.
Réponse du chauffeur : vous avez indiqué 10 h 45,
(forcément, il n’y avait pas de case pour 10 h 37) Il était 10 h 50 …J’avais laissé un peu de marge, car la descente du TGV
est toujours encombrée par les passagers, les valises.
Il me dit qu’il va arriver. En fait il n’est pas en tête de train,
il est carrément à l’opposé, dans le hall 2, il est 11 h.
Il me tend la main ! Puis il me dit que je n’ai pas indiqué
la destination.
Je lui précise : le musée d’art moderne de la ville de Paris.
lui : où est-ce ?
moi : Boulevard du Président Wilson, à côté du
Palais de Tokyo
Arrivés dans la voiture, il démarre, puis il me dit :
comme vous n’avez pas indiqué de destination vous aurez
à payer un supplément,
puis me demande combien j’ai payé pour la course,
car j’aurai à payer la différence …
Je réponds : ça ne va pas, si j’avais su j’aurais pris un vrai taxi.
Il m’a prise pour une touriste, provinciale de surcroit.
Arrivés devant le Palais de Tokyo je lui dis que c’est là, il fait le tour,
me dépose, et me jette un regard bizarre, sans me réclamer de l’argent.
Le soir à 19 h 23 je reprends le TGV, étant donné que le lendemain
je pensais me rendre à la rencontre de presse du musée Tinguely
à 10 h 30, pour les machines musicales.
A 20 h 15 le train s’arrête, une 1ere annonce :
accident de personne.
1 h après nouvelle annonce (2°) la police cherche le corps
pour déterminer s’il s’agit d’une personne ou d’un animal.
Etant donné la vitesse du TGV, la nuit, il est difficile de retrouver
les morceaux éparpillés.
Puis une annonce (3°) précise qu’il s’agit d’une personne.
A 11 h le contrôleur dit qu’il n’y a pas de nouvelles, mais dès qu’il
en aura il nous en fera part.
Je contacte ma moitié par téléphone qui consulte le site
de la SNCF, mis à jour enfin, qui annonce 2 h 30 de retard.
Mon téléphone est vide, j’avais oublié le cordon du chargeur,
un voyageur me prête le sien.
Puis une 4°annonce précise, que les pompes funèbres arrivent
pour enlever le corps.
Le train est un moyen de transport fiable et sûr, sauf s’il entre
en collision avec un désespéré.
Malheureux du lundi, qui n’avait plus le courage d’affronter
la semaine à venir.
D’après la presse ce sont 12 000 voyageurs qui ont été
immobilisés par une seule personne.
Devant la tragédie les passagers ont été admirables de patience,
la voiture bar a été assiégée, le personnel débordé,
les provisions vidées.
23 h 30 les passagers marchent de long en large, la patience
a des limites, les inquiétudes sur la suite du parcours
et le programme du lendemain.
Une 5° annonce précise que nous serons ravitaillés à Dijon
et que le billet sera remboursé.
A Dijon nous somme ravitaillés par un colis, les correspondances
sont annoncées, car le trafic est terriblement perturbé.
Ensuite à Besançon même topo, annonce de remboursement,
de mises à disposition de taxis.
A Belfort, annonce de mise à disposition de bus, car la gare
TGV est excentrée par rapport à la ville,
annonce de remboursement, et rappel de ne pas oublier de récupérer
l’enveloppe remise à la sortie du train.
Mulhouse, 4 h 50 de retard, pas d’annonce.
L’employé qui est à la descente du train, nous apprend que
nous ne serons pas remboursés, car la SNCF ne rembourse
pas en cas d’accident de personne.
Nous commençons à protester, et à lui dire que cela a été annoncé
dans toutes les gares et que nous exigeons les enveloppes.
Il nous envoie sur le quai n°1 chez le chef, qui lui
est bien au courant :
C’est un cas exceptionnel et il nous remet l’enveloppe.
Je suis enfin chez moi à 4 h 20 du matin.
Lorsque j’essaie le surlendemain de faire ma demande de
remboursement, en suivant les indications
de la SNCF pour un E-billet, la case à cocher, n’est pas
atteignable. Un bug ?
Je tente ma chance le 5 novembre, enfin cela fonctionne.
Je suis averti le 10 novembre que ma demande de remboursement
est acceptée. Je suis remboursée le 11 novembre.
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Voici ce que me rappelle une de mes nièces :
je n’ai fait qu’un voyage avec toi, il y a très longtemps,
nous étions toutes jeunes et belles !
Mais déjà à l’époque c’était toute une aventure !
Nous nous rendions à St Tropez camper sur la plage
Liberty Plage chez Birzon. Nous étions avec 2 amis, un garçon
une fille, dans une autre voiture.
Le 1er jour nous avons perdu cette voiture sur la Nationale 7,
qui transportait la tente commune, et ce sont eux qui avaient l’adresse
du camping où nous devions aller !
Nous ne connaissions pas leur n° d’immatriculation.
Ma voiture une Ford Anglia blanche, était capricieuse et ne
démarrait que quand elle le voulait bien.
Elle avait quelquefois besoin d’une poussette.
Arrivées à notre destination, nous avons cherché et
trouvé une chambre à louer dans les environs de Saint Tropez
en pleine saison !
C’était une location chez des particuliers,
la gente masculine avait l’air ravi de nous héberger,
les dames nettement moins.
Le budget n’étant pas énorme, nous avons fait du stop
pour essayer de retrouver nos amis sur le port
Nous les avons retrouvés le soir même, car tout le
monde se promenait sur le port.
L’homme du groupe nous a accompagné à notre hébergement provisoire
pour récupérer nos affaires, et a fait en sorte que les logeurs
nous laissent partir sans avoir à payer cette option.
Tout est rentré dans l’ordre ….
Sauf que le garçon en question mangeait tous les midis
un steack accompagné d’ une bouteille de vin.
Alors que nous nous contentions de melons par goût
et par économie.
Lorsque l’hôte présenta l’addition, le garçon voulait partager
en 4, mais nous avons protesté, il a du payer sa large
part. Il a aussi profité d’avoir 3 jeunes filles avec lui
pour les draguer, l’une à l’insu de l’autre….
Un vrai personnage de confiance.
Si nous avons pu camper sur la plage de Pampelonne,
la condition était de prendre les repas dans
le restaurant de plage. Si vous y allez maintenant cela n’a plus rien à voir
avec le tas de planches de l’époque.
Les naturistes étaient une minorité, les textiles
la majorité. Tendance qui s’est inversée les années suivantes.
Ensuite il y a une panne de voiture, (ma superbe Ford Anglia)
à Fréjus je crois ! Le moteur chauffait à cause de la grande chaleur.
Nous devions attendre que la voiture refroidisse.
Nous promenant à St Tropez le soir, naïvement j’avais laissé,
mon sac à main dans la voiture. En repartant nous avons constaté que la portière était ouverte. Des jeunes gens fort aimables nous ont aidé à démarrer…
On nous avait volé mon sac avec un peu d’argent !
Heureusement que j’avais des chèques de voyage laissés dans une cachette
au camping.
Quelques mois après la mairie de Fréjus m’a fait prévenir que mon sac a été retrouvé dans la forêt de Ramatuelle, avec mon passeport.
C’est là que ma mère s’est indignée :
Que faisais-tu dans cette forêt !!!!
Ma nièce :
A l’époque pas de téléphone tout se faisait par courrier incroyable !
En vidant la maison des parents, j’ai retrouvé une carte que j’avais
envoyé à maman pour sa fête, elle est en liège !
Tu vois je n’ai pas oublié comme dirait la chanson
Nous sommes tout de même rentrées bronzées à faire pâlir les
mulhousiennes avec des minijupes de chez « Chose »,
Ce qui n’était pas courant ici
à l’échelle de l’époque une aventure !!!
17 et 24 ans
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au musée Louisiana de Copenhague
06 septembre 2016 : Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter
08 septembre 2016 : Nicolas Darrot, Règne analogue
10 septembre 2016 : Basquiat, Dubuffet, Soulages… Une collection privée
12 septembre 2016 : Eugen Gabritschevsky
18 septembre 2016 : Les voyages forment la jeunesse
23 septembre 2016 : « Lux Umbrae » d’Alberto Mecarelli
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