Joyeux Noël à tous mes lecteurs
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Bienvenue, au gré de mon humeur, de mes découvertes
Joyeux Noël à tous mes lecteurs
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Si vous l’avez atteinte, c’est que votre boussole est fiable
47° Nord est un lieu de plaisir où l’on passe
des moments de bonheur intense.
Frédéric Versolato et son équipe vous accueillent dans un bel espace,
qui est un peu comme une pâtisserie, où on est tenté par un peu tout ce qui est proposé.
Après avoir fait ses gammes, d’abord comme vendeur à la Fnac de Mulhouse, puis comme directeur de celle de Mulhouse, puis de Bâle, des passages à Belfort, Colmar et Strasbourg, toujours fidèle à sa ville il a réalisé son rêve de toujours :
« Etre libraire », il ajoute : « je ne suis bon qu’à ça, à vendre des livres »
Il s’est formé sur le tas, après une longue pratique de gestion du livre
dans les différents lieux où il a oeuvré.
Sa librairie fait partie des nombreuses librairies indépendantes de France.
Il a conçu lui-même l’agencement du lieu, du mobilier en faisant appel à des artisans, l’éclairage, jusqu’aux tables à roulettes si commodes.
Grâce au CNL, il bénéficie des conseils et de financement.
Sa politique d’achat est simple, il achète ce qu’il veut vendre, ce qu’il aime,
ainsi que son équipe :
Blandine Ferté, (études de lettres) dont la spécialité est le rayon Jeunesse
et BD, BD sur Caravage, Vermeer, Joséphine Baker et peut-être bientôt
Michel Ange d’Hector Obalk
Dominique Klein spécialisée dans les Beaux Arts
Marie Simon (DUT métiers du livre) spécialisée de littérature.
Frédéric Versolato est tout « terrain » son professeur de littérature lui a communiqué sa passion.
C’est un passionné, qui aime communiquer, il est très éclectique, de la littérature il passe à la science fiction, au roman policier.
Toujours à l’écoute de ses visiteurs, il propose les marronniers ( récurrence),
les livres de cuisine, les beaux arts, la BD, la Musique, le graphisme.
Si vous ne trouvez pas votre souhait dans le rayon qu’à cela ne tienne, il est commandé et tenue rapidement à votre disposition.
Si vous avez besoin d’un conseil de lecture, il est là, car il a à sa disposition
grâce aux éditeurs, les livres 6 mois avant leur parution, ce qui lui permet d’avoir un avis sur l’objet.
Il propose aussi un système d’abonnement cadeau.
Si vous manquez d’imagination pour faire plaisir à un membre de votre
famille, à un ami, Frédéric s’occupe de faire le choix dans sa librairie,
et de tenir à la disposition de l’heureux bénéficiaire,
un cadeau joliment emballé.
Ses partenaires sont la Filature pour les expositions de photos,
si un livre d’artiste est proposé, de même qu’une bibliothèque permanente
de tous les spectacles
Il est là aux vernissages, à l’entracte avec un choix divers.
Ses partenaires locaux pour les rencontres avec les auteurs, les conférences et les signatures sont nombreux, l’Inter hôtel Salvator, la Quille (bar à vins)
l’Engels’ coffee, Tilvist (salon de thé).
Très souvent l‘espace Engelmann est trop exigu et les conférences se
tiennent à la SIM
Ses sources d’information sont diverses, les salons professionnels,
INITIAL, Acte Sud.
Les lycéens accompagnés de leurs profs lui rendent visite, pour des stages découvertes, mais aussi pour se renseigner sur la profession
de libraire. Il reçoit des stagiaires.
Les enfants et leurs parents sont invités à venir écouter les histoires
sorties du coffre de Myriam Weill qui se continuent à
l’Engels-coffee
Certaines émissions littéraires comme celle de François Busnel,
ou même généralistes comme ONPC, ont un impact direct sur la
curiosité de ses clients. Les journaux comme le Monde Livres, Télérama,
l’Oeil, le Figaro Littéraire, les quotidiens régionaux attirent
aussi les lecteurs.
Sa préférence de lecture va aux livres de SF américains, au club des 5,
mais aussi Poe, Maupassant, Orwell.
C’est un homme heureux, qui nous recommande :
pour l’instant
Marc Graciano | Au pays de la fille électrique
Éditions Corti, Parution 28 août 2016
« Continuer », de Laurent Mauvignier,
roman galopant de la rentrée littéraire 2016
Repose-toi sur moi de Serge Joncour.
les éditions Flammarion.
Station eleven | Emily ST. JOHN MANDEL
Traduit de l’anglais (canada) par Gerard DE CHERGE
Maison Engelmann
8b rue du Moulin
68 100 Mulhouse
Tél. 03 89 36 80 00
lundi de 11h à 19h
du mardi au vendredi
de 9h30 à 19h30
samedi de 9h à 19h
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Galerie Jean-François Kaiser
prix ST’ART 2016
01 novembre 2016 : « Die Kerze »
04 novembre 2016 : Talents contemporains 2014
06 novembre 2016 : Carl Andre : Sculpture as place, 1958-2010
10 novembre 2016 : Machines musicales / Musique machinale
12 novembre 2016 : « Still-Leben » dans le cadre de La Regionale 17
13 novembre 2016 : ST-ART 2016
15 novembre 2016 : Joëlle Tuerlinckx Nothing for Eternity
18 novembre 2016 : TGV contre X
22 novembre 2016 : « Kunihiko Moriguchi – Vers un ordre caché »
26 novembre 2016 : ST’ART 21 e 2016
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Curieuse Journée que ce lundi 17 octobre, pluie sur les vitres
du TGV alors que la météo annonçait du beau temps.
J’avais hésité, ayant mal au dos, annuler le voyage ?
Mais la perspective des 2 expositions :
Carl Andre au musée d’art moderne de la ville de Paris,
et La Porte de l’Enfer selon Rodin, au musée Rodin, m’a incitée à
le maintenir.
J’avais commandé un IDCAB puisque la SNCF m’offrait
généreusement 8 € sur le prix de la course.
Commandée la veille, afin de ne pas avoir à escalader
les marches du métro, cela me permettrait d’arriver à l’heure
à la rencontre de presse.
15 € – les 8 € offerts, pour 7 € j’épargnais mon dos.
Arrivée en gare de Lyon, mon chauffeur annoncé par
la compagnie IDCAC par SMS, devait m’attendre en tête
de train avec un carton à mon nom.
Point de carton à mon nom à l’horizon. Je reste seule
après le passage de tous les voyageurs.
J’appelle le n° indiqué par SMS.
Réponse du chauffeur : vous avez indiqué 10 h 45,
(forcément, il n’y avait pas de case pour 10 h 37) Il était 10 h 50 …J’avais laissé un peu de marge, car la descente du TGV
est toujours encombrée par les passagers, les valises.
Il me dit qu’il va arriver. En fait il n’est pas en tête de train,
il est carrément à l’opposé, dans le hall 2, il est 11 h.
Il me tend la main ! Puis il me dit que je n’ai pas indiqué
la destination.
Je lui précise : le musée d’art moderne de la ville de Paris.
lui : où est-ce ?
moi : Boulevard du Président Wilson, à côté du
Palais de Tokyo
Arrivés dans la voiture, il démarre, puis il me dit :
comme vous n’avez pas indiqué de destination vous aurez
à payer un supplément,
puis me demande combien j’ai payé pour la course,
car j’aurai à payer la différence …
Je réponds : ça ne va pas, si j’avais su j’aurais pris un vrai taxi.
Il m’a prise pour une touriste, provinciale de surcroit.
Arrivés devant le Palais de Tokyo je lui dis que c’est là, il fait le tour,
me dépose, et me jette un regard bizarre, sans me réclamer de l’argent.
Le soir à 19 h 23 je reprends le TGV, étant donné que le lendemain
je pensais me rendre à la rencontre de presse du musée Tinguely
à 10 h 30, pour les machines musicales.
A 20 h 15 le train s’arrête, une 1ere annonce :
accident de personne.
1 h après nouvelle annonce (2°) la police cherche le corps
pour déterminer s’il s’agit d’une personne ou d’un animal.
Etant donné la vitesse du TGV, la nuit, il est difficile de retrouver
les morceaux éparpillés.
Puis une annonce (3°) précise qu’il s’agit d’une personne.
A 11 h le contrôleur dit qu’il n’y a pas de nouvelles, mais dès qu’il
en aura il nous en fera part.
Je contacte ma moitié par téléphone qui consulte le site
de la SNCF, mis à jour enfin, qui annonce 2 h 30 de retard.
Mon téléphone est vide, j’avais oublié le cordon du chargeur,
un voyageur me prête le sien.
Puis une 4°annonce précise, que les pompes funèbres arrivent
pour enlever le corps.
Le train est un moyen de transport fiable et sûr, sauf s’il entre
en collision avec un désespéré.
Malheureux du lundi, qui n’avait plus le courage d’affronter
la semaine à venir.
D’après la presse ce sont 12 000 voyageurs qui ont été
immobilisés par une seule personne.
Devant la tragédie les passagers ont été admirables de patience,
la voiture bar a été assiégée, le personnel débordé,
les provisions vidées.
23 h 30 les passagers marchent de long en large, la patience
a des limites, les inquiétudes sur la suite du parcours
et le programme du lendemain.
Une 5° annonce précise que nous serons ravitaillés à Dijon
et que le billet sera remboursé.
A Dijon nous somme ravitaillés par un colis, les correspondances
sont annoncées, car le trafic est terriblement perturbé.
Ensuite à Besançon même topo, annonce de remboursement,
de mises à disposition de taxis.
A Belfort, annonce de mise à disposition de bus, car la gare
TGV est excentrée par rapport à la ville,
annonce de remboursement, et rappel de ne pas oublier de récupérer
l’enveloppe remise à la sortie du train.
Mulhouse, 4 h 50 de retard, pas d’annonce.
L’employé qui est à la descente du train, nous apprend que
nous ne serons pas remboursés, car la SNCF ne rembourse
pas en cas d’accident de personne.
Nous commençons à protester, et à lui dire que cela a été annoncé
dans toutes les gares et que nous exigeons les enveloppes.
Il nous envoie sur le quai n°1 chez le chef, qui lui
est bien au courant :
C’est un cas exceptionnel et il nous remet l’enveloppe.
Je suis enfin chez moi à 4 h 20 du matin.
Lorsque j’essaie le surlendemain de faire ma demande de
remboursement, en suivant les indications
de la SNCF pour un E-billet, la case à cocher, n’est pas
atteignable. Un bug ?
Je tente ma chance le 5 novembre, enfin cela fonctionne.
Je suis averti le 10 novembre que ma demande de remboursement
est acceptée. Je suis remboursée le 11 novembre.
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Voici ce que me rappelle une de mes nièces :
je n’ai fait qu’un voyage avec toi, il y a très longtemps,
nous étions toutes jeunes et belles !
Mais déjà à l’époque c’était toute une aventure !
Nous nous rendions à St Tropez camper sur la plage
Liberty Plage chez Birzon. Nous étions avec 2 amis, un garçon
une fille, dans une autre voiture.
Le 1er jour nous avons perdu cette voiture sur la Nationale 7,
qui transportait la tente commune, et ce sont eux qui avaient l’adresse
du camping où nous devions aller !
Nous ne connaissions pas leur n° d’immatriculation.
Ma voiture une Ford Anglia blanche, était capricieuse et ne
démarrait que quand elle le voulait bien.
Elle avait quelquefois besoin d’une poussette.
Arrivées à notre destination, nous avons cherché et
trouvé une chambre à louer dans les environs de Saint Tropez
en pleine saison !
C’était une location chez des particuliers,
la gente masculine avait l’air ravi de nous héberger,
les dames nettement moins.
Le budget n’étant pas énorme, nous avons fait du stop
pour essayer de retrouver nos amis sur le port
Nous les avons retrouvés le soir même, car tout le
monde se promenait sur le port.
L’homme du groupe nous a accompagné à notre hébergement provisoire
pour récupérer nos affaires, et a fait en sorte que les logeurs
nous laissent partir sans avoir à payer cette option.
Tout est rentré dans l’ordre ….
Sauf que le garçon en question mangeait tous les midis
un steack accompagné d’ une bouteille de vin.
Alors que nous nous contentions de melons par goût
et par économie.
Lorsque l’hôte présenta l’addition, le garçon voulait partager
en 4, mais nous avons protesté, il a du payer sa large
part. Il a aussi profité d’avoir 3 jeunes filles avec lui
pour les draguer, l’une à l’insu de l’autre….
Un vrai personnage de confiance.
Si nous avons pu camper sur la plage de Pampelonne,
la condition était de prendre les repas dans
le restaurant de plage. Si vous y allez maintenant cela n’a plus rien à voir
avec le tas de planches de l’époque.
Les naturistes étaient une minorité, les textiles
la majorité. Tendance qui s’est inversée les années suivantes.
Ensuite il y a une panne de voiture, (ma superbe Ford Anglia)
à Fréjus je crois ! Le moteur chauffait à cause de la grande chaleur.
Nous devions attendre que la voiture refroidisse.
Nous promenant à St Tropez le soir, naïvement j’avais laissé,
mon sac à main dans la voiture. En repartant nous avons constaté que la portière était ouverte. Des jeunes gens fort aimables nous ont aidé à démarrer…
On nous avait volé mon sac avec un peu d’argent !
Heureusement que j’avais des chèques de voyage laissés dans une cachette
au camping.
Quelques mois après la mairie de Fréjus m’a fait prévenir que mon sac a été retrouvé dans la forêt de Ramatuelle, avec mon passeport.
C’est là que ma mère s’est indignée :
Que faisais-tu dans cette forêt !!!!
Ma nièce :
A l’époque pas de téléphone tout se faisait par courrier incroyable !
En vidant la maison des parents, j’ai retrouvé une carte que j’avais
envoyé à maman pour sa fête, elle est en liège !
Tu vois je n’ai pas oublié comme dirait la chanson
Nous sommes tout de même rentrées bronzées à faire pâlir les
mulhousiennes avec des minijupes de chez « Chose »,
Ce qui n’était pas courant ici
à l’échelle de l’époque une aventure !!!
17 et 24 ans
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au musée Louisiana de Copenhague
06 septembre 2016 : Kandinsky, Marc & Der Blaue Reiter
08 septembre 2016 : Nicolas Darrot, Règne analogue
10 septembre 2016 : Basquiat, Dubuffet, Soulages… Une collection privée
12 septembre 2016 : Eugen Gabritschevsky
18 septembre 2016 : Les voyages forment la jeunesse
23 septembre 2016 : « Lux Umbrae » d’Alberto Mecarelli
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Le 30 août c’était la journée mondiale du blog
Que dire ? Bonne continuation à tous les blogueurs.
Rien ne peut plus échapper à la mondialisation,
mais en réalité est-ce une valeur ajoutée ?
Mon blog fait partie des 6000 blogs publiés, du journal le Monde.
Il existe depuis février 2006.
Mes débuts dans cet « art » minimaliste ont commencé
en tenant le clavier du blog d’une association, 2 ans auparavant
Autant dire que je suis une blogueuse au long cours.
Mes lecteurs viennent des quatre coins du globe, cela est
plaisant et surprenant, très souvent cela concerne des
publications anciennes, au hasard de leurs recherches.
Si vous souhaitez en savoir plus sur moi il vous faut
cliquer ici
Je remercie tous mes lecteurs fidèles et occasionnels,
silencieux ou actifs, ceux qui écrivent des commentaires
ou qui m’envoient des mails, ils sont toujours les bienvenus
ladilettante@evhr.net
01 août 2016 : La saga des Maya
12 août 2016 :Les Anges de Paul Klee
19 août 2016 : BPM – Biennale de la Photographie de Mulhouse
21 août 2016 : Un choix d’oeuvres chinoises à la Fondation Vuitton
29 août 2016 : Les Fleurs du mal de Baudelaire
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C’était the place to be 💡
Un ou une, après midi, mot invariable, aussi j’opte pour le féminin,
féminine comme l’est Yoyo Maeght.
Femme généreuse, sensible, intelligente et enthousiaste,
elle nous a conté son enfance atypique, parmi
les artistes, en nous permettant de partager ses souvenirs, d’où jaillissent
des noms magiques, adorée par des grands’parents, qu’elle vénère.
Elle nous a communiqué son admiration, pour son « papy chéri »
dont elle était la petite fille préférée, qui lui a transmis sa passion pour l’art
et les artistes, avec un bonheur et une joie de vivre toujours intact.
Comment ne pas l’envier quand on sait que son quotidien était Miro, Matisse,
Braque, Calder, Giacometti, Malraux, Prévert, qu’elle a pianoté avec Duke Ellington,
qu’elle s’est baigné avec Yves Montant. Son grand’père Aimé Maeght
a permis aux petites filles d’inaugurer la Fondation Maeght en présence
d’André Malraux.
Elle nous a fait partager une branche de l’histoire de l’art qui s’est écrite
avec la création de la Fondation Maegth, sa construction par Josep Lluís Sert,
dans un esprit avant-gardiste de l’époque soucieuse du respect de l’environnement,
Aucun arbre n’a été abattu, les murs les ont simplement contournés.
Elle évoque ses conversations avec les artistes, son tonton Miro, qui reste pour
elle, un phare dans son existence, l’élégance d’Aimé Maeght, son entousiame
à aller toujours de l’avant, tempéré par le bon sens de la provençale Marguerite.
L’amour de ses grand’parents, qui a uni ce couple aventureux dans le domaine de l’art.
Je vous invite à lire la Saga Maeght où elle conte merveilleusement toute l’aventure,
de la naissance du jeune orphelin, au mariage, à la création du premier magasin
à Cannes, éditeur, à la galerie parisienne, encouragée et soutenu financièrement par
Pierre Bonnard, pour aboutir à la création de la Fondation avec les amis artistes
des Maeght. Elle y exprime son admiration et rend hommage à son grand’père.
Elle raconte comment l’alchimie a fonctionné entre eux, comme dans une ruche, où l’esprit ouvert d’Aimé Maeght attirait et permettait aux artistes qui lui faisaient confiance de s’épanouir et d’acquérir une notoriété.
Ceci c’est passé au Séchoir, situé dans l’ancienne tuilerie de la famille LESAGE (groupe TOL et RECTOR),
LE SECHOIR prend la suite de l’ancienne Maison de la Céramique, centre de formation et d’exposition autour de la Céramique contemporaine qui a fermé ses portes en 2002. Autour d’une surface de 300m2 d’exposition prennent place des ateliers d’artistes.
C’est un espace de création et d’échange entre des artistes résidents, des artistes associés, des artistes invités, les habitants de l’agglomération mulhousienne (et au-delà) et le tissu économique et social de Haute-Alsace
Sandrine Stahl, est la Présidente de l’association Le Séchoir.
N’hésitez pas à pousser la porte et de consulter leur programme
Mais aussi à pousser votre route jusqu’à la Fondation Maeght à St Paul de Vence
(avec Easyjet, Bâle/Mulhouse – Nice, il suffit de traverser le boulevard depuis le terminal, en passant sous le pont, de prendre le bus n°400 de la compagnie de transport
de la Côte d’Azur, qui vous transporte pour un prix modique et vous dépose presque devant la Fondation, encore une montée d’un quart d’heure, eh oui la Fondation se mérite, et c’est l’Arcadie)
Il s’en est suivi un enregistrement d’interview avec Yoyo Maeght dans le
studio de Radio Eponyme , plutôt une conversation,
que vous pourrez écouter et podcaster dès sa diffusion
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L’édition 2015 de Baselworld, événement incontournable qui réunit sous le même toit les acteurs les plus influents de l’industrie de l’horlogerie et de la bijouterie venus du monde entier, a été inaugurée par le conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann. Avec plus de 1 500 marques représentant chacun des secteurs de l’industrie et plus de 4000 journalistes venus de tous les continents, Baselworld 2015 se déroule du 19 au 26 mars 2015.
BaselWorld est un hyper marché de luxe, composé de boutiques éphémères.
Tout est luxe, calme avant l’arrivée des visiteurs, volupté pour ceux qui
sont sensibles à ces charmes. Une Babel du 21e siècle, réunissant les exposants,
journalistes et plus tard visiteurs de la planète entière.
Quelques 7000 camions, ont acheminé le matériel, pour leur édification de boutiques éphémères.
Baselworld est reconnu universellement comme
« LE rendez-vous incontournable de l’industrie de l’horlogerie et de la bijouterie ».
Baselworld se distingue par sa capacité à réunir sous le même toit tous les acteurs clés de la branche : horlogers, bijoutiers, négociants en diamants, pierres précieuses et perles, sans oublier les fournisseurs de machines et branches annexes.
Chaque année, 150 000 professionnels viennent à Bâle prendre le pouls de toute une industrie, découvrir les nouvelles tendances et acheter les dernières créations des 1500 marques présentes. Baselworld est au cœur de toute une industrie qui se diffuse dans le monde entier, il renforce année après année sa place de leader mondial. Cette position enviée et enviable est défendue sans relâche, au fil du temps.
C’est pourquoi Baselworld évolue tous les ans, gagne en confort et en efficacité, et ne cesse d’innover pour répondre à des exigences en constante mutation.
Selon Mme Sylvie Ritter, Directrice générale de Baselworld
« l’attractivité et l’engouement que suscite cette branche d’activité continuent de croître » et tout aussi important « l’attrait des clients finaux et l’intérêt des médias pour la branche ne se dément pas. »
Le conseiller fédéral M. Schneider-Ammann a inauguré Baselworld,
M. Kamm a souligné l’importance accordée par le gouvernement suisse à cet événement majeur ainsi qu’à l’industrie de l’horlogerie et de la bijouterie. Il a admis que Baselworld avait connu des inaugurations dans un contexte plus favorable et optimiste,
« mais fort heureusement, le secteur de l’horlogerie et de la bijouterie n’a jamais été à court d’idées innovatrices, et c’est une bonne nouvelle ! »
M. Kamm a également rendu hommage à une légende de l’industrie :
M. Jacques J. Duchêne, Président du Comité des exposants, décédé subitement juste avant l’ouverture du salon. M. Kamm a souligné les qualités de M. Duchêne, rappelant que, grâce à son
« engagement infatigable » au service de Baselworld, il a « énormément contribué au développement du salon et à élever cet événement à un tel niveau d’excellence. ».
M. Duchêne aurait célébré cette année un double anniversaire : d’une part, sa 60e participation à Baselworld et d’autre part son 20e anniversaire en qualité de Président du Comité des exposants.
Christoph Brutschin, conseiller d’Etat du canton de Bâle-Ville, a accueilli les hôtes, les saluant au nom des gouvernements de Bâle-Campagne et de Bâle-Ville. Il a comparé l’événement à une montre. Baselworld est
« similaire à la fabrication d’un mécanisme d’horlogerie, son organisation implique des efforts, une grande passion, ainsi qu’un haut niveau de précision.»
Il a poursuivi en termes horlogers : M. Brutschin a félicité Baselworld pour son rayonnement économique dans la région. Il a fait référence notamment aux milliers de personnes qui visitent la ville durant 8 jours et a mentionné que Baselworld génère 13 000 emplois localement.
M. Brutschin a conclu son discours par une citation de M. Duchêne : « La capacité créative de ce secteur est indéniable. Il suffit d’ouvrir les yeux pour le constater chaque année. »
Ces mots ont réconforté M. Brutschin et renforcé sa conviction que
« le secteur de l’industrie horlogère surmonterait la crise actuelle liée au franc grâce à sa créativité, son innovation et l’excellence de sa qualité suisse».
BASELWORLD JOUE UN RÔLE ESSENTIEL EN FAISANT RAYONNER UNE INDUSTRIE VITALE POUR LA SUISSE
Le conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann a fait l’éloge de l’horlogerie comme un art, et l’a décrit ainsi : « Avec l’invention de la montre mécanique, le temps est littéralement devenu un art. Une expertise qui a atteint des performances toujours plus élevées en termes de précision, d’ingéniosité technologique et d’esthétique en constante évolution. »
En qualité de conseiller fédéral responsable de la recherche, de l’innovation et du travail, M. Schneider-Ammann a souligné l’importance pour la Suisse d’un secteur devenu une force économique de premier ordre, qui se prévaut de plus de 500 sociétés employant plus de 50 000 personnes.
« Je suis bien entendu fier que la Suisse soit l’un des centres les plus importants du savoir-faire horloger et que Baselworld célèbre cet art avec solennité méritée».
Les jeunes hôtesses, mannequin sont à leur poste, parées comme des reines, juchées sur
des talons, pour compléter l’écrin des boutiques avec leur charme et fraicheur.
Messe Platz
depuis la gare prendre le tram n°2
arrêt Messe Platz
Photos de l’auteur sauf la 4
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