Joyeux Noël à tous mes lecteurs
Partager la publication "Noël 2016"
Bienvenue, au gré de mon humeur, de mes découvertes
Joyeux Noël à tous mes lecteurs
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Le musée Marmottan Monet présente jusqu’au
22 janvier 2017
C’est à Philippe Dagen, critique et historien d’art,
journaliste au Monde, que l’on doit l’exposition éblouissante
qui réunit trois stars à la recherche de l’impossible
représentation, du soleil, de l’eau, de la neige et de leur
effet.
« J’ai repris encore des choses impossibles à faire : de l’eau
avec de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable
à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça »
Claude Monet
Pourquoi réunir le temps d’une exposition
Ferdinand Hodler, Claude Monet et Edvard Munch ?
Un Français né en 1840 et mort en 1926, un Suisse né en 1853
et mort en 1918 et un Norvégien né en 1863 et mort en 1944 :
la composition du trio peut paraître étrange. Ils ne se sont
même pas rencontrés, et, s’il ne fait aucun doute qu’Hodler
et Munch ont souvent regardé Monet, la réciproque n’est
pas démontrée.
Circonstance aggravante : l’histoire de l’art a pris l’habitude de
les classer dans des catégories différentes, impressionnisme,
postimpressionnisme ou symbolisme.
Or c’est ce classement que le commissaire propose de
remettre en cause en montrant que leurs
oeuvres ont bien plus à se dire entre elles qu’on ne le croirait.
Une évidence historique d’abord : ces peintres sont des
contemporains, bien qu’ils appartiennent à des générations
différentes. Ils vivent dans le même monde en cours de mutation,
l’Europe d’avant et d’après la Première Guerre Mondiale.
Ils en éprouvent les mutations techniques, politiques
et sociales. Celles-ci affectent leur mode de vie et leurs pratiques
artistiques. Ainsi tous trois sont-ils des voyageurs et découvrent
des lieux et des motifs auxquels, un demi-siècle plus
tôt, ils n’auraient pu accéder.
Monet se rend en Norvège, Hodler monte jusqu’aux glaciers
alpins, Munch va et vient du nord au sud de l’Europe.
Ainsi sont-ils aussi les contemporains du développement
accéléré des sciences physiques et naturelles qui procèdent
par expérimentations et séries – modèles que tous trois,
à des degrés divers, introduisent dans leur processus créatif.
Ces expérimentations, ces séries, c’est-à-dire une conception
méthodique, tous trois la mettent en oeuvre pour affronter
les difficultés de la représentation de motifs qui, en raison
même de leurs particularités, deviennent pour eux des obsessions.
« J’ai repris encore des choses impossibles à faire : de l’eau avec
de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable à voir,
mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça. »
Ces mots sont de Monet, mais ils pourraient être ceux du peintre
qui, jusqu’à sa mort, s’obstine à étudier l’horizon des Alpes
depuis sa fenêtre, de l’aube au crépuscule
– Hodler. Ou de celui qui, insatisfait, revient jusqu’à la dépression
sur les mêmes motifs, une maison rouge, des marins dans la neige,
le couchant regardé en face, la nuit boréale – Munch.
Comment peindre de face l’éclat éblouissant du soleil,
avec de simples couleurs à l’huile sur une
simple toile ? Comment peindre la neige dont l’éclat et la blancheur ne cessent
de varier à la moindre nuance de la lumière ? Comment suggérer
les mouvements et variations de la lumière sur l’eau,
malgré l’immobilité de la peinture ?
Tous trois mettent ainsi la peinture à l’épreuve de l’impossible.
L’exposition les suit pas à pas dans ces recherches en comparant
sans cesse leurs tentatives, en organisant des confrontations
visuelles entre les trois artistes dans un espace repensé pour
l’occasion afin d’accueillir une vingtaine d’oeuvre de chacun.
Les sujets, c’est-à-dire les problèmes
: haute montagne, soleil, neige, eau vive.
Le parcours les réunit une dernière fois sous le signe de la couleur
dégagée du devoir d’imitation, jusqu’à leurs oeuvres ultimes,
elliptiques et libres – si libres qu’elles n’ont guère été comprises
de leurs contemporains.
Podcast les regardeurs sur France culture
Grâce à un partenariat exceptionnel entre le Munchmuseet d’Oslo et
le musée Marmottan Monet, elle présente
des oeuvres du peintre norvégien qui, pour certaines, n’ont jamais
été vues à Paris. La générosité de plusieurs collections privées suisses
permet d’y réunir un ensemble Hodler non
moins exceptionnel, que ce soit par sa qualité ou sa rareté.
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Dernière entrée : 17h30
Nocturne le jeudi jusqu’à 21 h
Dernière entrée : 20h30
Partager la publication "Hodler Monet Munch – Peindre l’impossible"
Jusqu’au 9 janvier 2017 au Grand Palais
Galerie sud-est
Il y a plus d’un an, à la suite des terribles destructions
subies par la ville de Palmyre, le Président de la République
François Hollande a souhaité que la France prenne une part
active dans la préservation du patrimoine en danger.
C’est à son initiative que j’ai rassemblé, en tant que
Président-directeur du musée du Louvre, cinquante
propositions sur cette question, après avoir pendant plusieurs
mois écouté et consulté les experts mais aussi
visité certains de ces lieux martyrs.
Jean-Luc Martinez
La Rmn-Grand Palais et le musée du Louvre se sont
mobilisés pour présenter, sous le haut patronage
de l’UNESCO, une exposition gratuite permettant de
découvrir ou redécouvrir les splendeurs de grands
sites archéologiques aujourd’hui dans des zones à risque,
Bâmiyân, Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades
de Damas et le Krak des Chevaliers, sites du patrimoine
universel particulièrement menacés par les conflits en
Afghanistan et au Moyen Orient.
Arche, reconstruction 3D
image 3D
© Iconem, DGAM
Cette exposition a pour ambition de sensibiliser
le grand public à la notion de patrimoine en danger par
l’évocation de sites emblématiques.
Selon UNESCO, pour la seule Syrie, les six sites du patrimoine
mondial ainsi que d’innombrables autres sites culturels
et archéologiques ont été endommagés ou pillés, voire détruits
à différents degrés.
L’exposition se veut immersive en plongeant le visiteur
au coeur de ces sites grâce à une projection d’images(voir ici)
des lieux à 360° dans l’espace d’exposition. L’émergence de nouvelles
techniques de prises de vue par drônes et de reconstitutions
numériques ont permis en effet d’avoir un relevé de l’état actuel
de ces sites devenus inaccessibles car situés en zone de conflit.
Aux images filmées sont intégrées de façon dynamique
des documents d’archives, dessins, gravures, photographies
anciennes, donnant la mesure de l’évolution des différents sites
à travers le temps.
Après un espace introductif qui apporte un éclairage sur la
problématique du patrimoine en danger, l’exposition s’organise
en deux sections, le
Site Universel et le Laboratoire des images :
– dans le Site Universel, sont projetés quatre films
sur quatre sites archéologiques majeurs, dans un
vaste panorama à 360°, permettant une expérience immersive
inédite du visiteur. Chaque film apporte un éclairage particulier
sur la destruction, la conservation, la restauration de ce patrimoine
en danger : le pillage des antiquités et le trafic illicite pour
Khorsabad, la reconstruction et ses enjeux pour Palmyre,
la (re)découverte archéologique pour la mosquée des Omeyyades,
enfin la conservation et la valorisation des ruines pour
le Krak des chevaliers. Les quatre sites sont chacun évoqués
par une oeuvre emblématique du musée du Louvre.
– Le Laboratoire des images dédié notamment
aux techniques de relevés utilisées par les archéologues
et leur évolution à travers les âges, est organisé comme un
cabinet de curiosité dans lequel sont présentés, pour chaque site,
les différents outils qui ont permis de rendre compte de
leurs connaissances : d’abord
gravures, peintures, aquarelles, plans, puis photographies
et plus récemment images numériques et drones
pour proposer des reconstitutions scientifiques.
Les images rapportées par les touristes qui ont pu visiter
ces lieux avant leur altération récente et avant qu’ils ne
soient rendus inaccessibles par les conflits sont aujourd’hui
des supports précieux.
La parole est également donnée à des citoyens des pays
touchés notamment syriens et irakiens, archéologues
ou profanes, à travers différents témoignages.
Pour la première fois, une reconstitution 3D dynamique,
en réalité augmentée, est présentée. Les visiteurs
peuvent suivre sur tablette la reproduction interactive et en
volume de Palmyre, et notamment observer la destruction
de son arche pièce par pièce et sa reconstruction simulée.
Les quatre sites présentés dans l’espace universel
sont importants pour quatre civilisations différentes :
Khorsabad, ville de la Haute-Antiquité fondée par le roi Sargon II
(713-706 av. J.-C.) dans la province de Ninive, fût l’une des
capitales du grand empire néo-assyrien qui réussit à dominer
la plus grande partie du Proche-Orient dans la première moitié
du Ier millénaire avant notre ère ;
Palmyre, au coeur du désert, à michemin
entre la côte méditerranéenne et l’Euphrate, ancien relais caravanier
dont on retient la splendeur à l’époque romaine mais
dont l’existence remonte au IIe millénaire
avant notre ère ;
la Grande Mosquée, édifiée au coeur de Damas par
la dynasties des Omeyyades (661-750), est l’un des plus anciens
chefs-d’oeuvre de l’architecture islamique ;
le Krak des Chevaliers, château fort datant de l’époque des croisades,
situé dans l’ouest de la Syrie, est l’un des châteaux croisés les plus
prestigieux et les mieux conservés.
L’exposition se poursuit en ligne sur le site
du ministère Culture e de la communication
Le musée du Louvre-Lens présente du 2 novembre 2016
au 23 janvier 2017 une exposition consacrée à la Mésopotamie,
située pour l’essentiel en Irak actuel, berceau de l’économie
moderne et de l’écriture,
commissariat général : Jean-Luc Martinez,
président-directeur du musée du Louvre
commissaires : Yannick Lintz, directrice du Département
des Arts de l’Islam du musée du Louvre ;
Marielle Pic, directrice du Département des Antiquités
orientales du musée du Louvre
scénographie : Sylvain Roca et Nicolas Groult
réalisateur : Olivier Brunet
documentation scientifique : Thomas Sagory,
chef du service du développement numérique du Musée
d’Archéologie nationale – Domaine national de
Saint-Germain-en-Laye et responsable de la collection
Grands sites archéologiques
Partager la publication "Sites éternels, De Bâmiyân à Palmyre"
Le Petit Palais présente la première grande exposition
française consacrée au célèbre écrivain Oscar Wilde
(né en 1854 à Dublin – mort en 1900 à Paris)
et ceci jusqu’au 15 janvier 2017
le Petit Palais retrace la vie et l’oeuvre de ce parfait francophone
et ardent francophile à travers un ensemble de plus
de 200 pièces rassemblant documents exceptionnels,
inédits pour certains, manuscrits, photographies, dessins,
caricatures, effets personnels, et tableaux empruntés
en Irlande et en Angleterre bien sûr, dans les musées français
(musée d’Orsay, BnF…) mais aussi aux Etats-Unis, au Canada,
en Italie et dans différentes collections privées étrangères.
Il était donc bien naturel pour Paris d’accueillir une exposition
célébrant Oscar Wilde tant ce dernier tissa des liens multiples
et féconds avec de nombreux représentants de la scène artistique
et du milieu intellectuel parisien à la fin du XIXe.
En effet, Wilde fit de nombreux séjours à Paris entre 1883 et 1894
et se lia d’amitié avec divers écrivains, tels André Gide
et Pierre Louÿs.
Il fréquenta Mallarmé, Verlaine et même Victor Hugo.
Wilde écrivit directement en français sa pièce de théâtre Salomé
dont il destinait le rôle-titre à Sarah Bernhardt.
Et c’est enfin à Paris, qu’en 1900, il mourut dans le dénuement
et la misère après sa condamnation en incarcération en 1895
à Londres pour homosexualité.
Son tombeau, surmonté d’une sculpture de Jacob Epstein,
est situé au cimetière du Père Lachaise.
La partie biographique de l’exposition présente un caractère inédit
en réunissant plusieurs portraits jamais vus ensemble jusqu’ici,
notamment celui peint par Harper Pennington (UCLA,
William Andrews Clark Memorial Library, Los Angeles).
De même, la présentation conjointe de 13 tirages photographiques
originaux de portraits réalisés par Napoleon Sarony,
pendant la tournée américaine de Wilde, sera une première.
Mais on retrouve aussi des portraits célèbres ou inattendus
comme celui peint par Toulouse-Lautrec qui a représenté
Wilde de dos sur le décor de la baraque de la Goulue,
au premier plan à gauche de La Danse mauresque
(musée d’Orsay).
Divers portraits de parents, d’amis et de familiers (sa femme Constance,
Lord Alfred Douglas…) permettent d’évoquer sa vie personnelle,
complétés par quelques memorabilia et plusieurs dessins
et aquarelles, paysages et portraits réalisés par Oscar Wilde
lui-même.L’exposition comporte bien sûr les manuscrits des oeuvres
les plus importantes de l’écrivain ainsi que des exemplaires
de ses livres dédicacés à des auteurs français et diverses
correspondances.L’accent est mis notamment sur Salomé, publié en français
en 1893 et ses fameuses illustrations par Beardsley.
Afin de donner un aspect visuel fort à l’accrochage,
l’exposition regroupe un choix de tableaux préraphaélites
montrés à la Grosvenor Gallery de Londres en 1877 et 1879
et qui suscitèrent d’abondants commentaires de Wilde,
critique d’art, où l’on retrouvera les noms de Watts, Millais, Hunt,
Crane, Tissot, Stanhope…
La carte de visite du Marquis de Queensberry, pièce à conviction A,
du procès. Le marquis est le père de Douglas, amant d’Oscar.
Pour plaire à son jeune ami il porte plainte contre le marquis,
pour diffamation, puis abandonne sa plainte, sur conseil de
son avocat, mais il est rattrapé par le procureur qui le fait condamner
à 2 ans de travaux forcés. Il sera ruiné, sa femme et ses enfants
s’exilent en Europe et changent de nom, Il sortira de prison
malade et terminera sa vie à Paris.
Alors que Wilde aurait pu partir d’Angleterre, pour
échapper aux poursuites, il décide d’affronter le procès, pensant
que sa notoriété le protègerait
Le parcours est également ponctué d’extraits de films mémorables,
d’interviews de Merlin Holland, petit-fils d’Oscar Wilde,
et de Robert Badinter, auteur de la pièce C.3.3. consacrée au procès
et à l’incarcération d’Oscar Wilde, et d’enregistrements de textes lus
par l’acteur britannique Rupert Everett.
Enfin, l’exposition est enrichie d’une application mobile, à la fois guide
de visite et catalogue numérique.
Ce guide se concentre sur 25 points d’intérêts,
avec des commentaires audio des deux commissaires et d’images
en haute définition. Le catalogue numérique quant à lui a pour objectif
de faire découvrir Wilde et son influence par différentes entrées :
une chronologie, une mappemonde, ou encore un abécédaire.
Il reprend également les interviews filmées présentées dans l’exposition.
COMMISSARIAT :
Dominique Morel : conservateur en chef au Petit Palais
Merlin Holland : conseiller scientifique
sur France culture :
en podcast en 4 épisodes
Frank Ferrand au coeur de l’histoire
un cours de la Sorbonne en 5 séances (MOOC°
Partager la publication "Oscar Wilde, l’impertinent absolu"
Si vous l’avez atteinte, c’est que votre boussole est fiable
47° Nord est un lieu de plaisir où l’on passe
des moments de bonheur intense.
Frédéric Versolato et son équipe vous accueillent dans un bel espace,
qui est un peu comme une pâtisserie, où on est tenté par un peu tout ce qui est proposé.
Après avoir fait ses gammes, d’abord comme vendeur à la Fnac de Mulhouse, puis comme directeur de celle de Mulhouse, puis de Bâle, des passages à Belfort, Colmar et Strasbourg, toujours fidèle à sa ville il a réalisé son rêve de toujours :
« Etre libraire », il ajoute : « je ne suis bon qu’à ça, à vendre des livres »
Il s’est formé sur le tas, après une longue pratique de gestion du livre
dans les différents lieux où il a oeuvré.
Sa librairie fait partie des nombreuses librairies indépendantes de France.
Il a conçu lui-même l’agencement du lieu, du mobilier en faisant appel à des artisans, l’éclairage, jusqu’aux tables à roulettes si commodes.
Grâce au CNL, il bénéficie des conseils et de financement.
Sa politique d’achat est simple, il achète ce qu’il veut vendre, ce qu’il aime,
ainsi que son équipe :
Blandine Ferté, (études de lettres) dont la spécialité est le rayon Jeunesse
et BD, BD sur Caravage, Vermeer, Joséphine Baker et peut-être bientôt
Michel Ange d’Hector Obalk
Dominique Klein spécialisée dans les Beaux Arts
Marie Simon (DUT métiers du livre) spécialisée de littérature.
Frédéric Versolato est tout « terrain » son professeur de littérature lui a communiqué sa passion.
C’est un passionné, qui aime communiquer, il est très éclectique, de la littérature il passe à la science fiction, au roman policier.
Toujours à l’écoute de ses visiteurs, il propose les marronniers ( récurrence),
les livres de cuisine, les beaux arts, la BD, la Musique, le graphisme.
Si vous ne trouvez pas votre souhait dans le rayon qu’à cela ne tienne, il est commandé et tenue rapidement à votre disposition.
Si vous avez besoin d’un conseil de lecture, il est là, car il a à sa disposition
grâce aux éditeurs, les livres 6 mois avant leur parution, ce qui lui permet d’avoir un avis sur l’objet.
Il propose aussi un système d’abonnement cadeau.
Si vous manquez d’imagination pour faire plaisir à un membre de votre
famille, à un ami, Frédéric s’occupe de faire le choix dans sa librairie,
et de tenir à la disposition de l’heureux bénéficiaire,
un cadeau joliment emballé.
Ses partenaires sont la Filature pour les expositions de photos,
si un livre d’artiste est proposé, de même qu’une bibliothèque permanente
de tous les spectacles
Il est là aux vernissages, à l’entracte avec un choix divers.
Ses partenaires locaux pour les rencontres avec les auteurs, les conférences et les signatures sont nombreux, l’Inter hôtel Salvator, la Quille (bar à vins)
l’Engels’ coffee, Tilvist (salon de thé).
Très souvent l‘espace Engelmann est trop exigu et les conférences se
tiennent à la SIM
Ses sources d’information sont diverses, les salons professionnels,
INITIAL, Acte Sud.
Les lycéens accompagnés de leurs profs lui rendent visite, pour des stages découvertes, mais aussi pour se renseigner sur la profession
de libraire. Il reçoit des stagiaires.
Les enfants et leurs parents sont invités à venir écouter les histoires
sorties du coffre de Myriam Weill qui se continuent à
l’Engels-coffee
Certaines émissions littéraires comme celle de François Busnel,
ou même généralistes comme ONPC, ont un impact direct sur la
curiosité de ses clients. Les journaux comme le Monde Livres, Télérama,
l’Oeil, le Figaro Littéraire, les quotidiens régionaux attirent
aussi les lecteurs.
Sa préférence de lecture va aux livres de SF américains, au club des 5,
mais aussi Poe, Maupassant, Orwell.
C’est un homme heureux, qui nous recommande :
pour l’instant
Marc Graciano | Au pays de la fille électrique
Éditions Corti, Parution 28 août 2016
« Continuer », de Laurent Mauvignier,
roman galopant de la rentrée littéraire 2016
Repose-toi sur moi de Serge Joncour.
les éditions Flammarion.
Station eleven | Emily ST. JOHN MANDEL
Traduit de l’anglais (canada) par Gerard DE CHERGE
Maison Engelmann
8b rue du Moulin
68 100 Mulhouse
Tél. 03 89 36 80 00
lundi de 11h à 19h
du mardi au vendredi
de 9h30 à 19h30
samedi de 9h à 19h
Partager la publication "Frederic Versolato «47° Nord», la latitude de Mulhouse"
Galerie Jean-François Kaiser
prix ST’ART 2016
01 novembre 2016 : « Die Kerze »
04 novembre 2016 : Talents contemporains 2014
06 novembre 2016 : Carl Andre : Sculpture as place, 1958-2010
10 novembre 2016 : Machines musicales / Musique machinale
12 novembre 2016 : « Still-Leben » dans le cadre de La Regionale 17
13 novembre 2016 : ST-ART 2016
15 novembre 2016 : Joëlle Tuerlinckx Nothing for Eternity
18 novembre 2016 : TGV contre X
22 novembre 2016 : « Kunihiko Moriguchi – Vers un ordre caché »
26 novembre 2016 : ST’ART 21 e 2016
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La 21e édition de ST-ART se tient à Strasbourg
jusqu’au 28 novembre
ST-ART en quelques chiffres :
1ère foire en région
100 galeries dont 40% d’exposants internationaux
500 artistes exposés de 20 nationalités
différentes
25 000 visiteurs
10 000 m2 d’exposition
Le Prix Art de la ville de Strasbourg permet de distinguer un exposant
et de soutenir, grâce à une aide à la production, l’artiste sélectionné.
Le lauréat est sélectionné par un jury d’experts, composé pour cette
1ère édition de Estelle Pietrzyk, Conservatrice au
Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg (MAMCS),
David Cascaro, Directeur de la HEAR, Haute École des Arts du Rhin
et Bernard Goy, Conseiller arts plastiques à la DRAC Alsace.
Le Lauréat Prix Art de la Ville de Strasbourg /ST-ART 2016 est :
Laurent Impeduglia / Galerie Jean-François Kaiser (Strasbourg, France)
Le choix est toujours arbitraire et subjectif.
D’entrée c’est la Fondation Maeght qui vous accueille
avec un choix d’oeuvres, fait par Olivier Kaeppelin
directeur de la Fondation, parmi ses autres attributions.
Mon coup de coeur est allé à la galerie Chantal Bamberger
qui présente des dessins d’Ernest Pignon Ernest,
Le Tao du Toreo, une succession de poèmes disent ainsi l’essence
même du toreo, avec à la suite les dessins qu’Ernest Pignon-Ernest a
consacrés à l’emblématique corrida et au maestro de Galapagar, mais surtout une
lithographie « Narcisse »
Un Coup de cœur de l’Artothèque à David Nash à la Galerie Chantal Bamberger
Une toute jeune galerie de Rixheim Anim’art qui présente des jeunes
artites comme Skunkdog
Carte blanche à Michel Nuridsany avec l’oeuvre d’ Anne Ferrer et le compositeur John Nichols
Radial Art Contemporain avec Frédéric Croizer occupe une grande
surface de sculptures, une installation – performance
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L’exposition « Kunihiko Moriguchi – Vers un ordre caché »
réunit pour la première fois en France un ensemble exceptionnel
de 26 kimonos constituant autant de pièces uniques,
de 11 peintures et de créations dans les domaines du design
et des arts appliqués.
L’EXPOSITION
L’exposition de la Maison de la culture du Japon à Paris est un condensé de
50 ans de création. Kunihiko Moriguchi a en effet sélectionné près
d’une trentaine de ses kimonos, du premier réalisé en 1966 à celui
spécialement conçu pour cette rétrospective.
Subtiles et rigoureuses, ses oeuvres sur papier japonais réalisées dans la même
technique du yûzen témoignent elles aussi de la recherche d’une certaine
perfection.
Enfin, ses collaborations avec les grands magasins Mitsukoshi et la
Manufacture nationale de Sèvres montrent qu’il a brillamment
réussi à appliquer ses recherches graphiques à des supports incarnant
la vie quotidienne, sacs de course ou tasse à café.
Kunihiko Moriguchi nous invite à rechercher un « ordre caché »
dans la structure géométrique de ces oeuvres intimement inspirées
de la nature et des cycles temporels.
L’ARTISTE
Elevé au rang de « Trésor national vivant », Kunihiko Moriguchi
perpétue la tradition de teinture de tissus appelée yûzen qu’il a
profondément renouvelée. Ses kimonos en soie, novateurs sont ornés de
motifs souvent géométriques. Ils sont le produit de sa connaissance
des arts graphiques européens qu’il a étudiés à Paris et de son
apprentissage dans l’atelier de son père, Kakô Moriguchi,
lui-même éminent maître du yûzen (Trésor national vivant en 1967).
Kunihiko Moriguchi, né en 1941, étudie la peinture de
« style japonais » (nihonga) à l’université des Arts de Kyoto.
« par rejet du Pop art américain » précise-t-il – et rejoint la France
en qualité de boursier du gouvernement français (1963),
à l’âge de 22 ans et devient un élève brillant de l’Ecole nationale
des arts décoratifs. Il se lie d’amitié avec le
critique Gaëtan Picon et le peintre Balthus qui l’invite
à la Villa Médicis. Ce dernier le persuade de se consacrer à l’art
du yûzen, technique tricentenaire réservée aux kimonos d’apparat,
dont le père de Kunihiko est un illustre représentant.
Peu après son retour à Kyoto en 1966, Moriguchi entre dans l’atelier
de son père mais affirme bientôt un style très personnel,
géométrique et abstrait, en respectant les processus techniques
traditionnels sans jamais perdre de vue qu’il s’agit de vêtir
un corps de femme, sa sensualité. Très vite, ses kimonos
connaissent le succès, sont acquis par les plus hautes personnalités
et les musées de son pays comme à l’étranger
(Victoria and Albert Museum à Londres, Metropolitan Museum of
Art à New York, LACMA à Los Angeles).
L’élaboration de ses kimonos peut prendre jusqu’à 10 ans.
Ils portent des noms poétiques, de lumières, d’eau, comme Aube,
Torrent, Sables en mouvement, Croisillons etc …
Une présentation judicieusement éclairée, met bien en valeur
la préciosité et la minutie des kimonos.
Projection du documentaire de Marc Petitjean « Trésor vivant »
(2012, Mirage illimité)
Jeudi 1er décembre à 18h30 / En présence de l’artiste et
du réalisateur
Petite salle / Entrée libre / www.marcpetitjean.fr/films/tresor-vivant/
MAISON DE LA CULTURE
DU JAPON À PARIS
101bis, quai Branly
75015 Paris
Tél. 01 44 37 95 00 / 01
www.mcjp.
se termine le 17 décembre
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Joëlle Tuerlinckx Nothing for Eternity
Jusqu’au 26 janvier 2017, au Kunstmuseum Basel | Gegenwart
Commissaire : Søren Grammel
Le Kunstmuseum Basel | Gegenwart présente une exposition
monographique de Joëlle Tuerlinckx. Née en 1958 à Bruxelles,
l’artiste a étudié en détail le musée et son ancrage à Bâle
pour concevoir cette exposition.
L’ensemble du rez-de-chaussée du musée présente
les nombreuses oeuvres qui ont vu le jour durant ce processus.
Parmi celles-ci figure une série d’assemblages circulaires créés
à partir de divers matériaux – papier, tissu, plastique, peinture
et plexiglas – disposés tels des disques sur le sol.
Ses motifs s’inspirent de notes et de pièces prélevées dans
le quotidien, à l’instar d’un banal fond de tarte.
Dans l’exposition, l’artiste transforme son revêtement
en aluminium doré en un cercle chromatique d’un diamètre supérieur
à quatre mètres qui conduit le visiteur à s’interroger sur l’or,
l’argent, la couleur et la notion de valeur.
L’oeuvre de Tuerlinckx se construit à partir d’une étude approfondie
de choses simples : des pièces trouvées ou des objets du quotidien
qu’elle croise sur son chemin puis archive méthodiquement depuis
trois décennies. Il s’agit d’objets qui l’ont amenée à réfléchir
à la signification d’Être-Humain et qu’elle désigne comme
des Éléments du réel. Son travail se base sur l’observation,
l’expérimentation et – selon ses propres mots –
la transcription de ces éléments, soit une forme de (re)lecture qui
tend à comprendre et à montrer les choses au-delà de leur
banalité apparente.
Pour cela, Tuerlinckx emploie de nombreux procédés
sculpturaux et picturaux : par exemple, elle copie les objets
ou les transpose dans un autre matériau. Elle joue également
avec les échelles et la texture des surfaces qu’elle manipule
grâce aux techniques de la mise en couleur, du scanner et
de la réimpression.
Dans ses expositions, Tuerlinckx réunit souvent un nombre
conséquent d’éléments disposés aux murs et sur le sol, de dessins
et collages, de vitrines et collections d’ouvrages, de films,
de vidéos et de projections de diapositives sous la forme
d’arrangements polyphoniques et spéculatifs qui associent
des thèmes du domaine de l’art à des questionnements
philosophiques tels que l’essence et le rapport au temps,
au lieu et au langage
Ces dernières années, les expositions individuelles organisées
au Wiels Contemporary Art Centre de Bruxelles (en 2012)
et à la Haus der Kunst de Munich (en 2013) ou ont contribué
à attirer l’attention sur l’oeuvre de cette artiste.
En 2002, sa participation à la dixième édition de la
documenta de Kassel avait déjà suscité un intérêt marqué,
tout comme Pas d’histoire, pas d’histoire (Witte de With,
Rotterdam) dès 1994. À travers cette exposition, dont le commissariat
est assuré par Søren Grammel, le Kunstmuseum Basel organise
à présent la première grande exposition muséale de l’espace
germanophone consacrée à Joëlle Tuerlinckx.
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La 21e édition de ST-ART se tiendra à Strasbourg
du 25 au 28 novembre prochains.
ST-ART en quelques chiffres :
1ère foire en région
100 galeries dont 40% d’exposants internationaux
500 artistes exposés de 20 nationalités
différentes
25 000 visiteurs
10 000 m2 d’exposition
Vous êtes invités à découvrir cette nouvelle édition
Poursuivant son développement, impulsé en 2015 par
la nouvelle équipe de direction, ST-ART présentera cette
année une sélection renouvelée de galeries françaises et
étrangères.
Après la MEP en 2015, c’est la Fondation Maeght,
institution culturelle de référence, qui est
invitée en 2016 à présenter sur 100 m2 une partie
de ses collections.
Olivier Kaeppelin succèdera à Michel Nuridsany
comme critique d’art invité à poser son
regard sur la foire. Note d’intention,
par Olivier Kaeppelin
C’est avec plaisir que la Fondation Marguerite et Aimé Maeght
répond à l’invitation de ST-ART 2016 à Strasbourg.
Après les photos de la Maison Européenne de la Photographie
en 2015, ce sont des sculptures, des peintures et des dessins
de sa collection que la Fondation Maeght proposera aux
visiteurs.
Pourquoi participer à ST-ART 2016 ? Parce qu’il est important
que les initiatives privées du moment puissent être confrontées
à des missions d’utilité publique comme celle de notre fondation.
Cela permet ainsi, à tous, de prendre conscience d’un
temps plus long, d’un paysage plus vaste que
celui de la simple actualité. ST-ART est une foire dynamique
et vivante au coeur de l’Europe qui reçoit des visiteurs français
et allemands passionnés d’art. Au Sud, sur le versant
méditerranéen, la Fondation Maeght les attend avec bonheur
pour faire vivre cette Europe de la culture. Enfin, parce
que Marguerite et Aimé Maeght furent d’abord des galeristes
qui décidèrent, avec les artistes, de fonder
ce lieu au coeur des collines de la Riviera-Côte d’Azur
en lui donnant une mission culturelle : maintenir et
développer l’esprit d’invention et de création dont notre
société a, aujourd’hui, tant besoin.
Carte blanche à Michel Nuridsany
Michel Nuridsany, avait initié cette démarche
l’an dernier, est invité pour cette édition à présenter
une exposition curatoriale. Associer un critique est
une étape supplémentaire dans le souhait des organisateurs
de réunir tous les acteurs de l’art qui
y jouent un rôle primordial pour l’enrichissement
du patrimoine artistique de demain, en
brisant les frontières privé-public, critique-galerie.
Ecrivain, critique d’art, critique littéraire, commissaire
d’exposition, il propose pour cette 21e edition une exposition
dédiée à l’artiste Anne Ferrer.
Le projet
Solo show Anne Ferrer (son John Nichols)
« Le jour de mon arrivé au VCCA (Virginia Center of Creative
Art), j’ai décidé de faire quelque chose qui était heureux et ludique
en réaction aux attentats de Paris. J’en avais besoin. J’étais malheureuse.
Le lieu est sublime et ça a créé un décalage. Mélange de colère et de volonté d
e joie de vivre et de culpabilité d’être là dans ce cadre de rêve.
John travaillait sur sa thèse dans l’atelier voisin et on a tout de suite vu une
collaboration sur ce travail. Nos deux projets se sont télescopés »
77 galeries ont déjà confirmé leur participation
• 8 pays représentés : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Pays-Bas,
Suisse, USA
• 38% de galeries internationales
• pour les galeries françaises : 70% de galeries régionales dont
18% de la région de Strasbourg
• 27 galeries qui viennent pour la 1ère fois, soit près de
35% de nouveaux exposants
LISTE DES GALERIES
Poursuivant son effort de lisibilité, la sectorisation de la foire
se poursuit avec 7 espaces identifiés :
L’édition
ST-ART a toujours présenté dans ses allées un certain nombre
d’éditeurs ou galeries spécialisées dans l’estampe, le multiple…
L’hyperréalisme
Courant largement représenté sur ST-ART ces dernières années,
un secteur dédié lui est dorénavant consacré
Le street art
Depuis plusieurs sessions, l’art urbain a fait son entrée sur
la foire et a su trouver son public. Cette année encore,
des galeries viennent ou reviennent avec des propositions
de street art
« Catalogue Muse 3 »,
La photo
Instauré l’an dernier avec la présence de la MEP, le secteur photo se développe
Les solo shows
Plusieurs galeries proposent des focus sur un artiste
Le secteur historique
Un certain nombre de galeries fidèles viennent
ou reviennent à ST-ART avec des propositions d’artistes historiques :
Le secteur général
Diverses galeries
LE CONTENU ARTISTIQUE
Morceaux Choisis par le Comité de Sélection et la Direction Artistique
La collaboration avec les villes de Strasbourg et Bâle
Le stand « carte blanche » est conçu et animé par le
Département des Arts plastiques -Direction de la Culture
de la Ville de Strasbourg.
Le Bastion 14
Ancienne construction militaire faisant partie des fortifications
de 1870 située rue du Rempart, derrière la gare centrale
de Strasbourg, il accueille, depuis sa réouverture en 2003,
une cinquantaine d’artistes. Le
Bastion 14 abrite 21 ateliers de travail réservés aux artistes
professionnels des arts visuels
Le stand de la Ville de Bâle
Pour la 1ère année, la Ville de Bâle est invitée à présenter
aux visiteurs de ST-ART l’actualité de ses musées
et institutions culturelles : Fondation Beyeler,
Musée Tinguely, le musée des beaux-arts
Les temps forts autour de ST-ART
Jeudi 24 novembre
Passage du comité de sélection des achats de l’artothèque
de Strasbourg
Les oeuvres sélectionnées seront identifiées par un cartel.
Remise du Prix de la Ville de Strasbourg
Ce Prix distingue un exposant et permet une aide à la production.
Remis le jour du vernissage, le lauréat sera distingué par
une enseigne dédiée.
Vernissage en présence des invités d’honneur,
suivi d’une soirée au Bastion 14.
Samedi 26 novembre
Remise du Prix de la SAAMS (Société des Amis des Arts
et des Musées de Strasbourg) à 11h
Le prix Théophile Schuler, doté de 3 000 €, et le prix de
la SAAMS, doté de 1 500 €, récompensent des
artistes de moins de 35 ans résidant en Alsace.
Le jury est composé de personnalités du monde de l’art. Les
deux lauréats sont exposés à ST-ART l’année suivante
sur le stand de la SAAMS. En 2015, le lauréat du Prix
Théophile Schuler était Guillaume Bart, récemment présenté
au Salon de Montrouge.
Nuits des lieux culturels partenaires de ST-ART
Le Parcours
L’ancrage de ST-ART dans son territoire s’affirme cette année
à travers un programme hors les murs qui permettra aux
visiteurs de découvrir l’importance des institutions culturelles de
la ville.
– Le Maillon – Théâtre de Strasbourg, Scène européenne
– La Chambre
avec Marie Bovo
Informations pratiques
LIEU
Parc des Expositions – Wacken – 7 place Adrien Zeller, 67007 Strasbourg cedex
INFORMATIONS
Tel : +33 (0)3 88 37 67 67 – www.st-art.com
VERNISSAGE
Jeudi 24 novembre 2016 – sur invitation
OUVERTURE AU PUBLIC
Vendredi 25 – 11h/21h. Samedi 26 et dimanche 27 – 11h/20h. Lundi 28 – 11h/19h
TARIFS
Entrée : 18 euros. Prévente en ligne sur le site de ST-ART : tarif réduit 16 euros
TRANSPORTS
Tram : lignes B et E, station Wacken
Voiture : autoroute A350, sortie 1, direction Wacken – Parc des Expositions
Train : http://www.voyages-sncf.com/
Avion : http://www.strasbourg.aeroport.fr/index.php
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Identifiant 15821 AF
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