Contrôle du canal carpien

Le rendez-vous prévu le 19 juin à 8h 55, pour le contrôle, a été décalé à 10 h 40, par l’assistante du chirurgien. Ce qui décalait mon programme de mercredi pour Art Basel  presse, prévu à 11 h.
Je me rends en voiture direction parking Buffon bien avant l’horaire prévu, à travers les incessants travaux mulhousiens. Arrivée au parking, fin de non recevoir :
le parking est complet !
(serai-je maudite ? mardi matin c’est le parking de la gare centrale qui m’a accueillie de la même manière) J’ai été obligée de me garer sur un parking de 30 mn, au prix de 40 €, en priant le ciel que je soies de retour avant 15 h.

Vite une solution de repli.
J’attends  un peu, car je vois au moins 20 emplacements libres. Puis 2 voitures quittent le parking, je recommence ma demande. Youpi ça fonctionne, je m’empresse de me garer. Dans le stress et la peur d’arriver en retard, je me précipite au cabinet du médecin. C’est mon jour, l’ascenseur est en panne. J’arrive dans l’accueil du médecin, il y a la queue. 
Mon genou commence à signaler son mécontentement. Je prends appui au comptoir pour le soulager. La dame qui était en train de terminer son inscription, semble mécontente de ma présence.

Le guichet voisin se libère.
Elle me dit vertement : allez à côté. Elle s’en va, l’agent me questionne.
Je me rends compte que je me suis trompée de destinataire, j’aurai du aller à la clinique et non au cabinet.  Bon ça va, je suis encore dans les temps.
La clinique est à 2 pas du cabinet. Je m’y rends.
A l’accueil on prend note de ma présence, puis je prends place dans le salle d’attente où 12 personnes sont assises. Ouf je suis à l’heure !


Puis le temps s’écoule, inutile de vous dire que c’est la canicule, les patients rentrent et sortent pour téléphoner, il y en a un en particulier, qui fait au moins 5 voyages devant moi, affichant le sourire du plombier !
je lis l’information suivante :
 
Je comprends pourquoi il y a toutes sortes de patients, les uns avec un mouchoir ensanglanté enroulé autour de la main, les autres avec un bandage, les 3e sans signes apparents, comme moi. Les urgences, les RDV sont dans la même salle d’attente…
Puis c’est mon tour, une infirmière m’installe dans le cabinet du médecin.
Je patiente sur une chaise, malheureusement il n’y a pas de réseau !
Au bout d’une demi-heure, je sors dans le couloir, un infirmier m’interpelle :
que voulez-vous ? je m’inquiète disant que cela fait plus d’une heure que j’attends. Réponse : vous croyez que vous êtes la seule, retournez dans le bureau, car dans le couloir vous gênez .
Je m’étais rendu compte assez facilement que je n’étais pas la seule patiente, dans le va et vient, le bruit et le vacarme de la salle d’attente

Surprise, j’ai un sursaut, Je lui dis : Je m’en vais
Il est inquiet, puis prévient l’accueil que Madame X s’en va.
Fin du contrôle

Auteur/autrice : elisabeth

Pêle-mêle : l'art sous toutes ses formes, les voyages, mon occupation favorite : la bulle.

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