Art Basel 42
73 sont originaires des Etats-Unis, 50 d’Allemagne, 32 de Suisse , 31 de Grande Bretagne, 23 de France, 20 d’Italie, 8 de Belgique, 7 respectivement d’Espagne et du Japon, 6 d’Autriche, 4 respectivement du Brésil et de Pologne, 3 respectivement de Chine, duDanemark, d’Inde, de Norvège et des Pays-Bas, 2 respectivement d’Afrique du Sud, du Canada, d’Irlande, du Mexique, du Portugal, de Suède et de Turquie, 1 respectivement d’Argentine, de Corée du Sud, de Finlande, de Grèce, de HongKong, de Hongrie, d’Islande, d’Israël, du Liban, de Russie, de Slovénie et de Thaïlande.
Tout ceci se décompose en 9 programmes :
Art Galleries – Art Feature – Art Statements – Art Unlimited – Art Parcours – Art Edition – Art Film – Art Magazines – Artits Books + Artists Records, et un application Iphone : Apps et le catalogue.
Tout d’abord, la surprise, il n’y a plus d’installations, ni d’œuvres sur la Messe Platz, nue, déserte ou envahie selon l’heure de la journée. Ceci est remplacé par l’Art Parcours depuis ce mercredi de 14 heures à 22 h, jusqu’à samedi, le dimanche de 14 h à 19 h, jusqu’à la fin de la foire, avec son point d’orgue jeudi soir en nocturne, avec des performances et des concerts dès 20 h 15 jusqu’à minuit, ceci étant gratuit.
Art Unlimited – diaporama – est égal à lui-même avec ses pénétrables et impénétrables, ses vidéos, photos, installations, performances,
son Untitled – (Architeuthis 2010) de David Zink Hi, animal aquatique non défini en céramique, habillé de cuivre et de plomb échoué dans de l’eau, dont les dimensions sont impressionnantes 29 x 486 x 115 cm, ayant en arrière plan une monumentale tapisserie,
« Lost Forty » en noir et blanc, sur laquelle Goshka Macusa a collé
quarante collages d’images d’individus liés à sa recherche, comme le fondateur de la, Walker Institution et légendaire baron du bois, qui est au premier plan, on peut y lire entre autres que « l’art est pauvre » (je vous la décrirai dans un autres billet).
Puis anish Kapoor et son Push-Pull rouge sang, Daniel Buren , » autour du retour d’un détour – inscription » à lire et à écouter, installation de tableaux peints sur bois avec ses lignes rouges personnelles, qu’on ne décrit plus. Dan Flavin to Barry, Micke, Chuck and Leonard 1972-1975, en rose, jaune, où la couleur complémentaire survient si vous pénétrez dans le lieu et y restez un long moment. (à expérimenter)
Art Galleries :
Des galeries prestigieuses comme L & M Arts de New York et Los Angles qui présente « The Damned » 2003/2004, de Liza Lou, scintillant dans leur résille d’or
Puis il ne faut pas oublier les satellites d’Art Basel, à l’atmosphère plus intimiste, Volta et le prestigieux Solo, dont je vous parlerai plus tard.
Art Basel, c’est le vernissage du lundi d’Art Unlimited pour les VIP, ce sont les collectionneurs qui arrivent dès le mardi matin pour faire leur choix, (first choix), les journalistes du monde entier, les photographes, les traditionnelles Eva et Adèle, tout de rose vêtues, fidèle à leur look de ladies,
les invités Vip 2e classe de 15 h, les 3e classe de 18 h, où la foule se tasse comme dans le métro aux heures de pointe, mais c’est aussi des gens simples qui transportent leurs biens avec eux et qui s’affolent et croient déranger lorsque je leur demande la permission de les immortaliser.
L’anglais est d’usage, nous sommes dans une foire internationale de niveau mondiale, on entend très peu le français, un peu l’allemand.
Les détails dans le diaporama
Adèle et Eva par Julien Di Giusto
Photos elisabeth itti (clic pour les agrandir)
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