photo provenant du catalogue de l’exposition des frères Dufy au musée Marmottan en 2011
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Bienvenue, au gré de mon humeur, de mes découvertes
photo provenant du catalogue de l’exposition des frères Dufy au musée Marmottan en 2011
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Dans le cadre du secteur Art Parcours, Art Basel a présenté de nouveau des travaux d’artistes dans divers lieux de Bâle. Après son lancement l’an dernier sur la colline « Münsterhügel« , Art Parcours a investi cette année différents endroits dans le St-Alban Tal, au bord du Rhin. Du mercredi 15 juin au dimanche 19 juin 2011, des oeuvres et des performances réalisées in situ par des artistes de renommée internationale – Ai Weiwei, Janet Cardiff et George Bures Miller, Anne Chu, Federico Herrero, Chris Johanson, Joan Jonas, Kris Martin, Ugo Rondinone, Yinka Shonibare, MBE et Gabriel Sierra –ont métamorphosé le paysage de ce quartier de la vieille ville de Bâle.
Cette sélection d’œuvres prestigieuses opérée par le curateur Jens Hoffmann, directeur du CCA Wattis Institute, San Francisco, s’est inscrit dans le paysage historique et contemporain de Bâle, où les interventions artistiques étaient insérées dans l’espace urbain. Parmi les lieux d’accueil de ces interventions dans le St.Alban Tal de Bâle figurent entre autres la Fondation Christoph Merian, le Raum 33, la maison Zum Hohen Dolder, l’église St. Alban, un ancien réservoir d’eau, les rives du Rhin et un cargo.
Art Parcours a été suivi par le public, malheureusement le jeudi 16 juin, l’événement ‘Art Parcours Night’ accompagné de diverses performances et concerts, avec restauration et boissons a été copieusement arrosé, alors que toute la semaine le beau temps était au rendez-vous.
1 – La vidéo de Joan Jonas, Under the Glacier, 2010/2011, située au fond d’un joli jardin à la française, avec vue sur le Rhin débutait le parcours
Un peu longue au goût du public impatient, debout, la récompense était dans la patience.
2 – Gabriel Sierra
Untitled, Estructures for transition # 9, 2011
Galerie Martin Janda, Vienne; Galeria Luisa Strina, São Paulo, en collaboration avec Casas Riegner Gallery, Bogotá
Dans le Raum 33 il fallait grimper dans les divers éléments en bois, structures architecturales, afin d’avoir une lucarne à chaque fois différente sur le Rhin.
Producteur: Marc Bättig
3 – Anne Chu
A resting place with William Tell, 2011
303 Gallery, New York
Zum Hohen Dolder
Un Guillaume Tell, armé de son arc, flanqué d’un oiseau et cerné de pommes que croquaient les visiteurs avec bonheur, se tenait fièrement au milieu de fresques murales.
4 – Janet Cardiff & George Bures Miller
Blue Hawai Bar, 2011
Luhring Augustine, New York; Galerie Barbara Weiss, Berlin
Brunnwerk – Unteres Reservoir
En descendant un escalier lugubre on arrivait dans un espace humide et profond vers un surprenant ancien réservoir, pour se réconforter, les artistes servaient un cocktail de fruits dans une ambiance de musique tropicale.
5 – Ugo Rondinone
We run through a desert on burning feet, all of US are glowing our faces look twisted,
We run through a desert on burning feet, all of us ARE glowing our faces look twisted,
We run through a desert on burning feet, all of us are glowing OUR faces look twisted, 2011
Galerie Eva Presenhuber, Zurich
Cimetière St-Alban
c’est la série des rochers qu’il a commencé à développer en 2007. travail reproduit ici à une échelle beaucoup plus grande et en polystyrène – les pierres de la Chine de la région du lac Tai par érosion naturelle.
Traditionnellement, ils sont utilisés pour décorer les jardins paysagers en motifs méditatifs. Rondinone a placé ces pièces monumentales dans la cour de l’église Saint-Alban, près des pierres tombales du cimetière, en relation avec l’aspect mystique et contemplatif du lieu. Toutes les sculptures de la série ont le même titre « , nous courons à travers un désert sur pieds brûlants, nous sommes tous élogieux nos visages tordus cherchent, ils diffèrent cependant dans le titre sous la forme d’un article, dans le cas particulier « nous, vous, ils ».
6 – Kris Martin
Festum II, 2010
Sies + Höke, Düsseldorf; White Cube, Londres
Eglise St-Alban
Il avait répandu des confetti couleur or, au grand plaisir des petits et des grands qui s’amusaient à se saupoudrer avec le précieux produit, les allées, le chœur, les bancs de l’église Saint Alban avait un air festif.
7 – Federico Herrero
Vibrantes, 2011
Sies + Höke, Düsseldorf; Galería Juana de Aizpuru, Madrid; Bo Bjerggaard, Copenhagen
Rive du Rhin
Yvon Lambert Paris, Paris; Wilkinson Gallery, Londres
Pavillon de la Fondation Christoph Merian
Il avait décoré les petites maisons de pêcheurs qui bordent le Rhin.
8- Chris Johanson et Sun Foot
An Evening of Going Through Things and Looking at Each Other with Each Other, 2011
Baronian_Francey, Bruxelles; Georg Kargl Fine Arts, Vienne; Mitchell-Innes & Nash, New York; The Modern Institute/Toby Webster, Glasgow; Galleri Nicolai Wallner, Copenhague
en collaboration avec Altman Siegel, San Francisco; The Suzanne Geiss Company, New York
Cargo
9 – Yinka Shonibare, MBE
500 Kites, 2011
Stephen Friedman Gallery, Londres
Promenade du Rhin
10 – Ai Weiwei
Fairytale People, 2007
Galerie Urs Meile, Pékin – Lucerne; neugerriemschneider, Berlin
Courtesy : Leister Stiftung, Erlenmeyer Stiftung, Meile Kunst AG
Rempart
Projet initial pour la Documenta de Kassel, pour 1001 chinois
photos et vidéos de l’auteur
sauf les photos 2 et 9
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Une découverte Isenstein Jamie, qui tout en livrant sa performance, ne perd pas son temps en vaquant à sa tapisserie dont le support est une harpe – Rug Woogie IV 2011.
Carmine Caputto di Roccanova, comme une résonance de Casanova, est en recherche « Is looking for a new wife »
La galerie Malborough rend hommage à
en exposant tryptique et toiles de l’artiste, mais aussi de très beaux Picasso dont le chat vert.
Giuseppe Penone avec sa tête aux épines d’acacia sur soie servant de toile de fond à un autre artiste.
Sans oublier Ron Mueck chez Wirth et Hauser, Ron Mueck – Youth – montrant sa plaie à St Thomas tel un Christ noir new look
. Les inévitables nains de McCarthy, rouges noirs, gris, les photos de Cindy Sherman dont l’aspect réel reste un mystèrel, un récurrent Robert Longo, toujours l’inévitable Carl André, dont personne n’ignore plus que l’on peut piétiner l’oeuvre, l’humour de Pipilotti Rist – vidéo ici qui fait dégringoler depuis une culotte une vidéo projetée sur un livre – Hirnhufte.
Des performances comme du Body Painting par Cynthia Fleischmann
site web , des nonnes espagnoles Berta Yajo et Carme Codony (en tête du billet).
Ne ratez pas l’occasion de visiter le plus grand musée du monde, laissez-vous surprendre et allez à la flânerie, ne vous laissez pas impressionner par les « flickettes » qui gardent chez Gagosian des policiers tombés sur la tête, ou chez Landau, car vous aurez de grandes difficultés à passer inaperçu en emportant l’énorme tête de Miro.
des promeneuses insolites Une mention spéciale pour la Galerie Thomas au 2.0 F 13 et Solo près du St Jacob. Selon les jours de nouvelles oeuvres apparaissent, sont disposée/accrochées différement.
photos à cliquer et vidéo 3 de l’auteur
vidéos 1 & 2 Télé
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Art Basel 42
Tout d’abord, la surprise, il n’y a plus d’installations, ni d’œuvres sur la Messe Platz, nue, déserte ou envahie selon l’heure de la journée. Ceci est remplacé par l’Art Parcours depuis ce mercredi de 14 heures à 22 h, jusqu’à samedi, le dimanche de 14 h à 19 h, jusqu’à la fin de la foire, avec son point d’orgue jeudi soir en nocturne, avec des performances et des concerts dès 20 h 15 jusqu’à minuit, ceci étant gratuit.
Art Unlimited – diaporama – est égal à lui-même avec ses pénétrables et impénétrables, ses vidéos, photos, installations, performances,
son Untitled – (Architeuthis 2010) de David Zink Hi, animal aquatique non défini en céramique, habillé de cuivre et de plomb échoué dans de l’eau, dont les dimensions sont impressionnantes 29 x 486 x 115 cm, ayant en arrière plan une monumentale tapisserie,
« Lost Forty » en noir et blanc, sur laquelle Goshka Macusa a collé
quarante collages d’images d’individus liés à sa recherche, comme le fondateur de la, Walker Institution et légendaire baron du bois, qui est au premier plan, on peut y lire entre autres que « l’art est pauvre » (je vous la décrirai dans un autres billet).
Puis anish Kapoor et son Push-Pull rouge sang, Daniel Buren , » autour du retour d’un détour – inscription » à lire et à écouter, installation de tableaux peints sur bois avec ses lignes rouges personnelles, qu’on ne décrit plus. Dan Flavin to Barry, Micke, Chuck and Leonard 1972-1975, en rose, jaune, où la couleur complémentaire survient si vous pénétrez dans le lieu et y restez un long moment. (à expérimenter)
Art Galleries :
Des galeries prestigieuses comme L & M Arts de New York et Los Angles qui présente « The Damned » 2003/2004, de Liza Lou, scintillant dans leur résille d’or
Puis il ne faut pas oublier les satellites d’Art Basel, à l’atmosphère plus intimiste, Volta et le prestigieux Solo, dont je vous parlerai plus tard.
Art Basel, c’est le vernissage du lundi d’Art Unlimited pour les VIP, ce sont les collectionneurs qui arrivent dès le mardi matin pour faire leur choix, (first choix), les journalistes du monde entier, les photographes, les traditionnelles Eva et Adèle, tout de rose vêtues, fidèle à leur look de ladies,
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Cette année encore la Kunsthalle et l’Office de tourisme et des congrès de Mulhouse unissent leurs efforts pour mettre un peu d’art dans les chambres d’hôtels mulhousiennes.
« Eau lourde », oeuvre conçue par Claire Morel et Amandine Sacquin, a pris la forme d’une bouteille qui ressemble étonnament à la Tour de l’Europe…
La petite histoire à peine connotée ….. :
« Une source d’eau miraculeuse aurait été découverte sous la Tour de l’Europe.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, des ouvriers ont fait cette découverte en dégageant un rocher qui gênait leurs travaux dans le sous-sol de la tour.
On rapporte que l’eau est miraculeuse, qu’elle aurait de nombreuses vertus.
Des pèlerinages commencent à s’organiser vers Mulhouse. On prête à l’Eau lourde le pouvoir de rajeunir. Seppi Meyer, mulhousien de 87 ans, témoigne : ‘‘j’ai bu l’eau de la source et depuis, je n’ai plus aucun rhumatisme, j’ai retrouvé l’usage demes jambes et je me porte comme un charme. Ma femme Liesel, est ravie…’’
Certains disent même que l’eau a le goût du vin […]»
« Eau lourde », une bouteille crée par deux artistes mulhousiennes, dont la forme s’inspire très largement de la Tour de l’Europe, est offerte désormais dans bon nombre de chambres d’hôtels de Mulhouse, à tous ceux qui y séjourneront pendant la foire de Bâle, Art Basel.
Les Mulhousiens et tous ceux qui n’ont pas de raison de dormir ailleurs que chez eux ont
la possibilité d’acquérir à l’office de tourisme, pour la somme de 4 €, un exemplaire
de cet objet stylisé, oeuvre d’art en série limitée à 7000 exemplaires, estampillée du nom des architectes de la tour et des artistes concepteurs.
D’une contenance de 616 ml, d’une hauteur de 25,6 cm goulot compris, « Eau lourde » possède trois façades, comme la Tour originale
dessinée par les architectes François Spoerry et Michau.
La Tour de l’Europe étant le « triangle d’or » au milieu des 3 « Regios » (régions) les trois facades tournées vers l’Alsace, la Suisse et l’Allemagne.
Les bouteilles ont été soufflées dans le parc naturel des Vosges du nord, à Niederbronn,
grâce au partenariat avec l’entreprise d’eau minérale Celtic.
Quant au choix du nom de l’oeuvre, cela coule de source …..
Sandrine Wymann, directrice de la Kunsthalle, rappelle que les artistes contemporains sont aussi en prise directe avec la société dans laquelle ils vivent…
Les hôteliers, la Ville et les commerçants de Mulhouse ont acquis une partie des bouteilles pour les distribuer à différentes occasions commerciales.
« Eau lourde » est exclusivement destinée à contenir de l’eau de Mulhouse, la seule eau de ville française à posséder le label « eau de source ».
La première opération de ce type, lancée l’année dernière à la même période, avait remporté un grand succès. Les « baise-en-ville », sacs en toile imaginés par Marianne Maric, ont eu un franc succès. Pour ceux qui souhaiteraient compléter leur collection, ils sont toujours disponibles à l’Office de tourisme.
Vidéo du Furet Mulhousien
L’eau lourde est de l’oxyde de deutérium (formule : D2O ou ²H2O). Chimiquement, elle est identique à l’eau normale (H2O), mais les atomes d’hydrogène dont elle est composée en sont des isotopes lourds, du deutérium, dont le noyau contient un neutron en plus du proton présent dans chaque atome d’hydrogène.
photo 1 et 2 de l’auteur
photo 3 Wikipédia
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La Fondation Beyeler présente aux visiteurs de l’Art 42 Basel un programme attrayant comprenant des expositions, des projets et des manifestations au Musée et à la Foire de Bâle, avec la présence de Renzo Piano, Beatriz Milhazes, Christian Marclay, Not Vital et d’autres artistes.
Expositions et présentation de la Collection
L’exposition « Constantin Brancusi et Richard Serra »: Cette exposition, dont Oliver Wick est le commissaire, présente 40 sculptures de Constantin Brancusi et dix sculptures d’acier et de plomb ainsi que des dessins de Richard Serra.
La Collection Beyeler & la Daros Collection : Nouvelle présentation avec des groupes d’œuvres de Mark Rothko, Barnett Newmann, Jackson Pollock, Alberto Giacometti, Piet Mondrian, Wassily Kandinsky, Pablo Picasso, Georges Braque, Claude Monet, Vincent van Gogh et Paul Cézanne.
Art dans l’espace public
10 juin – 2 août 2011 : Louise Bourgeois, Maman,1999 (bronze avec patine au nitrate d’argent, acier fin et marbre, 927,1 x 891,5 x 1023,6 cm) sur la Bürkliplatz de Zürich. On aura pu voir auparavant cette sculpture d’araignée sur la Bundesplatz de Berne, et elle se déplacera à Genève à partir de la mi-août. Du 3 septembre 2011 au 8 janvier 2012, elle fera partie de l’hommage rendu par la Fondation Beyeler à Louise Bourgeois à l’occasion du centenaire de sa naissance.
Réceptions et manifestations
Lundi 13 juin Réception privée en l’honneur de
Beatriz Milhazes
Mardi 14 juin Dîner Beyeler donné par Sam Keller en l’honneur de
Renzo Piano
Mercredi 15 juin Réception privée en l’honneur de
Christian Marclay
Vendredi 17 juin Nocturne de la réception traditionnelle de la Fondation Beyeler à la Foire de Bâle, en l’honneur de Not Vital
Stand et entretiens Art Salon à l’Art 42 Basel
La Fondation Beyeler est représentée à la Foire de Bâle par son propre stand où elle accueille les visiteurs et informe sur son programme d’expositions. Le Musée montre des œuvres de Joan Miró et présente le Fondation Beyeler-Nationale Suisse Conservation Project Henri Matisse « Acanthes ».
Jeudi 16 juin
17h00-17h30 Art Salon I Art Lives I «Louise Bourgeois» Ulf Küster, conservateur de la Fondation Beyeler et Elisabeth Bronfen, professeur de littérature anglaise à l’Université de Zurich
Dimanche 19 juin
15h00-15h30 Art Salon I Talk I Matisse Acanthes Conservation Project, Ulf Küster, conservateur de la Fondation Beyeler
Horaires d’ouverture prolongés pendant l’Art 42 Basel
Pendant la Foire de Bâle du 14 au 19 juin, la Fondation Beyeler et son Restaurant sont ouverts tous les jours de 9h00 à 20h00.
photos 2/3/5 elisabeth itti
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Les 19 et 20 mars 2011 dans le cadre de l’opération nationale « Week-end Musées Télérama »
Chaque année au printemps, le « Week-end de l’art contemporain vous propose de (re)découvrir les structures du réseau TRANS RHEIN ART.
Expositions et rencontres avec les artistes, concerts, vidéo et performances, ateliers pour le jeune public et événements singuliers rythment la vie culturelle alsacienne durant tout un week-end !
Les structures du réseau TRANS RHEIN ART s’associent cette année pour la première fois autour d’un fil rouge artistique :
le chorégraphe Fabrice Lambert épellera entre Strasbourg et Altkirch six extraits de son oeuvre « Abécédaire »… A découvrir !
Circuits gratuits en bus Dimanche 20 mars, deux itinéraires en bus parcourront l’Alsace au fil du réseau TRANS RHEIN ART, au départ à la fois du Bas-Rhin et du Haut-Rhin. Durant les trajets seront diffusées vidéos d’artistes et/ou présentations des actions et projets des membres
de TRANS RHEIN ART.
Inscrivez-vous dès début mars au 03 88 58 87 55 ou à info@artenalsac e.org pour une découverte privilégiée des propositions artistiques !
Zoom sur Extraits de « Abécédaire » : 6 propositions chorégraphiques courtes de Fabrice Lambert
« Abécédaire est une série de 26 propositions courtes d’environ 15 min qui ouvrent sur le questionnement du corps et de son
environnement, le statut de son dispositif (relation, rencontre), mis en scène par un propos organisant les modes de perceptions. » Fabrice Lambert
09h00 : « K comme Kaos » chez Stimultania – Strasbourg
10h30 : « T comme Territoires du temps »
au Musée Würth France – Erstein
11h45 : « C comme Corps » au Frac Alsace – Sélestat
14h30 : « M comme Mouvement » à La Kunsthalle – Mulhouse
15h30 : « A comme Abstraction » à La Filature – Mulhouse
17h00 : « L comme lumière » au CRAC Alsace – Altkirch
Possibilité de découvrir les performances librement dans les lieux ci-dessus au fil du réseau TRANS RHEIN ART le dimanche 20 mars ou de voyager avec le bus à la journée au départ de Strasbourg.
Chargée de coordination et de projets
pour le réseau TRANS RHEIN ART
Mail : info@artenalsace.org
Site Internet : www.artenalsace.org
Frac Alsace / Agence culturelle d’Alsace
1 espace Gilbert Estève – route de marckolsheim
BP 90025 – F- 67601 Sélestat Cedex
Tél : 00 33 (0)3 88 58 87 55 – fax : 00 33 (0)3 88 58 87 56
Les membres du réseau TRANS RHEIN ART :
> Site verrier : Halle Verrière et Centre International d’Art Verrier – CIAV /
MEISENTHAL
> Les géants du Nideck / OBERHASLACH
> Accélérateur de particules / STRASBOURG
> Apollonia – Échanges Artistiques Européens / STRASBOURG
> CEAAC – Centre Européen d’Actions Artistiques Contemporaines /
STRASBOURG
> La Chambre / STRASBOURG
> La Chaufferie – Galerie de l’École supérieure des Arts décoratifs /
STRASBOURG
> Musée d’Art Moderne et Contemporain – MAMCS / STRASBOURG
> Polart / STRASBOURG
> La Société pour la Diffusion de l’Utile Ignorance / STRASBOURG
> Stimultania / STRASBOURG
> Syndicat Potentiel / STRASBOURG
> Musée Würth France / ERSTEIN
> Frac Alsace – Fonds régional d’art contemporain Alsace / SÉLESTAT
> Espace d’Art Contemporain André Malraux – EACAM / COLMAR
> Espace LÉZARD / COLMAR
> Institut Européen des Arts Céramiques – IEAC / GUEBWILLER
> La Filature, Scène nationale / MULHOUSE
> La Kunsthalle / MULHOUSE
> Ateliers Pédagogiques d’Arts Plastiques / MULHOUSE
> Le Quai – École supérieure d’art / MULHOUSE
> CRAC Alsace / ALTKIRCH
> Espace d’art contemporain Fernet Branca / SAINT-LOUIS
> FABRIKculture / HÉGENHEIM
> Les ateliers ouverts / TOUTE LA RÉGION ALSACE
> La Fête de l’eau / WATTWILLER
> Mulhouse 00 / MULHOUSE
> Sélest’art / SÉLESTAT
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Samedi 5 mars
de 15h à 17h
Hélène STURM
dédicace
son roman Pfff,
Editions Joëlle Losfeld
à la
Librairie BISEY
35 Place de la Réunion
68100 MULHOUSE
www.bisey.eu
extrait : Odile, une jeune femme, ni jolie ni vilaine, se réveille un matin, plus aimable que d’ordinaire.
C’est le point de départ d’une drôle d’histoire où se croisent des taulières de bistrots, des tueurs à gages, un jeune homme timide et ses amis d’autrefois, sans compter les chiens, les chats et les poissons rouges. Les objets ont leur importance, particulièrement les livres qui rythment la vie.
HÉLÈNE STURM est née en Alsace.
Après avoir pratiqué différents métiers, notamment dans l’audiovisuel ou encore l’enseignement, elle a partagé jusqu’à très récemment son temps entre Mulhouse et la Drôme où elle réside depuis une dizaine d’années. Pfff est son premier roman.
Quelques appréciations de lecteurs
Les lectures de Sophie
B B : Que Sophie, qui je crois est toujours un peu plus sensible au fond qu’à la forme, à l’histoire qu’au style, et qui représente tout à fait les lectrices de ELLE magazine où elle a démarré son blo, ait été « scotchée » par Pfff, c’est plutôt bon signe, je trouve !
I V : Terminé « Pfff ». Quel chouette tourbillon au Paradis sur fond de bartlebysme 🙂 !
Jolie réussite que ce premier roman ♥
Jean D : peut-être l’idéal est-il de le déguster vite, d’un coup; puis, plus tard, de le savourer infiniment lentement….comme l’on fait avec un tableau, pour le coup de poing, puis les petites caresses…
Le bouquinovore :
Mon avis : Comment peut-on parler d’un livre qui à pour titre « pfff». Encore la semaine dernière lorsqu’on me demandait quel livre j’étais en train de lire en ce moment ? Je leur répondais « pfff » le premier roman d’Hélène Sturm. La réaction, souvent la même, « et bien si tu n’aime pas change de livre ». Et connaissant les droits imprescriptibles du lecteur(le droit de ne pas lire, le droit de sauter des pages, le droit de ne pas finir un livre…) si ce livre avait réellement était « pfff », je ne l’aurai certainement pas fini. Cependant je tien à rassurer l’auteur (même si je doute qu’elle vienne à lire ma chronique) que malgré cela un bon nombre d’amis adeptes d’il caffe di Pietro avaient reconnues le bruit subtile lorsque le barman tire la bière.
Ce roman n’est pas une histoire, mais des histoires, au fil des pages, on passe d’un personnage à l’autre, d’Odile à Walter, passant par Legendre, Beaufils ou encore Jaboulier.
Ce que j’ai aimé dans ce livre, c’es le concept même du livre, des gens des histoires et deux cafés, le trait d’union entre les personnages est ce lieu même de rencontre que peut représenter un café. On à l’impression de lire du Godard, il n’y a pas une histoire mais des histoires qui s’unies. Les personnages sont attachants, ils nous font sourire. Odile en ai le personnage clé mais à mes yeux, Walter au fur et à mesure des pages prend sa place.
De plus l’auteur à une écriture très agréable à lire, elle sait jouer avec les mots, en abuse peut être un peu parfois.
« Lorsqu’il s’en traite, Walter se demande chaque fois avec combien de l « imbécile » s’écrit. Je suis un idiot, profère-t-il alors, de n’écrire rien d’autre que des listes de choses à faire de choses défaites, de mots dont l’orthographe lui fait défaut, de mots qui ouvrent des mondes, de mots qu’il n’aime pas. Dès qu’un u cogne un p, il a la chair de poule, « stupre » et « volupté » le réfrigèrent, alors que « suave » le touche, même s’il ne l’avouerait pour rien au monde, et que « jute »lui rougit les joues et qu’il se laisse aiguiser par « pudeur » et par « impudeur » et ce qu’ils évoquent de draps blancs ou de draps froissés. Il faut du désir pour écrire, et jamais il n’en trouve assez pour s’en faire de l’encre »
Un seul petit bémol à cette lecture, étant souvent dans les transports en commun, il est vrai que parfois j’ai eu un peu de mal à me resituer dans les histoires de chaque personnage, le lien entre chacun étant souvent assez subtile, une phrase, un objet.
Cultureàpoint
E I : Quel peut-être le rapport entre un bock de bière et une paire de nike à talons ? C’est tout l’art de la prose d’Hélène, qu’elle déroule et tricote dans son roman. Je me demande où elle a trouvé le temps pour écrire tout ça ? …♥
précipitez-vous car il n’y en aura pas pour tout le monde !
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