Pourquoi le poisson d’avril pourrait-il être un maquereau ? Jean Vitaux rappelle d’abord les étymologies de ce mot fort ambigu qui a, dans notre langue, deux sens bien différents. Mais d’où vient cette tradition de suspendre dans le dos un poisson de papier ? Le roi Charles IX en est-il responsable ou bien le zodiaque s’en serait-il mêlé ? Quelle histoire !
Une explication fort pertinente donnée par Jean Vitaux
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Le requin, Néosélacien est une sous-classe des poissons, qui se subdivisait en Sélaciens (requins, raies), et en Holocéphales (chimères).
J’ai croisé ce requin au Métropolitan Museum of Art de New York,
(interdiction formelle de photographier sous peine d’accélérer la putréfaction)
Né à Bristol (Royaume-Uni), Damien Hirst grandit dans un quartier pauvre de Leeds, au nord du pays. Enfant, il est choqué en apprenant que la mère d’un de ses camarades s’est donné la mort en mettant le feu à sa maison, ne se contentant pas de détruire son corps. Inspiré par Francis Bacon, Rembrandt, le groupe français I.F.P. (Information Fiction Publicité) ou encore par le poète métaphysique anglais John Donne (lui-même honorant la putréfaction et le squelette) et fasciné par l’histoire naturelle, Damien Hirst cultive un certain goût pour les animaux, morts ou vivants. En 1988, il monte sans grand succès « Freeze », la première exposition collective des Young British Artists, à Londres. L’année suivante il sort diplômé du département des Beaux-Arts du Goldsmiths College de l’Université de Londres. En 1990, il obtient son premier succès en exposant A Thousand Year, deux grandes boîtes en verre dans lesquelles vit une colonie de mouches : dans la première boîte elles volent au dessus d’un crâne de vache enduit de graisse animale, dans la seconde un tue-mouche électrique diffuse une pâle lumière bleue. Le cycle de la vie devient œuvre d’art, de la naissance à la mort des mouches.
Il remporte le prestigieux Turner Prize en 1995 cinq ans après sa première exposition personnelle. Tournant autour de l’art, de la vie et de la mort, Hirst aborde la question de la représentation et de l’espace en exposant, dans des vitrines, des objets quotidiens : tables, mégots, médicaments, animaux. Immédiatement reconnaissable, son oeuvre présente des cadavres d’animaux ou autres organismes découpés et plongés dans du formol ralentissant ainsi le processus de putréfaction. Mais il ne se limite pas à ces installations stupéfiantes, accrochant aussi de véritables papillons sur les toiles pour produire des tableaux d’un onirisme inédit (‘ I Feel Love’). Il collabore avec plusieurs célébrités comme le groupe Blur pour qui il réalise une vidéo (‘ The Country House’) et David Bowie pour des peintures. En 2003, il développe son travail en éclaboussant ses oeuvres de sang (‘ Blood’). Le film ‘The Cell’ se serait inspiré de l’univers noir de l’artiste. S’il reste mystérieux malgré les nombreuses pièces qu’il présente, Damien Hirst est en passe de devenir l’artiste contemporain le plus connu du moment, après la vente record d’un crâne en platine incrusté de diamants (‘ For the Love of God’) pour près de cent millions de dollars et son coup d’éclat chez Sotheby’s où, refusant de suivre la voie habituelle de la galerie, il a décidé de mettre en vente les plus de deux cents dernières oeuvres qu’il avait produites.
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Avec tout l’argent qu’il s’est fait Damien Hirst entre dans la catégorie des « grand requins »….
merci d’apporter un peu d’humour dans ce monde de brutes 😉
Et si c’était un veau marin pardon un veau d’or !!!?
Il s’agit bien de la rue du Quai ? euh -;))))))
accrocher une raie audessus de la rai, lorsque c’est pleine lune ……………hihihihihihihi …………………….
En voilà un gros poisson d’avril, néanmoins très intéressante trouvaille.