le départ
D’abord XX n’a rien mangé pour ne pas être dérangé, dès le parking de l’aéroport ça a commencé.
Souvent, il doit déjà s’arrêter avant, malgré toutes les précautions, médoc etc…
Donc je l’attends, puis nous nous dirigeons vers la porte (gate) 42 .
L’hôtesse nous demande de mettre nos valises dans la soute, car il n’y a pas assez de places dans l’avion. J’avais acheté express des petites valises format EasyJet, mais bon comme on ne paye pas de supplément, nous acceptions de bonne grâce.
Puis on embarque , puis on attend et voilà qu’arrive une flopée d’israélites avec chapeaux, papillotes, bouclettes, femmes, enfants et « …….. valises !!!!
Donc c’était pour eux que les compartiments valise étaient réservés !!!
Ils ont mis 3 plombes à trouver leurs places.
A l’aéroport il a fallu récupérer les bagages. Je sors les billets de train qui permettent de gagner le centre ville, puis je range mon dossier, dans mon sac à dos, pour ne pas faire la même bêtise qu’à Londres et l’oublier à un guichet. Dossier oublié au guichet du métro londonien, qui a été fermé suite à une alerte, parce qu’un homme en tenue d’Adam se promenait sur les voies.
La grille du métro n’a été ouverte qu’une heure après. Mon dossier contenait les billets du retour et la réservation de l’hôtel, ainsi que les entrées des musées achetées en avance.
La guichetière consciencieuse m’attendait le dossier à la main. Mon ange gardien avait
veillé 🙂
Nous nous dirigeons vers le sous-sol pour le train, XX prend ma valise, moi mon sac sur le dos. J’avais sorti mon sac de la valise sur les conseils de l’hôtesse pour voyager dans l’avion. Je me rends compte que j’ai oublié la valise !!!!!!!
Je retourne sur mes pas, elle m’attendait au milieu des israélites et leur tonne de bagages, qui font tout le tour du tourniquet, emplacement où l’on récupère ces derniers.
Je me suis laissée distraire par leur spectacle et voulais prendre des photos.
Ensuite nous prenons le train vers Bruxelles midi.
Arrivés à cette gare nous mettons un temps fou à trouver le tram 3, qui nous conduit vers l’hôtel. Il faut descendre dans un sous-sol au détour d’un couloir.
Un jeune homme serviable nous accompagne, pour nous indiquer l’endroit
où il faut acheter les tickets et prendre le tram.
Je prends 1 lot de 10, mais cela se présente sous la forme d’un ticket à composter en plusieurs fois. Là XX trouve que je devrai en acheter un 2ème (soit 20 tickets) moi je dis on peut toujours en racheter demain.
Du coup il fait la 🙁 , » il ne sait pas comment faire !!!! »
Je lui dis « il y en a marre de toujours faire la 🙁 pour rien »
Puis on gagne ce train en descendant l’Escalator, où je m’étale sur le dos, sans mal heureusement, entraînée par le poids de la valise.
Je me souvenais bien du trajet vers l’hôtel par le tram
Nous y voilà enfin !
Après nous avons été dîner à l’hôtel même.
Aujourd’hui musée Magritte, puis musées royaux, avec des splendides peintures renaissance flamande, un bonheur.
Le lendemain le Bozar, pour les expo sur le triptyque sur l’image,
Faces Now (portraits photographiques européens depuis 1990)
contemporain) Faces Then (portraits de la Renaissance aux pays bas)
The Sultans’Wolrld.
Le retour.
La fin du voyage ne pouvait pas se terminer bêtement ,
il fallait un gag !
Nous étions nombreux pour reprendre le vol.
Comme j’avais acheté dans le free taxes plein de lait
( abricot) pour le corps de Biotherm, c’est là qu’il est le moins cher,
XX trouvant ma valise trop lourde pour la soulever
dans le casier de l’avion me dit :
« on attend vers la fin de l’embarquement pour que les valises partent en soute. »
C’est ce qui c’est produit, mais, mais, mais,
quand j’ai donné ma carte d’embarquement,
c’était la même que celle de ma moitié !!!
J’avais imprimé 2 fois le retour de XX et oublié la mienne, je me souvenais cette foutue
imprimante me fait souvent le coup et n’imprime qu’une moitié.
Panique, l’hôtesse veut cette carte, je cherche, je fouille dans mon Ipad,
et miracle, j’avais tout téléchargé dans l’E-book, aussi j’ai pu lui présenter la carte d’embarquement à mon nom.
Là on annonce que la porte va fermer, il nous faut courir jusqu’à l’avion et déposer les valises au bas.
Nos vieilles jambes font leur possible, nous arrivons à bord, j’enlève mon manteau et m’assieds (les derniers) je m’aperçois que je n’ai plus mon stylet d’Ipad, ni surtout ma carte d’identité. Coincée je ne peux pas atteindre le manteau.
Arrivés à Bâle, ma voisine attend, la dernière pour se lever, aussi nous attendons avec elle.
Mais miracle la CI et le stylet étaient dans mon manteau.
De retour à la maison, je contrôle tout de suite, ce que j’ai imprimé pour Séville le 11/3 et j’envoie le tout sur l’Ipad.
Moralité : apprendre la patience et vérifier plutôt deux fois qu’une, les documents de voyage.
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